Commentaires : Amazon aussi veut placer des satellites en orbite basse (et déclenche la colère de SpaceX)

La course à la meilleure est lancée et, bien évidemment, Amazon veut rejoindre la partie. La firme de Seattle veut lancer plus de 3 200 satellites dans l’espace dans le cadre de son Projet Kuiper… Néanmoins le nouveau projet de Jeff Bezos ne fait pas vraiment plaisir à SpaceX, qui concocte depuis 2016 sa constellation Starlink.

Qu’ils s’entrent tue … et que tout parte en fumée

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$$$$ tout pour le pognon, meme polluer le ciel

L’espace :stuck_out_tongue:

Quand nos enfants lèveront les yeux au ciel, ils ne verront plus d’étoiles, mais un dépotoir…

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Et après on vient nous les casser avec cette escroquerie 2.0 appelée écologie.

Amusant d’imaginer que la FCC (Américaine) puisse décider pour le monde entier…
A moins que cela ne concerne que le survol du territoire US.

Le film Wall-E avait vu juste, un ciel aussi pollué que la terre elle même, et moi je dois me sentir coupable de boire mon soda avec une paille.

La perte de biodiversité, la disparition du vivant toi tu t’en branle t’es bien au dessus de tout ça … L’écologie c’est pas juste trier tes poubelles et payer des taxes c’est respecter la vie et la nature si t’es pas capable d’adapter ton existence a ces choses essentielles je vois pas comment tu pourrait la meriter. L’écologie n’est pas une escroquerie c’est quelque chose qu’on est maintenant obliger d’imposer a cause d’inconscients qui scient la branche sur laquelle ils sont en emportant tout ceux pour qui ça compte vraiment avec. C’est franchement honteux de lire des absurdités pareilles.

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Il faut interdite les deux. C’est un espace publique, pas d’entreprises privées.

Au contraire c’est très bien. Avec suffisamment d’acteurs, nous allons avoir un bouclier spatial gratuit qui va réduire la puissance du soleil reçu sur Terre de quelques pourcents, suffisamment pour limiter l’impact du réchauffement climatique. Laissez les faire, c’est gratuit, jamais nos politiques n’auraient eu les bollocks de lancer un tel projet de toute façon…

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Vous n’avez aucune idée de ce que représente la gigantesquitude de la surface d’une seule des 7000 couches arbitrairement définies de l’orbite basse.
La surface de la Terre est plus petite : 510 000 000 de km carrés. Si je ne me trompe, 10 000 satellites éparpillés seraient distants de plus de + de 75 km les uns des autres, et ce dans une seule couche. Quand on sait qu’avec la précision des GPS et autres positionnements, on peut gérer les positions au mètre près…

Je te laisse calculer combien il faudrait de satellites pour créer ce parasol dont tu parles. :crazy_face:

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C’est seulement les fans d’astronomie qui vont être deçus, nous autres quidams on ne verra probablement jamais ne serait-ce qu’un pixel noir dans le ciel.

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Salut rexxie, quand tu dis « on peut gérer les positions au mètre près », je me dois de te répondre « vous n’avez aucune idée » des difficultés en jeu (tu ne peux pas simplement transposer avec la géolocalisation en xy de ta Tesla ou même celle en xyz d’un avion de ligne, c’est beaucoup plus ardu). Et quand bien même ce serait possible, cela nous ferait une belle jambe car ce ne serait seulement qu’une partie du problème qui serait résolu. Et le fait est que malgré tous nos moyens technologiques (et particulièrement ceux du NORAD) on n’a pas été capable d’éviter certaines collisions… En conséquence, cette « gigantesquitude » ne l’est plus tellement une fois que des marges de sécurité confortables sont prissent en compte.
En soit Starlink n’est guère un problème, mais la multiplication de ces méga-constellations va effectivement finir par en poser un.

Et encore, c’est surtout l’astronomie visuelle qui va être impactée. Pour l’astrophotographie cela reste parfaitement gérable (surtout à fort grandissement).

La plupart des nouveaux satellites, on peut les diriger alors les probabilités de collisions restent négligeables même si leur nombre s’accroît. S’accroît aussi la technologie de contrôle de trajectoires.

Tout ceci n’est pas gratuit puisque cela revient à grignoter l’espérance de vie du satellite à chaque évasive. Aujourd’hui c’est plutôt marginal, mais comme le nombre de manœuvre n’est pas du genre à croître gentilement (linéairement) avec le nombre de satellite, ça peut vite devenir invivable si on abuse.

Ma remarque était une boutade. Je sais très bien qu’on en est très loin, mais vu la vitesse à laquelle on arrive à polluer un système, je ne serais pas étonné que l’on arrive à polluer suffisamment la surface d’une sphère de 300km de diamètre pour avoir un effet.

Je t’invite à lire Tempête solaire d’Arthur C Clarke et Stephen Baxter. Ils ont calculé la taille d’un bouclier pour se protéger d’une forte émission EM du soleil, et au final, ce n’est pas si délirant que ça (il ne s’agit pas de cacher 1% de la puissance solaire, ce serait une catastrophe si on atteignait cela, il faut beaucoup, beaucoup moins pour avoir un effet « positif »).
De plus, pour refroidir une planète, il faut bloquer les rayons incidents mais laisser passer les rayons émis par la planète (sinon, on refait un effet de serre). Donc, la nuit, il faut pivoter les antennes/miroirs perpendiculaire à la tangente orbitale, ce qui consommerait trop de moment des gyroscopes trop vite.

Ceci dit, s’il on en arrive à ça, il faut se dire que l’on aura alors la technologie pour refroidir Vénus (qui, est quand même plus facilement habitable que Mars, mis à part la température excessive).

A l’altitude et à la vitesse de satellites le GPS ne marche pas

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