Comparatif 23 appareils photo numériques
Le choix d'un appareil photo numérique doit être déterminé par un certain nombre de critères :
La résolution
En ce qui concerne la taille des tirages que l'on peut espérer en fonction de la résolution, voici quelques repères. Un 2 Mégapixels fournira des tirages 10x15 cm de qualité (300 ppp) et des 13x18 cm encore très acceptables (234 ppp). Les 4 et 5 Mégapixels (et même les 3 Mpix si l'on n'est pas trop regardant sur la définition) peuvent se risquer aux tirages 20x30, mais seul un 8 Mégapixels pourra offrir des tirages « haute définition » (300 ppp). Ce même 8 Mpix sera tout juste suffisant pour des tirages corrects en 30x40 (un peu plus de 200 ppp).
Ces indications sont valables pour un tirage plein format. Si l'image est destinée à être recadrée de manière plus ou moins importante, il faudra se tourner, à taille de tirage égale, vers des appareils de résolution supérieure.
La compacité et l'ergonomie de l'appareil
Si l'APN est destiné à vous accompagner partout, dans un sac à main ou dans une poche, il est capital qu'il soit de petite dimension. Si la taille vous importe peu, privilégiez les appareils de taille moyenne, offrant en général un meilleur rapport performances/prix que les APN ultra miniaturisés. Avant d'acheter un appareil, il est judicieux de l'essayer au moins quelques instants. L'appareil doit vous sembler naturel à prendre en main (les doigts ne doivent masquer ni l'objectif, ni le flash, ni le système d'analyse de la lumière et/ou de l'autofocus) et les commandes faciles d'accès et explicites. La visée doit être aisée, lisible en toutes circonstances et suffisamment précise.Les possibilités
Pour la photo souvenir, un APN tout auto, doté tout de même de quelques programmes résultat, et équipé d'un zoom 3x peut suffire. Pour des photos plus travaillées, il faudra vous tourner vers des modèles pouvant fonctionner en mode semi-auto (priorité à l'ouverture ou à la vitesse), disposant d'un mode Bracketing (prise d'un même cliché à différentes expositions, les images pouvant être recombinées ensuite dans certains logiciels de retouche, ce qui permet de contourner la très faible latitude d'exposition des capteurs) et d'un zoom de grande amplitude (si possible stabilisé pour limiter le flou de bougé). Si vous êtes un gros consommateur d'image, privilégiez les appareils dotés d'un emplacement mémoire Compact Flash ou SD/MMC à ceux qui usent de Cartes Mémoire xD ou Memory Stick, plus coûteuse.Le comparatif

Pour les tester, nous les avons longuement essayé, multiplié les photos en intérieur avec ou sans flash comme en extérieur, en auto comme en mode semi auto ou manuel, en usant des programmes résultats, etc. Nous avons aussi exploré l'éventail des possibilités annexes et mesuré, chronomètre en main, le délai de disponibilité (entre le moment où l'utilisateur appuie sur le bouton de mise en route et celui où il peut prendre sa première photo).
Afin d'assurer une meilleure comparaison du rendu des images, nous avons aussi photographié la même poupée au flash, en trois sensibilités : minimale (50, 80 ou 100 ISO selon les appareils) et à 200 et 400 ISO. Vous pourrez consulter ces images et pouvoir ainsi mieux comprendre les dégradations importantes dues à l'accroissement de la sensibilité (ce qui vous conduira sans doute à fixer vous-même cette sensibilité plutôt que d'en laisser le choix à l'automatisme) et comparer de visu les qualités et défauts respectifs de chaque appareil.
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Canon PowerShot A85

Le A85 est doté d'un zoom autofocus 3x offrant une plage de focales de 35 à 105 mm (en équivalent 24x36) et capable de descendre à 5 cm en mise au point rapprochée, le flash restant utilisable. Il est équipé d'un capteur CCD de 1/2.7 pouces riche de 4.2 Mpix (4 Mpix effectifs) et exploité en quatre résolutions (2272x1704 à 640x480) et trois niveaux de compression.
A 50 ISO, les images sont bonnes, avec un rendu fidèle des couleurs, le bruit étant quasi absent. Mais elles manquent un peu de punch. A 200 ISO en revanche, le bruit est marqué et rend déjà l'utilisation des images un peu problématique. Les choses ne s'arrangent évidemment pas à 400 ISO, le bruit dégradant nettement la précision des détails et dénaturant les plages de couleur unie.
Le PowerShot A85 dispose d'une panoplie très complète de modes de prise de vue : deux modes tout auto (simplifié et programme), priorité à l'ouverture et à la vitesse et exposition manuelle, le tout complété de onze programmes résultat. L'appareil propose encore quelques fonctions avancées comme le réglage de la Balance des blancs, la correction d'exposition (générale et au flash), la prise de vue panoramique par assemblage, le détecteur d'orientation ou la mise au point manuelle. Le A85 est assez rapide et ne requiert que 2 secondes pour s'initialiser. Le retard au déclenchement est peu perceptible, excepté en ambiance sombre où l'autofocus peine à faire le point. Le mode rafale n'est pas un foudre de rapidité : environ une image/s (en résolution maximale/compression minimale, flash coupé) sur un total de 7 images. L'appareil offre trois modes vidéo avec son synchrone, tous assez quelconques : 640x480 à 10 images/s, et 320x240 ou 160x120 à 15 images/s.
Le A85 loge ses images sur une carte mémoire Compact Flash, une 32 Mo étant fournie. L'alimentation est assurée par 4 piles/accus AA, qui ont l'avantage de leur universalité et de leur coût réduit, à défaut d'avoir le meilleur rapport autonomie/poids.
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Canon PowerShot A95

Le A95 est équipé d'un zoom autofocus 3x (35-105 mm en équivalent 24x36) qui peut assurer le point jusqu'à 5 cm en mise au point rapprochée. L'analyse des images est confiée à un capteur CCD de 1/2.7 pouces riche de 5 Mégapixels et exploité en quatre résolutions (2272x1704 à 640x480) et trois niveaux de compression. A 50 ISO, les images sont précises et contrastées, avec un rendu fidèle des couleurs, le bruit étant quasi absent. A 200 ISO en revanche, le bruit est marqué et rend déjà l'utilisation des images un peu problématique. Les choses ne s'arrangent évidemment pas à 400 ISO, le bruit dégradant nettement la précision des détails et dénaturant les plages de couleur unie.
Le A95 est assez rapide et sera prêt à photographier en 2 secondes. Le retard au déclenchement est très raisonnable, excepté en ambiance sombre où l'autofocus peine à faire le point. Le mode rafale permet d'enchaîner jusqu'à 14 images à raison de 1.17 images/s. L'appareil offre trois modes vidéo avec son synchrone : 640x480 à 10 images/s, et 320x240 ou 160x120 à 15 images/s.
Le A95 loge ses images sur une carte mémoire Compact Flash, une 32 Mo étant fournie. L'alimentation est assurée par 4 piles/accus AA.
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Casio Exilim Z40

