Commentaires : Des scientifiques ont mis au point un propulseur pour fusée à base de sel

Une équipe de l’Université de l’Illinois dit avoir mis au point un propulseur pouvant être utilisé dans les deux modes des engins spatiaux : en combustion et dans les systèmes de propulsion électriques.

J’ai relu l’article et je n’ai rien compris.

Il suffit de voir la photo pour comprendre … c’est évident

A quand cette technologie pour les voitures ?

1 « J'aime »

Dans l’esprit du grand public le sel est le sel de table “Chlorure de sodium”. Ceux cités sont bien des sels au sens chimique du terme c’est a dire obtenu par réaction d’un acide et d’une base, comme "Hydroxylammonium nitrate"obtenu par réaction de l’acide nitrique et de l’hydroxylamine. Après je n’ai pas compris grand chose non plus.

Jamais?
Le premier mode est trop brutal, le deuxième bien trop peu puissant… :stuck_out_tongue:

1 « J'aime »

Dans un moteur à reaction faut ejecter qqchose pour avancer .
Ici on ejecte des ions obtenus par electrostatique et expulsés par un canon à champ magnétique.
Ces ions provenant du melange de sels .
Le melange se fait mais on ne peut pas encore modéliser comment d’où melange chaotique .

Article très confus, et n’atteignant pas son but.

Une charge placée dans un champ magnétique a un mouvement de rotation. Sa direction est changée, mais pas sa vitesse linéaire. Pour accélérer une charge il faut un champ électrique. Donc utiliser une champ magnétique pour accélérer un véhicule n’est pas pertinent. N’importe quel ingénieur sait ça, c’est du niveau lycée.

"Dans l’esprit du grand public le sel est le sel de table “Chlorure de sodium”.
Correct, ainsi que les explications qui suivent. Le but du titre est d’utiliser cette confusion pour être raccouleur.

1 « J'aime »

Quand on voit l’énergie développée lors d’un éternuement je propose plutôt pour des propulseurs au poivre. MDR!!!

3 « J'aime »

C’est pas mal de s’intéresser aux différents sels, parce qu’il y en a vraiment en abondance, sur terre comme sur les autres corps dans l’espace. Un jour, lorsque l’on sera suffisement avancé dans le domaine des voyages spatiaux, viendra le besoin de réapprovisionner les vaisseaux spatiaux en carburant. Il faudra alors exploiter au mieux les ressources que l’on trouve ailleurs.
Par exemple, aux dernières nouvelles, le sol lunaire serait principalement composé d’oxygène, de sodium, de magnésium, d’aluminium, de silicium, de titane et de fer. Tiens, du silicium… C’est une forme de sel me semble t-il ?

Je suis toujours effarée de l’énergie qu’on met à développer des technologies pour s’échapper au plus vite de la Terre qu’à essayer de sauver notre chère planète bleue. A part ça, cette technologie au “sel” a-t-elle été testée pour d’autres choses que les fusées spatiales ?