Le 7 novembre dernier, le « New Space chinois » a fait à nouveau parler de lui. Avec le lancement réussi d’une fusée Ceres-1, la start-up chinoise Galactic Energy devient en effet le deuxième acteur privé du pays à atteindre l’orbite basse. Pour la jeune entreprise, il s’agit d’un premier pas vers des projets bien plus ambitieux.
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En gros c’est du privé développé par l’état, à des prix Chinois (enfin pour l’instant, tant qu’ils n’ont pas une position dominante).
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Avec Kuaizhou 1A et Kuaizhou-11 qui se sont toutes les deux plantées cette année, il y a encore de la place pour les privés face au secteur étatique. Et s’ils ne sont pas tout à fait indépendants pour les premiers pas avec des aides évidentes de la part du secteur public militaire, ils essaient tous de s’en émanciper… Mais surtout, c’est le fait qu’ils sont financés par des particuliers et des banques privées chinoises qui change la donne.
Ceres-1 est l’un des seuls lanceurs de « première génération » du NewSpace chinois à viser un second décollage l’an prochain.
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Pratique au besoin on remplace les satellites et on y met une charge et c’est un chouette missile. Un beau partenariat public/privé.
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La Chine n’a pas attendu d’avoir des Startups spatiales pour savoir faire des missiles balistiques 
Par ailleurs c’est parfois un peu contre-intuitif mais il est parfois plus facile d’envoyer des trucs en orbite que de les faire retomber à un endroit précis…
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Nous aussi en Europe on a des états qui ont des missiles balistiques (Fr & UK) [oui, bon, ça fait que 2] pourquoi on n’arrive pas à sortir des mini-lanceurs à poudre dérivés de ces missiles ? Si tout le monde essai de mettre au point ce genre de lanceurs, c’est qu’ils doivent avoir un intéret, donc pour nous aussi ils peuvent être intéressant.
Pas de start-up européennes tentées par les fusées? 