Eric, il est à l'aise avec le sandwich irlandais qui permet à Google de payer des impôts représentant quelques % seulement de son chiffre d'affaires dans plusieurs pays d'Europe. La puissance de son
raisonnement - lequel se résume à quelque chose comme "on paie quand même des impôts et en plus on crée de l'emploi alors on va pas non plus nous en déféquer une pendule hein ?" devrait ramener ces vils ploutocrates suceurs de sang à la raison.
Drame en vue au pays du fromage sans goût : il semblerait que les livraisons de Galaxy S4
aient pris un peu de retard. Enfin drame... le quidam moyen s'en fout sans doute un peu lui, mais le vrai de vrai, celui qui a déjà trois téléphones et change tous les deux mois, risque de mal le vivre. Notez qu'on ne lui jette pas la pierre, Pierre, rapport au fait qu'on est un peu comme ça aussi pour certains.
Universal n'est pas précisément fan de Grooveshark, qui permet d'écouter plein de jolie musique sans débourser un traître liard (ou un liard pas traître d'ailleurs). Les deux s'écharpent donc joyeusement en justice depuis quelques temps. La dernière bataille a été
remportée par Universal, qui a trouvé comment exploiter à son compte une des lacunes du texte régissant, aux Etats-Unis, le rôle des hébergeurs quand il s'agit de contenus soumis au droit d'auteur.
Rien ne va plus à Apple-city, pardon, Cupertino. Comme il faut racheter des actions et reverser moult picaillons aux actionnaires afin de faire retrouver au cours de l'action ses niveaux stratosphériques de fin 2012, on vient de décider qu'on
allait revoir à la baisse les ambitions de la maison en ce qui concerne son futur super campus en forme de soucoupe spatiale. Pas certain que Steve aurait laissé passer ça !
Émois virtuels, passez votre chemin. Plus besoin de faire l'amour au téléphone lorsque l'être cher est loin : de superbes
vêtements connectés savent désormais reproduire la sensation d'une caresse, pilotés à distance par un téléphone. Toute la question réside, évidemment, dans les abus potentiels...