Commentaires : Test des Ikea Symfonisk : le géant suédois réussit ses enceintes sans fil grâce à Sonos

Ikea accélère dans le domaine de la . Un hub domotique, des , une compatibilité HomeKit, bientôt des stores motorisés. Le multimédia n’est pas oublié avec deux enceintes sans fil dénommées Symfonisk. Il n’y avait qu’Ikea pour en faire des éléments de mobilier. La première est un luminaire, la seconde fait office d’étagère. Leur pédigrée est garanti : elles ont été conçues en partenariat avec Sonos.

Je comprends mal ? Si pas de BT ? Tout passe par l’appli ?
Comment je passe ma playlist Spotify ?

Sinon je vois bien un Sonos Beam en barre de son et 2 enceintes pour l’arrière pour un home cinema.

Ta playlist est transférée via internet avec Spotify Connect par exemple.

2 « J'aime »

Suite tu passes via l’appli Sonos ou tu lies ton compte Spotify (et d’autres comme Deezer, Quobuz, … ) soit tu passes via l’appli Spotify et tu auras le sonos dans la liste des appareils connect. Sinon pour avoir du Sonos, très bonne qualité audio. Pour le home cinéma par contre attention ça marche nickel MAIS plusieurs formats ne sont pas pris (DTS, Dolby Atmos, Dolby+ par exemple).

1 « J'aime »

Merci pour le retour d’expérience. Mais le manque de prise en charge de ces formats ça fait quoi au final ? Le son ne passe pas du tout ou bien ?

Ta TV ou autre (comme la nvidia Shield) transforme le format … la Shield peut le transformer en Dolby Digital 5.1 mais la TV uniquement PCM Stereo si l’option le permet, sinon tu n’auras simplement pas de sons. Sinon pour un home cinema, le Sonos Beam c’est moyen, plutôt pour une petite pièce, si tu veux un bon sons, compte sur une playbar, un sub et 2x play 1 (ou Sonos 1), mais bon tu en as pour quasi 2000€. Moi perso j’en suis très content et la musique avec Qobuz qui offre un format sans compression est nickel.

1 « J'aime »

Justement je n’ai pas un énorme salon et pas envie de claqué autant pour un “vrai” système home cinema. Pour un premier équipement je pense que ça sera largement suffisant et adéquate.

Bizarre, pas de BT sur ce truc ? inutile

Au contraire, c’est plutôt utile quand on connait les limites du bluetooth par rapport à une connexion internet. D’autant plus que l’appli Sonos gère plus de 100 services : webradios, lecture de musique sur un serveur et service de streaming type Spotify.

Le flux de données et la stabilité de ta connexion internet sera de toute façon meilleure qu’une connexion bluetooth

2 « J'aime »

pas de BT… pour le prix non

“Nous n’avons pas réussi à savoir si les haut-parleurs intégrés et l’amplification étaient les mêmes sur les deux produits. A l’écoute, nous sommes à peu près sûr que c’est le cas.”

Çà c’est pro !

Dans tous les cas, le Bluetooth est compressé et techniquement de qualité inférieure au CD :

aptX - 352 kbps
aptX HD - 576 kbps
LDAC - 990 kbps
CD audio - 1411 kbps

1 « J'aime »

Vous faites erreur.
Les codecs utilisent un algorithme de compression pour justement faire passer plus d’informations.
Le LDAC est prévu pour au moins faire passer du 44.1KHz 16 bits (donc le débit d’un CD audio) dans un flux Bluetooth, le tout sans aucune pertes à l’arrivée (dit Lossless).
Il n’y a que dans la transmission d’un signal 96KHz 24 bits (4,5Mbps) où le LDAC n’est pas sans pertes.
C’est assez clair dans le graphique officiel de Sony
Sony-LDAC-CD-Quality

Quand je dis techniquement inférieur, c’est justement parce qu’il est compressé.