La visée s'effectue au choix dans le viseur optique ou sur l'écran LCD. Disons-le tout net : ce viseur optique n'est guère plus qu'un gadget : très petit, il n'offre ni repère de parallaxe, ni indication de la zone de mise au point. Seul qualité : un dégagement oculaire suffisant pour les porteurs de lunettes.
L'écran LCD est heureusement d'un tout autre tonneau. De grande taille (2 pouces), il reste lisible en extérieur et bénéficie d'un rafraîchissement suffisant. Il profite d'un quadrillage (utile pour la photo d'architecture ou la composition des images en général) qui peut être désactivé et peut afficher, en sus des paramètres de prise de vue, l'histogramme temps réel de l'image.
L'Exilim Z40 est équipé d'un zoom 3x (équivalent à un 35-105) capable de descendre à 6 cm en mode macro. Le capteur CCD1/2.5 pouce de 4.23 Mpix (4 Mpix effectifs) est utilisé en cinq résolutions (du 2304x1728 au 640x480 pixels), en trois niveaux de compression pour chacune. A la sensibilité de 50 ISO, les images sont agréables : très peu de bruit et un bon rendu des couleurs, mais elles manquent tout de même un peu de contraste et de détails. A 200 ISO les images sont marquées par un bruit important, bruit qui devient très important à 400 ISO, rendant les images quasiment inexploitables (l'image est dénaturée par un piqueté de pixels colorés parasites).
Côté possibilités, l'Exilim Z40 n'est pas chiche : il ne propose pas moins de 21 programmes résultat, encore complété d'un mode personnalisé, permet de caler la Balance des blancs, de choisir entre autofocus ponctuel ou multizone ou encore de faire le point en manuel. La réactivité de l'appareil est excellente, à la mise en route comme à la prise de vue (capture quasi-instantanée en appuyant directement à fond sur le déclencheur, ce qui désactive temporairement l'autofocus), mais le mode rafale est manquant. Le mode vidéo est en revanche très quelconque : séquences en 320x240 à 15 images/s, en son synchrone tout de même.
Le stockage est assuré au choix dans la mémoire interne (10 Mo) ou par une carte SD. La batterie Lithion-Ion assure pour sa part une autonomie de 360 images (standard CIPA), la recharge étant assurée par la station d'accueil fournie.
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Casio Exilim Z50

La première, Icon Help, permet d'illustrer chaque icône de fonction de la légende correspondante. Très pratique pour le novice qui ne risque plus d'être perdu au milieu de symboles plus ou moins ésotériques. L'habitué pourra pour sa part désactiver cette fonction.
La seconde innovation en terme d'ergonomie est aussi simple que géniale, à tel point que l'on se demande pourquoi les fabricants n'y ont pas songé plus tôt ! L'appareil est en effet capable de passer de lui-même du mode normal au mode macro, en se basant sur la distance de mise au point détectée par l'autofocus. Vraiment précieux car avec les appareils concurrents, il est toujours difficile de privilégier l'un ou l'autre mode lorsque le sujet se situe à une cinquantaine de centimètres.
Le Z50 reprend le viseur optique exécrable et l'écran LCD de qualité du Z40. Seule petite différence : l'histogramme temps réel affiche non seulement la courbe globale, mais aussi la courbe pour chacune des composantes rouge, vert et bleu. Tout comme le Z40, le Z50 est doté d'un zoom autofocus 3x (35-105 équivalent) capable de descendre à 6 cm en mode macro. Le capteur est en revanche différent. S'il s'agit toujours d'un CCD de1/2.5 pouce, celui du Z50 est un 5 Mpix, exploité en six résolutions (du 2560x1920 au 640x480) et trois niveaux de compression pour chacun.
A 50 ISO, les images sont convaincantes : pas de bruit, rendu fidèle des couleurs et bonne précision des détails (image encore un peu douce toutefois). Le bruit est encore bien maîtrisé à 200 ISO, mais devient gênant à 400 ISO, sans que les images ne soient inexploitables pour autant.
En sus des possibilités du Z40, le Z50 dispose de la correction d'exposition au flash et des réglages de netteté, saturation, contraste. En revanche, pas de différence en ce qui concerne la réactivité ou le mode vidéo. Le stockage est assuré au choix par la mémoire interne (9.3 Mo, soit moins que sur le Z40 à 4 Mpix !) ou sur une carte SD. La batterie Lithion-Ion offre une autonomie de 390 images (standard CIPA), la recharge s'effectuant toujours via la station d'accueil.
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Casio Exilim Z55

Le viseur optique du Z55 est quasi « décoratif » : très petit, il n'offre ni indication de la zone de mise au point, ni repères de parallaxe. L'écran LCD est heureusement d'une toute autre qualité : de très grande taille (2.5 pouces), il est bien rafraîchi et lisible en extérieur. Ce confort de visualisation est appréciable pour le cadrage (avec un quadrillage facilitant les photos d'architecture) comme pour le contrôle des images ou la lecture des informations, très complètes ici : vitesse/ouverture et autres données de prise de vue, et histogramme temps réel avec courbe globale plus courbe pour chacune des trois composantes rouge, vert et bleu.
Le Z55 est équipé d'un zoom autofocus 3x (35-105 mm) capable d'assurer le point jusqu'à 6 cm. Le capteur de 1/2.5 pouces est un modèle 5 Mpix, offrant six résolutions (du 2560x1920 au 640x480) et trois niveaux de compression pour chacun. A 50 ISO, les images sont convaincantes : pas de bruit, rendu fidèle des couleurs et bonne précision des détails (mais les images sont un peu douces). Le bruit est encore bien maîtrisé à 200 ISO, mais devient gênant à 400 ISO.
Le Z50 dispose de 21 programmes résultat, encore complété d'un mode personnalisé. Il permet en outre de régler la Balance des blancs, de choisir le mode autofocus (multi zone ou central), de faire le point en manuel, de corriger l'exposition (normal et au flash) et de régler netteté, saturation et contraste. La réactivité de l'appareil est excellente, à la mise en route comme à la prise de vue (capture quasi-instantanée en appuyant directement à fond sur le déclencheur, ce qui désactive temporairement l'autofocus), mais le mode rafale est manquant. Le mode vidéo est en revanche très quelconque : séquences en 320x240 à 15 images/s, en son synchrone tout de même.
Le stockage est assuré au choix par la mémoire interne (9.3 Mo, soit moins que sur le Z40 à 4 Mpix !) ou sur une carte SD. La batterie Lithion-Ion offre une autonomie de 390 images (standard CIPA), la recharge s'effectuant toujours via la station d'accueil.
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Hewlett-Packard Photosmart R507

Comme un trop grand nombre de ses concurrents, le R507 ne propose qu'un viseur optique basique. Pour sa part, l'écran LCD offre une définition correcte, reste lisible en extérieur et rappelle les informations principales de prise de vue (ouverture et vitesse en particulier). Mais il est un peu petit (3.8 cm) et le rafraîchissement est un peu juste.
Le R507 est équipé d'un zoom autofocus Pentax 3x (35-105 mm), qui peut faire le point sur des sujets jusqu'à 6 cm en mode Super Macro. Le capteur est un minuscule CCD de 7.2 mm exploité en trois résolutions (2320x1744 au 640x480) et quatre niveaux de compression. A noter que seuls deux niveaux de compression sont proposés dans les modes prédéfinis et cela uniquement en résolution maximale, l'éventail complet des combinaisons résolution/compression n'étant accessible qu'en mode personnalisé.
A 100 ISO, les images sont d'un bon niveau : couleurs fidèles et restitution correcte des détails (en particulier dans les ombres grâce à la technologie exclusive Adaptive Lighting). Mais on relève déjà un peu de bruit, pas trop gênant toutefois. En revanche, à 200 ISO, ce bruit entame la précision des détails, les images 400 ISO étant difficiles à utiliser.
En sus du mode auto et des cinq programmes résultat, l'appareil offre un mode priorité à l'ouverture, dont les possibilités sont cependant bridées par le choix limité à deux valeurs (différentes selon la focale du zoom). Le R507 dispose de quelques autres perfectionnements : panorama par assemblage d'images, correcteur d'exposition, réglage de la Balance des blancs, mesure spot de l'exposition, paramétrage de la saturation et de la netteté.
Le R507 n'est guère adapté à la photo d'action : il réclame près de 4 secondes à s'initialiser et ne peut capturer une image que lorsque la précédente est traitée. Il dispose pourtant d'une mémoire tampon, exploitée en mode rafale : 5 images à raison de 1.5 images/s en résolution maximale/compression minimale. En vidéo, le R507 joue les originaux. D'une part, il exploite un déclencheur dédié. D'autre part, il filme à 24 images/s en son synchrone, mais à la résolution de 288x216 seulement.
La mémoire interne de 32 Mo (27 Mo pour le stockage des images) est renforcée d'un logement pour carte SD/MMC. L'alimentation est assurée par un accu Lithium-ion de bonne capacité
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Fujifilm Finepix F440

