Débuté le 30 septembre, le procès du Dieselgate, qui oppose 470 000 consommateurs au constructeur Volkswagen, promet d’être retentissant. Mais le scandale a éclaté il y a plusieurs années de cela. L’occasion de revenir sur les faits marquants de cette affaire.
J’espère deux choses de ce procès :
1 : Que les responsables fassent de la prison FERME.
Cela donnera une vraie leçon à d’autres fraudeurs en herbes.
2 : Que TOUS les véhicules qui ne sont pas à la norme Euro 6d soient remplacés ou alors améliorés pour satisfaire au moins cette norme dans les mois qui viennent.
Et notons bien que les normes Euro 6, 5, … ne veulent pas dire grand-chose en ce qui concerne les véritables rejets de NOx et de CO2. Seule la norme Euro6d commence à refléter réellement les rejets réels (le d a la fin fait une très très grosse différence par rapport à l’EURO 6)
Mouais, pas sûr que les technologies actuelles soient en mesure de respecter stricto sensu les normes de plus en plus draconiennes qu’on nous inflige. Que les constructeurs soient de plus en plus vertueux dans leurs déclarations et leurs actes, ok, mais quand on voit la grille du malus prévue pour janvier 2020, j’ai l’impression qu’on va tous rouler à vélo d’ici peu.
Soyons clair, je suis pro écologie mais, avant l’automobile, il serait peut-être préférable d’obliger toutes les fabricants d’emballage à investir dans la R&D, pour nous proposer des produits vraiment recyclables, sans que leur tarif augmente, bien entendu. En effet, ils auraient dû prendre cette orientation depuis des décennies, sans attendre que l’on commence sérieusement à s’intéresser à l’environnement.