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La filiale mobile de Deutsche Telecom ne devrait pas faire son entrée en bourse avant 2003 en raison du contexte morose sur les marchés financiers
Deutsche Telekom pourrait retarder l'introduction en Bourse de sa filiale de téléphonie mobile T-mobile au delà de 2002, a indiqué le président du géant allemand des télécommunications, Ron Sommer.
Initialement prévue pour l'automne 2000, puis retardée au second semestre 2001 et enfin programmée pour 2002, cette introduction en bourse ne devrait donc pas intervenir avant l'année 2003 en raison des conditions de marché plus que difficiles.
Pourtant, la mise sur le marché de 10 à 20 % du capital de la filiale mobile de Deutsche Telekom devrait permettre de réduire la dette estimée à 65 milliards d'euros de l'opérateur historique allemand.
Autre possibilité de désendettement, la vente de 60% de son réseau câblé à l'américain Liberty Media pour 5,5 milliards d'euros. Mais là encore, Ron Sommer a expliqué que le projet avait peu de chances d'aboutir, cette cession ayant rencontré des difficultés auprès des autorités allemandes de la concurrence pour des raisons antitrust.
A Francfort, le titre Deutsche Telekom perd 4,52% en fin de journée à 15,20 euros.
Le désendettement, primordial pour les grands groupes de télécommunications ne semble pas aussi aisé qu'annoncé : et Deutsche Telekom, même combat ?
Deutsche Telekom pourrait retarder l'introduction en Bourse de sa filiale de téléphonie mobile T-mobile au delà de 2002, a indiqué le président du géant allemand des télécommunications, Ron Sommer.
Initialement prévue pour l'automne 2000, puis retardée au second semestre 2001 et enfin programmée pour 2002, cette introduction en bourse ne devrait donc pas intervenir avant l'année 2003 en raison des conditions de marché plus que difficiles.
Pourtant, la mise sur le marché de 10 à 20 % du capital de la filiale mobile de Deutsche Telekom devrait permettre de réduire la dette estimée à 65 milliards d'euros de l'opérateur historique allemand.
Autre possibilité de désendettement, la vente de 60% de son réseau câblé à l'américain Liberty Media pour 5,5 milliards d'euros. Mais là encore, Ron Sommer a expliqué que le projet avait peu de chances d'aboutir, cette cession ayant rencontré des difficultés auprès des autorités allemandes de la concurrence pour des raisons antitrust.
A Francfort, le titre Deutsche Telekom perd 4,52% en fin de journée à 15,20 euros.
Le désendettement, primordial pour les grands groupes de télécommunications ne semble pas aussi aisé qu'annoncé : et Deutsche Telekom, même combat ?