Le viseur optique est petit, mais il signale la zone de mise au point et dispose de repères de parallaxe. L'écran LCD est de belle facture. De grande taille par rapport aux dimensions de l'appareil (2 pouces), il affiche toutes les informations de prise de vue, peut être quadrillé et dispose d'un rafraîchissement correct. Mais il aurait gagné à être plus lisible en extérieur.
Le F440 est équipé d'un zoom autofocus 3.4x (38-130 mm en équivalent 24x36) qui peut assurer le point jusqu'à 9 cm. Le capteur est un CCD 4.23 Mpix (4.1 Mpix effectifs) de 1/2.5 pouces utilisé en 4 résolutions (2304x1728 à 640x480), la résolution maximale disposant de deux niveaux de compression.
A 80 ISO, les images sont flatteuses : bien contrastées, couleurs bien saturées (tendance aux tons chauds), et bonne précision des détails. Seul regret : un très léger bruit surtout visible au zooming. A 200 ISO, le bruit est perceptible et devient très présent à 400 ISO.
En sus du mode auto et de quatre programmes résultat, le F440 dispose d'un mode « manuel » à la dénomination trompeuse. Ce mode ne permet en effet que d'accéder au correcteur d'exposition et à la Balance des blancs. Le F440 est assez vif et ne réclame que 2 secondes à s'initialiser. La mise au point est rapide sur des sujets bien éclairés et le retard au déclenchement limité. En revanche, l'appareil peine à faire le point en ambiance sombre et ne propose pas de mode rafale. Les modes vidéos (avec son synchrone) sont peu attrayants : 320x240 ou 160x120, tous deux à 10 images/s.
Les images sont stockées sur une carte xD (16 Mo fournie), l'alimentation étant assurée par une batterie Lithium-ion qui se recharge dans l'appareil, via la station d'accueil fournie.
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Fujifilm Finepix F450

Le F450 est équipé d'un zoom autofocus 3.4x (équivalent à un 38-130 mm), capable de descendre jusqu'à 9 cm en mise au point rapprochée. Le capteur est un CCD 1/2.5 pouces de 5.36 Mpix (5.2 Mpix effectifs), exploité en quatre résolutions (du 2592x1944 au 640x480), la résolution maximale bénéficiant de deux niveaux de compression. A 80 ISO, les images d'un bon niveau, contrastées avec des couleurs chaudes et saturées et une bonne précision des détails, qualités à peine entamées par un très léger bruit. A 200 ISO le bruit devient bien visible mais ne gène pas encore trop le rendu de l'image. A 400 ISO, le bruit est très présent et rend difficile l'exploitation des images.
Le F450 travaille exclusivement en auto (classique plus quatre programmes résultat). Le mode manuel, bien mal nommé, ne sert qu'à accéder aux quelques paramétrages : correction d'exposition et Balance des blancs. Le F450 est assez réactif à la mise en route (2 secondes environ). Le retard au déclenchement est modéré, l'autofocus travaillant vite lorsque la lumière est abondante. Les choses se gâtent malheureusement en ambiance sombre, où l'autofocus patine pour faire le point. De plus l'absence de mode rafale et la durée de traitement obligatoire qui sépare deux prises de vue (pas de buffer) rendent l'appareil impropre aux photos d'action. Les modes vidéo, avec son synchrone, sont quelconques : 320x240 ou 160x120, tous deux à 10 images/s.
Les images sont stockées sur une carte xD (16 Mo fournie), une batterie Lithium-ion, qui se recharge dans l'appareil via la station d'accueil fournie, assurant l'autonomie électrique.
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Fujifilm Finepix E500

Le E500 est doté d'un nombre important de molettes et boutons qui peuvent effaroucher le novice : molette de sélection, croix de direction, boutons d'accès au menu, aux paramètres de prise de vue, au correcteur d'exposition, bouton d'ouverture du flash (qui est donc commandé manuellement), choix du mode de visualisation, etc. Mais on s'y fait très vite et l'ergonomie d'usage y gagne en efficacité.
Le viseur optique, petit et complètement déporté sur la gauche de l'appareil, dispose de repères de parallaxe et de la zone de mise au point. L'écran LCD est un modèle de bonne taille (2 pouces), d'une précision correcte (154 Kpix) et bien rafraîchi, mais un peu difficile à lire en plein soleil. Toutes les informations de prise de vue sont rappelées à l'écran, qui peut afficher un quadrillage (très utile pour la photo d'architecture ou pour suivre la règle de cadrage des 2/3).
Le E500 est équipé d'un zoom autofocus x3.2 (28-91 mm) offrant donc une vraie position grand angle (ce qui est bien rare sur les APN) qui sera très appréciée des amateurs de paysage. Ce zoom peut assurer le point jusqu'à 2.6 cm en mode Super Macro. L'analyse des images est confiée à un capteur CCD 1/2.5 pouces de 4.1 Mpix, exploité en quatre résolutions (2304x1728 à 640x480), la résolution maximale étant disponible en deux niveaux de compression.
A 80 ISO, les images sont très propres : pas le moindre bruit, une compression JPEG invisible, couleurs fidèles et détails fins bien rendus. Mais les images manquent tout de même un peu de contraste. A 200 ISO, le bruit se fait encore très discret et ne se manifeste vraiment (mais cette fois de manière bien visible) qu'à 400 ISO.
Le E500 dispose d'un large éventail de modes de prise de vue. En sus du mode programme et du mode auto simplifié, l'appareil offre les priorités à l'ouverture et à la vitesse, le mode manuel et quatre programmes résultats. Il dispose aussi de paramétrages avancés : choix du mode d'analyse de l'exposition et de la mise au point (multizone/centrée), Balance des blancs, mise au point manuelle, correction d'exposition (standard et au flash) et réglage de la netteté. Le E500 n'est pas un foudre de réactivité. Il lui faut plus de 3 secondes pour se mettre en route, et peine à faire le point dès que le sujet n'est pas bien éclairé. De plus, l'absence de mode rafale est une lacune étonnante sur un appareil orienté par ailleurs amateur avancé.
Les modes vidéo, avec son synchrone, ne feront pas d'ombre aux caméscopes : 320x240 ou 160x120, tous deux à 10 images/s. Les images sont stockées sur une carte xD (16 Mo fournie), l'alimentation étant assurée par deux universelles piles/accus AA
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Fujifilm Finepix E510

