L’entreprise met en place une seconde vague de licenciements pour faire face au ralentissement des affaires entraîné par le coronavirus.
Et qui vit à crédit tout le long de son existence !
Puisqu’elle n’a encore jamais été rentable.
Ce sont les apport en cash qui la maintiennent à flot, le temps de tuer la concurrence.
Mais là y’a comme un problème…
Uber n’a que 5 ans. Tu ne peux pas leur demander d’avoir les reins aussi solides que Air France ou Air Canada (+70 ans), le groupe Vivarte (120 ans) ou encore Alina (30 ans) qui n’ont pas eu recours à ça… ah, on me dit dans l’oreillette que ça licencie à tour de bras aussi.
Tu viens de le découvrir ?
Si Uber avait les flottes d’appareils et l’entretien qui va avec, plus le personnel d’Air France, cela mériterait réflexion. Uber, c’est plutôt BYOD*. et des chauffeurs non salariés…
- Bring Your Own Device = Appporte Ton Outil de Travail !
Si tes salariés ou les utilisateurs de ta plateforme ne peuvent pas travailler, ta boîte perd de l’argent. Ce n’est pas lié au modèle économique.