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Incapable de rentabiliser sa branche dédiée à la fabrication de téléphones mobiles, le constructeur Suédois décide de la sous-traiter au singapourien Flextronics.
Incapable de rentabiliser sa branche dédiée à la fabrication de téléphones mobiles, le constructeur Suédois décide de la sous-traiter au Singapourien Flextronics. Ericsson devrait donc conserver sa marque et la main mise sur le design et la conception mais abandonne la fabrication et la distribution à son nouveau partenariare asiatique. Cette décision devrait permettra à Ericsson de retrouver la rentabilité en se concentrant sur les infrastructures et les services. Contrairement aux prévisions de certains analystes, Ericsson ne cède donc pas sa division à Panasonic, partenaire dans Symbian. Reste à savoir si ce remède de choc permettra au constructeur suédois de conserver sa 3e position sur le marché mondial, face à Siemens ou encore Sony, bien décidés à monter sur le podium, derrière Nokia et .
Incapable de rentabiliser sa branche dédiée à la fabrication de téléphones mobiles, le constructeur Suédois décide de la sous-traiter au Singapourien Flextronics. Ericsson devrait donc conserver sa marque et la main mise sur le design et la conception mais abandonne la fabrication et la distribution à son nouveau partenariare asiatique. Cette décision devrait permettra à Ericsson de retrouver la rentabilité en se concentrant sur les infrastructures et les services. Contrairement aux prévisions de certains analystes, Ericsson ne cède donc pas sa division à Panasonic, partenaire dans Symbian. Reste à savoir si ce remède de choc permettra au constructeur suédois de conserver sa 3e position sur le marché mondial, face à Siemens ou encore Sony, bien décidés à monter sur le podium, derrière Nokia et .