Le E510 profite d'un zoom autofocus 3.2x capable d'assurer le point jusqu'à 2.6 cm et couvrant la plage de focale 28 à 91 mm. Les amateurs de paysage apprécieront donc l'existence d'une vraie position grand angle, peu courante en numérique. Le E510 fait usage d'un CCD 1/2.5 pouces de 5.36 Mpix (5.2 Mpix effectifs), exploité en quatre résolutions (du 2592x1944 au 640x480), la résolution maximale bénéficiant de deux niveaux de compression. A 80 ISO, les images sont propres, avec des couleurs fidèles, un contraste bien géré, une bonne précision de détails et pas de bruit visible. Ce bruit se manifeste en revanche de manière bien visible à 200 ISO, pour devenir très présent à 400 ISO (mais les images restent exploitables).
Le E510 dispose d'un éventail fourni de modes de prises de vue : mode auto classique et simplifié, priorité à l'ouverture ou la vitesse, mode manuel où l'utilisateur règle lui-même ouverture et vitesse, le tout complété de quatre programmes résultat. Les options de paramétrages sont tout aussi complètes : choix du mode d'analyse de l'exposition et de la mise au point (multizone/centrée), Balance des blancs, mise au point manuelle, correction d'exposition (standard et au flash) et réglage de la netteté. Côté réactivité, le E510 est un mou : il lui faut plus de 3 secondes pour être prêt à prendre des photos, le mode rafale brille par son absence et l'autofocus patine dès que la lumière baisse. De plus, l'absence de mémoire cache combinée à la résolution « élevée » induit un temps de traitement obligatoire non négligeable (plusieurs secondes) entre chaque prise de vue. Les modes vidéo, avec son synchrone, ne sont guère impressionnants : 320x240 ou 160x120 à 10 images/s.
Le E510 dispose d'un logement pour carte xD (16 Mo fourni), l'alimentation étant assurée par 2 accus AA Ni-MH.
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Fujifilm Finepix S3500

En apparence, le S3500 adopte une ergonomie classique avec son sélecteur rotatif, sa croix de direction qui assure aussi le zooming et offre un accès rapide aux modes flash (qui doit être érigé manuellement) et macro, et ses touches de fonction. Malheureusement la conception des menus semble le fait d'un expérimentateur fou. Pour accéder aux programmes résultat, il faut placer le sélecteur sur portrait, puis appeler le menu, se rendre à l'onglet scènes et choisir enfin le mode désiré ! De même le mode manuel est un leurre et permet seulement d'accéder aux réglages « avancés ». Le viseur électronique dispose d'un œilleton de bonne dimension, qui sera apprécié des porteurs de lunettes. En contrepartie, il lui manque un correcteur dioptrique et sa faible résolution fait apparaître la mosaïque des pixels et interdit l'observation des détails fins de l'image.
L'écran LCD est petit (1.5 pouce), mais il est bien rafraîchi et reste lisible en extérieur grâce à un renforcement du rétroéclairage d'accès immédiat. Les deux modes de visée affichent quelques informations et peuvent être quadrillés, mais oublient le principal, à savoir les ouverture et vitesse de prise de vue, ce qui est indigne d'un bridge camera habituellement destiné à des amateurs avancés.
Le S3500 est doté d'un zoom autofocus 6x (39-234 mm en équivalent), qui peut assurer la mise au point jusqu'à 10 cm en mode macro. Le capteur est un CCD 1/2.7 pouces de 4.23 Mpix (4 Mpix effectifs), exploité en quatre résolutions (2272x1704 à 640x480), un seul niveau de compression étant disponible. A 100 ISO, les images sont correctes avec un rendu des détails assez précis et des couleurs saturées (mais un peu chaudes). Un léger bruit est toutefois visible. Il n'a pas été possible de tester d'autres valeurs ISO : l'appareil ne dispose pas d'un réglage de la sensibilité (encore une anomalie pour un bridge camera) et la prise de vue en basse lumière, flash coupé, qui aurait permis à l'automatisme de pousser la sensibilité (jusqu'à 250 ISO selon la notice) rend la mise au point impossible !
Le S3500 ne dispose que d'un éventail réduit de modes de prise de vue : tout auto, 4 programmes résultat et priorité à l'ouverture (mais choix limité à 3 ouvertures). Il offre tout de même un correcteur d'exposition (normal et au flash), ainsi qu'un réglage de la Balance des blancs et de la netteté. L'appareil réclame près de 3 secondes à s'initialiser. La mise au point est rapide sur des sujets bien éclairés, mais lente et même souvent impossible dès que la lumière devient pauvre (en intérieur, même de jour !). De plus, l'absence de buffer interdit toute prise de photos successives rapides, le S3500 étant aussi dépourvu de mode rafale.
Les modes vidéo sont peu attrayants (320x240 ou 160x120, tous deux à 10 images/s) et muets de surcroît. Les images sont stockées sur une carte xD (16 Mo fournie), l'alimentation étant assurée par quatre piles/accus AA
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Kodak EasyShare LS 743

En revanche, on pourra regretter l'absence de hiérarchisation dans le menu et les boutons un peu petits. Le viseur optique n'est pas un exemple à suivre : bien petit, il n'offre aucun repère. L'utilisateur sera donc amené à privilégier la visée sur l'écran LCD, de taille moyenne (46 mm) et qui aurait mérité un rafraîchissement plus rapide (effet stroboscopique sur des sujets en mouvement). En contrepartie, il offre une finesse correcte et reste bien lisible en extérieur (sauf en plein soleil lorsqu'il est directement éclairé).
Le LS 743 est équipé d'un zoom Schneider 2.8 x (équivalent à un 36-100 mm), autofocus (analyse multizone ou centrale) et capable de descendre à 5 cm en mise au point rapprochée. Dommage toutefois que le mode macro interdise l'utilisation du flash (compréhensible à 5 cm mais pas à 1 m, la distance maximale de prise de vue en mode macro).
Le LS 743 est doté d'un capteur CCD 4 Mpix de 1 cm, exploité en quatre résolutions (du 2304x1728 au 1200x900) et un seul niveau de compression. A la sensibilité minimale de 80 ISO, les images sont tout simplement superbes : grande précision des détails, couleurs fidèles et saturées et bruit absent. A 200 ISO, le bruit est encore très peu visible. A 400 ISO, les choses se gâtent un peu, les images restant encore parfaitement exploitables. A noter que l'appareil offre encore un mode 800 ISO, réservé à la résolution minimale, mais qui reste utilisable et peut dépanner dans certains cas.
Le LS 743 couvre les principaux programmes résultat (9 modèles, du paysage à l'autoportrait, en passant par les photos de nuit et le sport), et offre en sus une bonne panoplie de paramétrages, la possibilité de réaliser des pauses longues (jusqu'à 16 s) et le redressement automatique des images prises en cadrage vertical. Le LS 743 n'est pas très vif au démarrage et il vous faudra patienter 4 secondes avant de pouvoir l'utiliser. En revanche, pas de problème au déclenchement et il dispose d'un mode rafale (3 images/s sur 6 images). Le mode vidéo est assez quelconque : 640x480 à 13 images/s ou 320x240 à 20 images/s.
Le LS 743 suit la tendance actuelle des APN grand public et intègre une mémoire interne de 16 Mo, l'appareil acceptant aussi les carte mémoire SD/MMC. Enfin un accu lithium-ion assure l'alimentation.
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Kodak EasyShare LS 753

Comme beaucoup d'autres constructeurs, Kodak n'a fait aucun effort sur le viseur optique, qui reste pourtant très utile pour le suivi de sujets mobiles. Ce viseur est petit et ne dispose d'aucun repère. L'écran LCD pour sa part est de taille moyenne (46 mm) et souffre d'une fréquence de rafraîchissement un peu juste qui le rend peu approprié à la visée de sujets mobiles (effet stroboscopique). Il est en revanche assez précis et correctement lisible en extérieur.
Le LS 753 est équipé d'une optique zoom 2.8x (36-100 mm en équivalent 24x36), autofocus comme il se doit (analyse multizone ou centrale) et assurant la mise au point rapprochée jusqu'à 5 cm. Il est toutefois regrettable que ce mode macro interdise l'usage du flash, ce qui peut à la rigueur se comprendre à courte distance, mais pas sur l'ensemble de la plage de mise au point macro. Le capteur est toujours un CCD de 1 cm, offrant une résolution de 5 Mpix, exploité en quatre résolutions (2560x1920 au 640x480) et un seul niveau de compression. A 80 ISO, l'image est de belle facture, avec des couleurs bien saturées et une bonne précision des détails. On n'atteint pas toutefois la qualité de rendu du LS743, un léger bruit étant présent. Ce bruit se manifeste de manière visible à 200 ISO et il est très prononcé sur les images faites à 400 ISO, les choses ne s'arrangeant pas à 800 ISO (disponible en résolution minimale uniquement), l'augmentation du « grain » vidéo étant toutefois peu marquée.
Le LS753 propose quelque 13 programmes résultat, du paysage au contre-jour, en passant par la photo de fleurs, d'enfants, de sports, de nuit, etc. Les paramétrages sont assez complets et l'appareil permet de réaliser des pauses longues (jusqu'à 16 s) et de redresser automatiquement les photos prises en cadrage vertical grâce au détecteur d'orientation dont il est doté. Le LS 453 n'est pas très réactif : il lui faut près de 4 secondes pour s'initialiser et le mode rafale est limité à 4 clichés à raison de 2.4 images/s. Le mode vidéo est assez quelconque : 640x480 à 13 images/s ou 320x240 à 20 images/s.
L'appareil embarque 32 Mo de mémoire (17 clichés en résolution maximale), qui peuvent être complétés d'une carte SD/MMC. L'alimentation est assurée par une batterie lithium-ion.
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Kodak EasyShare DX 7440