Du CD vers le LDAC, vous avez raison, on peut parler de Lossless, elle existe mais la différence est assez minime finalement : 1411 vs 990 kbps

Par contre, de la Hi-Res 24/96 vers LDAC, même Lossless, on est compressé dans un rapport de 1 à 4,5 : 4500 kbps vs 990 kbps

C’est-à-dire l’équivalent entre un CD 1411 kbps vs un MP3 320 kbps.

Bien sûr, on ne parle ici que de chiffres. A écouter en réel, parfois la différence est mince et parfaitement acceptable, voire inaudible.

Cela dépend aussi du reproducteur utilisé : casque BT Hi-Res haut de gamme, petite enceinte portable, amplificateur HiFi, etc.

Vous n’avez pas compris le principe.
Il s’agit de compresser le signal puis de le décompresser pour retrouver le signal intégralement, c’est à dire sans pertes (lossless).
Lorsque l’on compresse un fichier texte à l’aide d’un algorithme (par exemple celui de Winzip) on obtient un fichier ayant une taille moins importante que celle d’origine mais le fichier texte obtenu après décompression sera exactement le même que celui d’origine .
Dans le cas d’un fichier audio c’est exactement le même principe, on utilise un algorithme de compression pour obtenir un fichier audio de plus petite taille que celui d’origine (avec par exemple l’algorithme FLAC), une fois décompressé le fichier audio sera exactement le même que celui d’origine ( l’algorithme MP3 fait la même chose mais avec pertes, donc le signal d’origine est dégradé) .
L’algorithme LDAC est un codec sans pertes qui permet de compresser un fichier audio de débit 1411Kbps en un fichier de débit 990Kbps pouvant être transmis par le flux Bluetooth, à la réception ce même fichier est décompressé pour obtenir un fichier de débit 1411Kbps sans aucune pertes , c’est à dire exactement le même que celui d’origine, donc lossless.

Effectivement, merci de m’avoir corrigé. Je ne sais pas pourquoi en écrivant Lossless j’ai pensé à compression destructive…

En revanche, avec un rapport de 4.5:1, la Hi-Res compressée en LDAC est forcément destructive, aussi bien sur la résolution (limite du bruit de fond) que sur la bande passante (c’est moins important).

Tout dépend de l’algorithme, si actuellement le LDAC est destructeur dans ce cas de figure , il pourrait ne plus l’être dans une nouvelle version (le but étant d’obtenir un signal assez compressé pouvant être véhiculé via le Bluetooth).

La bande passante utilisée par un signal n’est pas représentative de la qualité du signal si on compare des algo différents.
Une compression sans perte est sans perte quelque soit le débit en sortie. Meme avec un rapports de 4.5:1
Exemple
signal source : 15 16 17 14 12 13
Signal compressé : 15 1 1 -3 -2 1 donc plus petit que la source
Signal décompressé : 15 16(15+1) 17(16+1) 14 12 13 donc identique à la source
Aucune perte alors que le signal au milieu est plus petit

D’ailleurs chacun des signaux est à 96KHz 24bit

Théoriquement vous avez raison tous les deux.

Mais concrètement, cet article, par exemple, explique que le LDAC est bien destructeur en 990 kbps :

Même si c’est peut-être sur des détails au final difficiles à entendre à l’oreille.

Cet article teste la sortie audio analogique de smartphones et non pas le codec LDAC.
A aucun moment ils ne testent la sortie numérique du signal (donc avant le DAC) pour pouvoir comparer ce qui est envoyé (le signal original) d’avec ce qui sort.
Et vu que quasiment toutes les sorties analogique des smartphones passent par un énième codec dit “Class D” (pour un soucis d’économie d’énergie et qui est actuellement le plus destructeur qualitativement), le signal de sortie est très loin de l’original.
Au sujet du codec LDAC, il est implémenté d’origine sur les ROM Android 8, donc n’importe quel vieux smartphone sur lequel on installe Android 8 pourra en bénéficier et sera totalement fonctionnel (par exemple un Galaxy S2).