Commentaires : En Californie, malgré la loi accordant le statut d'employé aux chauffeurs, Uber résiste

Le modèle économique des sociétés Lyft et Uber suscite souvent la polémique, qu’il s’agisse de la France ou de l’étranger. Les États-Unis ne sont pas épargnés par ces problématiques : une nouvelle loi, adoptée le 10 septembre dernier par la Californie, serait sur le point de tout faire basculer.

Uber était un service pas cher et intéressant pour certains. Mais ces avantages se font évidemment sur le dos des travailleurs. Il est grand temps de faire le ménage en France aussi, car laisser des travailleurs sans assurance santé, syndicat et contrat de travail est un scandale pour notre république sociale (en tout cas d’après notre Constitution).

Personne oblige les freelancers/entrepreneurs à travailler pour Uber ou autres entreprises du genre. Si ces “partenaires” veulent un emploi fixe avec les avantages d’un vrais salarié, qu’ils cherchent ailleurs, point. Faut arrêter avec ce socialisme bêta de gauche, bien débile, qui consiste à accepter des emploi à risque (pour ceux qui s’y aventure), en espérant recevoir les bénéfices d’un emploi fixe, bien plus difficile a obtenir et sûrement pas après 15 minutes d’entretien…
Uber est un modèle plutôt clair, c’est un métier “facile” a obtenir, servant a réduire les coûts, pour offrir plus d’options au public, et donc à risque évidemment.
S’ils veulent être des vrais taxis, qu’ils envoient leurs CV aux rares entreprises de taxis, qui embauchent très peu (à causes des impôts et autres taxes créés par ces politiciens véreux et lobbyistes) et on reviens au point de départ : moins de transport disponibles et à des tarifs exorbitants pour le public.