Le viseur optique est ici très correct : indication de la zone de mise au point et réglage dioptrique. L'écran LCD est de bonne taille (56 mm), bien rafraîchi et lisible en extérieur. Il récapitule toutes les informations de prise de vue, à l'exception notable de l'histogramme, ce qui est un peu dommage pour un appareil qui dispose de nombreuses fonctions avancées.
Le DX 7440 est doté d'un zoom 4x (33-132mm) autofocus, qui peut assurer la mise au point jusqu'à 10 cm. Le capteur CCD 4 Mpix de 1 cm est exploité en cinq résolutions (du 2304x1728 au 1200x900), chacune en deux niveaux de compression.
A 80 ISO, les images sont fidèles : couleurs précises et saturées et bon niveau de détail. On relève seulement une légère sous-exposition au flash, aisément corrigeable et un très léger bruit, quasiment invisible sans agrandissement. Ce bruit reste acceptable à 200 ISO, mais devient vraiment marqué à 400 ISO.
Le DX 7440 offre une débauche de modes de fonctionnement : fonctionnement auto simplifié, mode programme, priorité à la vitesse ou à l'ouverture, exposition manuelle, mode personnalisé (rappel des paramètres mémorisés), vidéo et programmes résultat. Ceux-ci sont au nombre de 16 et couvrent la quasi-totalité des situations difficiles. A noter encore que l'appareil dispose d'un capteur d'orientation pour redresser de lui-même les images prises verticalement.
Le DX 7440 est assez rapide à s'initialiser (2 secondes environ) et ne souffre pas d'un retard bien important au déclenchement. Le mode rafale, capable de capturer 6 images à 2 images/s environ, fonctionne selon deux modes complémentaires : mode classique où les six premières photos sont enregistrées et mode « retardé » où l'appareil ne conserve que les six dernières images d'une séquence de 30 images (toujours à raison de 2 images/s) : bien vu pour certains sujets dont on ne connaît pas précisément l'instant décisif. En vidéo, l'appareil assure des séquences en 320x240 à 24 images/s ou en 640x480 à 13 images/s, et cela en son synchrone.
L'enregistrement des images s'effectue au choix dans la mémoire interne de 32 Mo ou sur une carte SD/MMC, tandis que la batterie Lithium-ion offre une autonomie confortable.
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Kodak EasyShare CX 7530

La visée est assurée au choix par le viseur optique (rudimentaire) ou sur l'écran LCD offrant une précision et une fréquence de rafraîchissement correctes, mais qui aurait mérité d'être plus grand (46 mm) et surtout plus lisible en extérieur. On regrettera aussi le manque d'information (pas d'indication des ouverture et vitesse de prise de vue) même si l'appareil est destiné au grand public.
L'objectif est un zoom autofocus 3x couvrant les focales 34 à 102 mm (en équivalent 24x36). Il assure la mise au point rapprochée jusqu'à 13 cm, ce qui peut être un peu juste sur certains sujets (timbres par exemple). Dommage aussi que ce mode macro désactive automatiquement le flash. Le capteur 5 Mpix d'un cm est exploité en quatre résolutions (2560x1920 à 1496x1122) en un seul niveau de compression.
A 80 ISO, le CX 7530 fournit des images flatteuses, aux couleurs saturées et bien contrastées. Malheureusement ce contraste semble surtout dû au post-traitement assuré par le processeur de l'appareil, traitement qui majore aussi le bruit. Celui-ci est donc déjà un peu visible à cette sensibilité. A 200 ISO, le bruit est très présent et dénature franchement l'image à 400 ISO et se majore encore à 800 ISO (disponible uniquement en résolution minimale).
Conçu comme un prêt-à-photographier, le CX 7530 n'offre que peu d'options et de réglages : quatre programmes résultat (portrait, sport, photo de nuit et paysage), compensation d'exposition, réglage de la Balance des blancs, pause longue (jusqu'à 4 secondes), choix du mode d'analyse de l'exposition et de la mise au point et capteur d'orientation. L'appareil est moyennement rapide à s'initialiser (près de 3 secondes), mais il peut enchaîner 5 captures à raison de 2.4 images/s. Les vidéos sont très classiques : 640x480 à 13 images/s ou 320x240 à 20 images/s.
L'appareil dispose d'une mémoire interne de stockage de 32 Mo qui peut être étendue par une carte SD/MMC. L'alimentation est fournie par deux piles/accus AA.
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Kodak EasyShare DX 7590

La visée s'effectue au choix dans un viseur électronique ou sur l'écran LCD. Le premier, sans atteindre le niveau des ténors du genre, est suffisamment précis (311 Kpix) pour que l'on voit les détails de l'image et non la trame des pixels. Le second, de grande taille (5.6 cm) est bien lisible en extérieur. Les deux modes de visée disposent d'un rafraîchissement suffisant et peuvent afficher toutes les informations de prise de vue (ouverture/vitesse en particulier), à l'exception notable de l'histogramme malheureusement.
Le DX 7590 est équipé d'un zoom de très grande amplitude (10x), couvrant les focales 38-380 et capable d'assurer le point jusqu'à 12 mm de la lentille en mode macro ! Une superbe optique signée Schneider dont on regrettera seulement l'absence de vraie focale grand angle. Autre remarque : l'appareil ne disposant pas d'un stabilisateur optique, l'usage du rapport de zoom maximum impose une bonne luminosité et/ou un pied, sous peine de flou de bougé. Le capteur est pour sa part un modèle 5 Mpix d'un centimètre, exploité en cinq résolutions (2576x1932 à 1552x1164) et deux niveaux de compression.
A 80 ISO, les images sont superbes : bonne restitution de tous les détails fins, images contrastées, couleurs fidèles et saturées, bruit quasi indécelable. On notera tout de même une sous-exposition assez marquée au flash, aisément corrigeable grâce au correcteur d'exposition dédié. Signalons à ce propos que la mise en route du flash est commandée manuellement, une indication dans le viseur rappelant la nécessité de le mettre en action. A 200 ISO, l'image est encore peu bruitée, le bruit devenant toutefois très visible à 400 ISO.
Le DX 7590 dispose du même éventail très complet de modes de fonctionnement que le DX 7440 : modes tout auto, priorité ouverture/vitesse, exposition manuelle et 14 programmes résultat. Il propose aussi différents réglages avancés : choix du mode d'analyse de l'exposition et de la mise au point, Balance des blancs, correcteur d'exposition général/au flash, renforcement de la netteté et capteur d'orientation. Le DX 7590 s'initialise en 2.5 secondes environ. Le retard au déclenchement est très acceptable et il dispose d'un double mode rafale (à l'image du DX 7440) à 2 images/s sur 4 ou 5 images. Les vidéos en son synchrone sont capturées en 640x480 à 12 images/s ou en 320x240 à 20 images/s.
La mémoire interne de 32 Mo permet de capturer 8 images en résolution maximale/compression minimale, l'appareil étant doté d'un logement pour carte SD/MMC. L'alimentation est confiée à une batterie Lithium-ion.
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Konica Minolta Dimage X50

