Deux mois se sont écoulés depuis l’incendie de l’usine Lubrizol à Rouen, et les pouvoirs publics s’attachent désormais à déterminer les leçons à retenir pour éviter qu’un tel événement ne se reproduise. Parmi les premières pistes envisagées figure la transformation en profondeur du système d’information des populations.
C’est incroyable, il faut toujours des catastrophe avant de se bouger les fesses.
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surtout que ce système existe depuis longtemps dans d’autres pays (Japon par exemple en cas de gros tremblement de terre ou risque de tsunami)
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Historiquement un choix des opérateurs français de ne pas implémenter un certains nombre de fonctionnalités (comme la bête synchro horaire) de la norme GSM (donc bien antérieure à 1997) tout simplement par volonté d’économie.
Ce genre de fonctionnalité est même en mesure de diffuser des SMS sur des téléphones SANS carte SIM !!!
Pour rappel, différents gouvernement français (suite aux conseils des opérateurs) ont finance le développement d’applications d’alerte qui donc nécessite :
- d’avoir l’appli d’installée
- d’avoir une SIM
- d’avoir une couverte data
- d’avoir un abonnement data
- de consommer de la batterie pour rester en veille
alors qu’avec le cell broadcast il suffit : - d’un téléphone GSM avec de la batterie
Voyons quand même le bon côté des choses : il existe au moins un fonctionnaire qui comprend un tant soit peu la technologie, ou a défaut qui est correctement conseillé.
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En cas de catastrophe, que les informations fournies usuellement par la radio/TV soit complémentarisées par le cell broadcast serait une bonne chose, mais les sirènes doivent rester en fonction pour le bien et la sécurité de tout un chacun.
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Et oui mais le préfet n’a pas donné l’ordre de faire sonner au début des explosions pour ne pas créer de panique (après, je vois un nuage de fumée pareil, eprso, je prends la bagnole et j’me barre, peu importe où, vous êtes c… pour être resté en dessous et se plaindre après).
Mais bon, peu importe le système d’alerte puisqu’ils ne l’utilisent pas.