L'écran LCD est heureusement d'une toute autre facture. De bonne taille (5.2 cm), il est bien rafraîchi et reste correctement lisible en extérieur. En revanche, l'absence d'indication des ouverture/vitesse de prise de vue est une faute de goût, même sur un appareil à visée grand public comme le X50.
L'appareil est équipé d'un zoom 2.8x (37-105 mm), capable de descendre à 6 cm en mode Super Macro. Le capteur est un CCD 1/2.5 pouces de 5 Mpix, exploité en quatre résolutions (2560x1920 au 640x480) et trois niveaux de compression. A 50 ISO, les images sont de belle facture, avec un bon rendu des détails et des couleurs fidèles et saturées. On dénote tout de même un très léger bruit, guère gênant toutefois. En revanche, ce bruit devient très visible à 200 ISO et catastrophique à 400 ISO, les images étant inexploitables à cette sensibilité.
Parmi les fonctions avancées, on note le réglage de la Balance des blancs, le correcteur d'exposition (général uniquement) et le choix du mode de mesure (multizone/centrée). Le X50 est très rapide à s'initialiser et sera prêt en moins d'une seconde. Cette réactivité se retrouve dans le délai de déclenchement, réduit en particulier du fait de la mise au point rapide. Le mode rafale standard enchaîne quatre images à la cadence de 1.9 images/s (en résolution maximale). Le mode UHS (ultra haute vitesse) permet de prendre 11 vues en une seconde, la résolution étant fixée à 1280x960 et le flash non utilisable.
Les vidéos sont enregistrées en 320x240, à 15 ou 30 images/s, et en mode standard ou nuit (sensibilité poussée pour pouvoir filmer dans des conditions de lumière pauvre, au prix d'une dégradation de l'image). Les images sont stockées sur une carte SD/MMC (16 Mo fournie), l'alimentation étant assurée par une petite batterie Lithium-ion.
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Konica Minolta Dimage Z3

Le viseur électronique dispose d'un correcteur dioptrique. Mais sa résolution limitée rend trop visible la trame de pixels et ne permet donc pas le contrôle visuel de la mise au point ni l'observation des détails. L'écran LCD pour sa part est un peu petit (3.8 cm), mais il est bien rafraîchi et lisible en extérieur. Les deux modes de visée affichent toutes les informations de prise de vue, l'histogramme temps réel étant même disponible.
Le Z3 est équipé d'un zoom autofocus d'un rapport exceptionnel : x12 (35x420 mm en équivalent 24x36) ! Une aubaine pour les amateurs de chasse photographique, comme pour les amoureux de la macro, la mise au point étant assurée jusqu'à 1 cm de la lentille ! Un bonheur n'arrivant jamais seul, l'appareil est équipé d'un stabilisateur (la platine porte-capteur est mobile et se déplace pour compenser les tremblements de l'utilisateur) qui limite considérablement le risque de bougé, si courant avec de telles focales. Il devient ainsi possible de photographier à main levée en zoom maximum 420 mm, avec une vitesse aussi réduite que le 1/50e de seconde. Ou de conserver l'ambiance d'un éclairage nocturne ou d'intérieur, sans flash venant écraser les reliefs, et cela sans pied ou appui (photos nettes au 35 mm jusqu'au quart de seconde).
Le capteur CCD 1/2.5 pouces est plus classique avec sa résolution de 4.2 Mpix (4 Mpix effectifs). Il est exploité en quatre résolutions (2272x1704 à 640x480), disponibles chacune en trois niveaux de compression. A 50 ISO, la qualité des images est excellente : grande précision des détails, couleurs fidèles et bien saturées, pas de bruit. On notera seulement une petite sous-exposition au flash, aisément corrigeable. A noter que le Z3 dispose d'une griffe porte-flash et peut accepter les flash de la marque et leurs automatismes évolués. A 200 ISO en revanche, le bruit commence à être bien visible et devient très marqué à 400 ISO.
Le Z3 offre un éventail complet de modes de prise de vue : automatisme simplifié et programme, priorité à l'ouverture et à la vitesse, exposition manuelle, le tout complété de cinq programmes résultat. Il dispose en outre de nombreuses fonctions avancées : Balance des blancs, paramétrage de l'autofocus (multizone/centré, ponctuel/suivi) et de la mesure d'exposition, Bracketing d'exposition, correcteur d'exposition standard et au flash, paramétrage de la netteté, de la saturation et du contraste. Le Z3 est réactif. Il réclame 2 secondes à s'initialiser et bénéficie d'un autofocus rapide, limitant d'autant le retard au déclenchement. Le mode rafale peut enchaîner 7 images à raison de 1.2 images/s. Il propose aussi un mode UHS, capable de capturer 15 images 1280x960 au rythme de 10 images/s. A noter enfin les deux modes progressifs qui conservent les 5 ou 15 (mode UHS) dernières images d'une séquence. Les modes vidéo sont à la hauteur : 320x 240 ou 640x480, à 15 ou 30 images/s (dans les deux résolutions) avec possibilité d'utiliser le zoom (fait rare sur les APN). Les images sont stockées sur une carte SD/MMC (16 Mo fournie) tandis que l'alimentation est assurée par 4 piles/accus AA.
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Nikon CoolPix 4100

Le viseur optique, minimaliste, dispose tout de même d'un dégagement oculaire suffisant, ce qu'apprécieront les porteurs de lunettes. L'écran LCD de 1.6 pouces apparaît un peu petit, même en comparaison des dimensions réduites de l'appareil et n'est guère précis (80 Kpix à peine). En contrepartie, il est bien rafraîchi et offre une luminosité suffisante pour une lecture aisée en extérieur. On regrettera cependant l'absence de toute information d'ouverture/vitesse de prise de vue, même dans le contexte grand public de cet appareil. Les vitesses lentes (risque de flou de bougé) sont toutefois signalées, l'afficheur précisant aussi la mise en œuvre du gain électronique.
Le CoolPix 4100 bénéficie d'un zoom autofocus 3x (35-108 en équivalent 24x36), qui peut assurer la mise au point rapprochée jusqu'à 4 cm. Le capteur est pour sa part un modèle CCD 1/2.5 pouces disposant de 4.23 Mpix (4 Mpix effectifs). L'appareil offre cinq résolutions de prise de vue (du 2288x1712 au 640x480), mais un seul niveau de compression. A 50 ISO, les images sont correctes, avec des couleurs fidèles. Mais elles manquent de précision dans les détails et sont entachées d'un léger bruit. A 200 ISO (sensibilité maximale, obtenue en automatique, l'appareil ne disposant pas d'un paramétrage de la sensibilité), le bruit vidéo est bien présent mais permet encore l'exploitation des images.
Destiné au grand public, le CoolPix 4100 fonctionne exclusivement en mode tout auto. Il dispose tout de même de quelques programmes résultat (10) couvrant les principaux besoins. Il offre aussi un mode panoramique par assemblage, un correcteur d'exposition et le réglage de la Balance des blancs. Le CoolPix 4100 est moyennement vif : il lui faut près de 3 secondes pour s'initialiser mais le retard au déclenchement est modéré, d'autant que l'appareil dispose d'un illuminateur pour aider l'autofocus à faire le point sur des sujets sombres. En mode rafale, l'appareil est capable d'enchaîner jusqu'à 7 images à raison de 1.5 images/s. A noter l'existence d'un mode rafale un peu particulier, l'appareil pouvant enregistrer jusqu'à 16 images (1.5 images/s), les images étant ensuite regroupées par lot de quatre dans une même photo.
En vidéo, le CoolPix 4100 offre trois résolutions (640x480 à 160x120), toutes en 15 images/s.
Le stockage est assuré par la mémoire interne de 14.5 Mo, complété d'un logement pour carte mémoire SD/MMC. L'alimentation électrique est confiée à deux piles/accus AA.
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Nikon Coolpix 4200

Le viseur optique est toujours aussi simpliste. En revanche, l'écran LCD est de meilleure facture que celui du 4100 : il dispose en effet d'une résolution de 110 Kpix et conserve les atouts du précédent : bon rafraîchissement et lecture correcte en extérieur. On regrettera tout de même sa taille réduite (1.5 pouces), tout comme l'absence des ouverture/vitesse de prise de vue : une faute de goût pour un appareil qui dispose par ailleurs de fonctions évoluées (voir plus loin).
Le CoolPix 4200 s'appuie sur un zoom autofocus 3x (38-114 mm), qui peut descendre à 4 cm en mode macro. Le capteur, toujours de 4 Mpix, est ici un CCD de 1/1.8 pouces, exploité en 5 résolutions (2272x1704 au 640x480) et trois niveaux de compression. La taille supérieure de ce capteur (par rapport à celui du 4100) laisserait présager des images plus fines. C'est en effet le cas à 80 ISO, la précision de l'image demeurant atténuée par la compression JPEG un peu trop poussée (même en mode fin). A 200 ISO, le bruit vidéo devient bien visible et franchement gênant à 400 ISO.
Le 4200 reprend tous les modes et paramétrages de son petit frère et en ajoute de nouveaux : choix du mode d'analyse de l'exposition et de l'autofocus, paramétrage du contraste, de la netteté et de la saturation, Bracketing d'exposition et de la Balance des blancs, autofocus continu ou ponctuel. On retrouve aussi l'illuminateur pour aider à la mise au point en ambiance sombre.
Côté réactivité, le 4200 est encore plus lent à se mettre en route que le 4100 : près de 4 secondes. En mode rafale, l'appareil peut enregistrer 5 imaqes à 1.3 images/s, ces images pouvant être les dernières enregistrées d'une séquence plus longue (seules les 5 dernières images seront donc conservées). Il conserve aussi le mode 16 images du 4100. Les « performances » vidéo sont identiques à celles du 4100. Le stockage des images est assuré par les 12 Mo de la mémoire interne, un logement pour carte SD/MMC étant disponible. L'alimentation est confiée à un accu Lithium-ion assurant une bonne autonomie.
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Olympus µ-mini Digital

Le µ-mini Digital profite d'un zoom 2x (équivalent à un 35-70 mm) : un peu juste, mais acceptable pour un appareil aussi compact. En contrepartie, le mode macro est performant et permet de descendre jusqu'à 8 cm. A noter toutefois que ce mode macro induit une sous-exposition très prononcée au flash.
L'appareil est doté d'un capteur CCD1/2.5 pouce de 4.23 Mpix (4.07 Mpix effectifs) exploité en six résolutions (du 2272x1704 au 640x480 pixels), la résolution maximale étant disponible en deux niveaux de compression JPEG. A la sensibilité de 64 ISO, la qualité des images est excellente, avec un bruit correctement maîtrisé et un bon rendu des détails et des nuances colorées. Le bruit monte avec la sensibilité : il devient marqué à 200 ISO et important à 400 ISO.
En sus du mode auto classique, l'appareil dispose d'un large éventail de programmes résultats : 13 en tout, couvrant toutes les prises de vues classiques et au-delà (cuisine, vitrine, ou bougie par exemple). La réactivité de l'appareil est bonne : mise en route rapide, retard raisonnable au déclenchement et mode rafale (jusqu'à 7 images à la cadence de 1.3 images/s en résolution maximale/compression minimale. Le mode vidéo avec son synchrone est en revanche moins attractif : 15 images/s et résolution maximale de 320x240 pixels.
Le stockage est assuré par une XD-Picture Card (carte de 16 Mo fournie) tandis que l'alimentation est confiée à un accu lithium-ion.
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Sony Cyber-Shot DSC-P93

La visée s'effectuera dans le viseur optique, rudimentaire, ou sur l'écran LCD. Cet écran est un peu petit (3.8 cm) mais dispose d'une bonne définition (134 Kpix), d'un rafraîchissement suffisant et reste lisible en extérieur. Toutes les informations de prises de vue sont rappelées à l'écran (mais taille des caractères bien petite), l'histogramme temps réel étant aussi proposé.
Le DSC-P93 est doté d'un zoom autofocus 3x (équivalent à un 38-114 mm), capable d'assurer la mise au point jusqu'à 10 cm. Le capteur est pour sa part un minuscule CCD de 1/2.7 pouces (6.85 mm), logeant 5.255 Mpix (5.09 Mpix efficaces). L'appareil propose cinq résolutions (de 2592x1944 à 640x480) en deux niveaux de compression. A 100 ISO, les images sont excellentes : bruit absent, bon contraste, couleurs fidèles et précision des détails. On relève seulement une légère sous-exposition au flash. A 200 ISO, le bruit est encore très bien maîtrisé et ne devient gênant qu'à 400 ISO.
En sus des deux modes auto, le P93 propose 6 programmes résultat et un mode manuel. L'éventail des paramétrages est complet : correction d'exposition (normal et au flash), choix du mode d'analyse de l'autofocus et de l'exposition, réglage de la Balance des blancs et des saturation/netteté/contraste. L'appareil est moyennement rapide à s'initialiser (2.5 secondes environ), mais le retard au déclenchement est modéré et la mise au point en ambiance sombre facilité par la lampe pilote. En mode rafale, l'appareil peut capturer jusqu'à 9 images à un peu plus d'une image/s. Il offre aussi un mode rafale particulier, qui enchaîne 16 images très rapidement, les 16 clichés étant réunis en une seule image mosaïque.
Les vidéos peut être enregistrées, en son synchrone, en trois formats : 640x480 standard (16.6 images/s) ou fin (30 images/s, mais réservé au Memory Stick Pro) ou 160x112 (8.3 images/s).
Le stokage des images est assuré par une carte Memory Stick (32 Mo fourni), l'appareil étant alimenté par deux accus
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Sony Cyber-Shot DSC-W1

Ce positionnement avancé se retrouve dans le choix de l'objectif : un zoom autofocus 3x (38-114 mm) conçu par Carl Zeiss, qui assure le point jusqu'à 6 cm. Le capteur CCD 1/1.8 pouces de 5.1 Mpix est décliné en cinq résolutions (2592x1944 à 640x480) et deux niveaux de compression. A 100 ISO, la qualité des images fait honneur à l'objectif : excellent rendu des détails et des nuances colorées, contraste bien calé, pas de bruit. A 200 ISO les images sont encore très belles, le bruit demeurant modéré même à 400 ISO.
Le W1 propose deux modes auto (normal et simplifié), un mode manuel et 6 programmes résultat. Les options de paramétrages sont complètes : correction d'exposition (normal et au flash), choix du mode d'analyse de l'autofocus et de l'exposition (multizone ou centrale), réglage de la Balance des blancs et des saturation/netteté/contraste. Le W1 est assez réactif : il ne réclame que 1.3 seconde pour s'initialiser, le retard au déclenchement est modéré et la mise au point rapide en ambiance sombre grâce à la lampe pilote intégrée au boîtier. En mode rafale, l'appareil peut capturer jusqu'à 9 images à un peu plus d'une image/s. Il offre aussi un mode rafale particulier, qui enchaîne 16 images très rapidement, toutes les photos étant réunies en un seul cliché. En vidéo, trois formats sont disponibles : 640x480 standard (16.6 images/s) ou fin (30 images/s, mais réservé au Memory Stick Pro) ou 160x112 (8.3 images/s), tous en son synchrone. L'appareil exploite les Cartes Mémoire Memory Stick (32 Mo fourni), l'alimentation étant fournie par deux accus AA nickel/metal hybride.
» Comparez les prix du Sony CyberShot DSC-WPour conclure :
• Si vous recherchez un bloc-notes photographique, simple d'usage tout en offrant une bonne qualité de rendu, tournez-vous vers l'Olympus µ-mini Digital, qui offre en outre l'avantage d'être tout-temps et de ne craindre ni le sable (attention à ne pas rayer l'objectif tout de même ! ), ni les éclaboussures.
• L'amateur avancé, qui ne craint pas de s'encombrer d'un bridge camera, pourra se tourner sans hésiter vers le Konica Minolta Dimage Z3, qui réunit une somme de perfectionnements : zoom 12x avec stabilisation d'image, débauche de modes de prises de vue et d'options, grande réactivité et vrai mode vidéo (640x480 à 30 images/s et possibilité d'utiliser le zoom).
• Entre ces deux extrêmes, il existe de nombreux appareils qui donneront toute satisfaction à leur acquéreur (pour un APN de milieu de gamme s'entend). On peut retenir en particulier le Casio Exilim Z55, les Kodak EasyShare DX 7440 et 7590, le Canon PowerShot A95, le Nikon Coolpix 4200, le Sony Cyber-Shot DSC-W1 ou encore le Fujifilm FinePix E510.
Récapitulatif | |||
Appareils Photos | Note globale | Les plus | Les moins |
Canon PowerShot A85 | ![]() | -Bonne prise en main -Diversité des modes de prise de vue et des paramétrages -Bonne qualité d'image à 50 ISO | -Montée rapide du bruit -Définition un peu juste de l'écran LCD -Mode rafale un peu mou |
Canon PowerShot A95 | ![]() | -Ecran LCD orientable sur 360 degrés -Bonne prise en main -Diversité des modes de prise de vue et des paramétrages | -Montée rapide du bruit -Définition un peu juste de l'écran LCD -Mode rafale un peu mou (mais autonomie correcte en terme de nombre d'images capturées |
Casio Exilim Z40 | ![]() | -Compacité -Réactivité -Histogramme temps réel | -Viseur optique riquiqui -Bruit inacceptable à 400 ISO -Mode vidéo peu attrayant |
Casio Exilim Z50 | ![]() | -Belle qualité d'image -Richesse des paramétrages -Sélection auto du mode macro | -Viseur optique riquiqui -Mode vidéo peu attrayant -Mémoire interne sous dimensionnée |
Casio Exilim Z55 | ![]() | -Taille et qualité de l'écran LCD -Belle qualité d'image -Sélection auto du mode macr | -Viseur optique riquiqui -Mode vidéo peu attrayant -Mémoire interne sous dimensionnée |
Hewlett-Packard Photosmart R507 | ![]() | -Bonne prise en main Indication des vitesse/ouverture de prise de vue -Fonction adaptive lighting pour déboucher les ombres | -Ecran LCD un peu petit. -Montée rapide du bruit. -Pas très vif. |
Fujifilm Finepix F440 | ![]() | -Bonne prise en main -Ecran de bonne taille -Images flatteuses à 80 ISO | -Mise au point difficile en ambiance sombre -Peu de réglages avancés -Pas de mode rafale |
Fujifilm Finepix F450 | ![]() | -Bonne prise en main -Ecran de bonne taille -Images flatteuses à 80 ISO | -Mise au point difficile en ambiance sombre -Peu de réglages avancés -Pas de mode rafale |
Fujifilm Finepix E500 | ![]() | -Bonne prise en main -Zoom grand angle -Qualité des images | -Mise au point difficile en ambiance sombre -Pas de mode rafale -Ecran difficile à lire en plein soleil |
Fujifilm Finepix E510 | ![]() | -Bonne prise en main -Zoom grand angle -Qualité des images | -Mise au point difficile en ambiance sombre -Pas de mode rafale -Ecran difficile à lire en plein soleil |
Fujifilm Finepix S3500 | ![]() | -Bonne prise en main -Zoom 6x -Ecran LCD bien rétro éclairé | -Ergonomie à revoir -Mise au point difficile en ambiance sombre -Pas de fonctions avancées |
Kodak EasyShare LS 743 | ![]() | -Esthétique réussie -Qualité des images -Facile à utiliser | -Viseur optique trop petit -Rafraîchissement de l'écran -LCD un peu juste -Modes vidéo perfectibles |
Kodak EasyShare LS 753 | ![]() | -Esthétique réussie -Bon rendu d'image à 80 ISO -Facile à utiliser | -Viseur optique trop petit -Rafraîchissement de l'écran -LCD un peu juste Montée du bruit trop rapide |
Kodak EasyShare DX 7440 | ![]() | -Bonne prise en main -Richesse des modes de prise de vue -Bonne qualité des images à 80 ISO | -Esthétique quelconque -Pas d'histogramme temps réel -Montée du bruit un peu rapide |
Kodak EasyShare CX 7530 | ![]() | -Bonne prise en main -Simple d'usage -Bonne qualité des images à 80 ISO | -Esthétique passe-partout -Pas d'information dans le viseur des ouverture/vitesse de prise de vue -Bruit très marqué à 400 ISO |
Kodak EasyShare DX 7590 | ![]() | -Diversité des modes de prise de vue et des paramétrages -Zoom x10 -Grande qualité d'image à 80 ISO | -Pas d'histogramme temps réel -Pas de stabilisateur optique -Définition un peu juste de l'écran LCD |
Konica Minolta Dimage X50 | ![]() | -Compacité -Ergonomie -Réactivité | -Pas d'indication des ouverture/vitesse de prise de vue -Montée du bruit mal maîtrisée -Appareil tout auto (mais cible grand public |
Konica Minolta Dimage Z3 | ![]() | -Zoom x12 -Stabilisateur d'image -Nombreuses fonctions avancées | -Images très bruitées à 400 ISO -Viseur électronique imprécis -Ecran LCD un peu petit |
Nikon CoolPix 4100 | ![]() | -Bonne prise en main -Indication dans le viseur du risque de flou de bougé -Simple d'usage | -Ecran LCD un peu petit et manquant de précision -Pas de rappel des ouverture/vitesse de prise de vue -Pas très vif. |
Nikon Coolpix 4200 | ![]() | -Compacité -Fonctions avancées (bracketing en particulier) -Qualité d'image correcte à 50 ISO | -Ecran LCD un peu petit -Pas de rappel des ouverture/vitesse de prise de vue -Pas très vif. |
Olympus µ-mini Digital | ![]() | -Boîtier tout temps compact -Bonne qualité d'image -Bonne réactivité | -Croissance importante du bruit avec la sensibilité -Sous exposition au flash en mode macro -Appareil tout auto |
Sony Cyber-Shot DSC-P93 | ![]() | -Bonne prise en main en horizontal -Histogramme et vitesse/ouverture de prise de vue et -Qualité des images | -Ecran LCD un peu petit. -Pas de mémoire embarquée et format -Memory Stick (plus coûteux) -Mode rafale un peu mou |
Sony Cyber-Shot DSC-W1 | ![]() | -Bonne prise en main -Ecran géant, bien lisible et riche en informations. -Qualité des images et gestion de la montée du bruit | -Viseur optique indigne d'un tel appareil -Pas de mémoire embarquée et format Memory Stick (plus coûteux) -Mode rafale un peu mou (mais bonne réactivité à la mise en route). |