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L'UFC lance un nouvel appel en faveur de la généralisation de la tarification à la seconde afin de permettre aux consommateurs de comparer "librement" les prix.
L'Union fédérale des consommateurs-Que Choisir maintient la pression sur les trois opérateurs français de téléphonie mobile : Orange (France Télécom), SFR (groupe Cegetel) et Bouygues Telecom.
L'association de défense des consommateurs se bat depuis plus d'un an "pour amener les opérateurs de téléphonie mobile à adopter des prix transparents, répondant à l'attente des consommateurs."
Grâce à ses nombreuses actions l'UFC-Que Choisir a largement influencé les changements enregistrés depuis septembre dernier.
En septembre 2002 les trois opérateurs français ont adopté la tarification à la seconde ; en novembre Orange France a abandonné la surfacturation des appels vers les mobiles SFR et Bouygues Telecom ; enfin, entre décembre 2002 et janvier 2003, les trois opérateurs ont proposé la tarification à la seconde "dès la première seconde" en option pour un montant de 3 euros TTC par mois.
Malgré ces progrès notables, l'association de consommateurs a rappelé vendredi dans un communiqué que seule "la tarification à la seconde généralisée permettra aux consommateurs de comparer librement les prix entre les différentes offres des opérateurs mobiles."
Le marché français de la téléphonie mobile est encore loin de cette généralisation de la tarification à la seconde. Désormais, l'UFC-Que Choisir tente de convaincre les parlementaires d'inscrire cette obligation dans la loi...
En attendant des jours meilleurs, l'association de consommateurs propose en accès libre sur son site Internet (www.quechoisir.org/telephonieMobileForfait.jsp) un outil censé permettre à l'internaute "de savoir si, il a intérêt, ou non, à opter pour une tarification à la seconde aux conditions proposées par son opérateur mobile."
Par ailleurs, cet outil offre également le possibilité au particulier abonné à la téléphonie mobile d'estimer son "temps réel de communication."
L'Union fédérale des consommateurs-Que Choisir maintient la pression sur les trois opérateurs français de téléphonie mobile : Orange (France Télécom), SFR (groupe Cegetel) et Bouygues Telecom.
L'association de défense des consommateurs se bat depuis plus d'un an "pour amener les opérateurs de téléphonie mobile à adopter des prix transparents, répondant à l'attente des consommateurs."
Grâce à ses nombreuses actions l'UFC-Que Choisir a largement influencé les changements enregistrés depuis septembre dernier.
En septembre 2002 les trois opérateurs français ont adopté la tarification à la seconde ; en novembre Orange France a abandonné la surfacturation des appels vers les mobiles SFR et Bouygues Telecom ; enfin, entre décembre 2002 et janvier 2003, les trois opérateurs ont proposé la tarification à la seconde "dès la première seconde" en option pour un montant de 3 euros TTC par mois.
Malgré ces progrès notables, l'association de consommateurs a rappelé vendredi dans un communiqué que seule "la tarification à la seconde généralisée permettra aux consommateurs de comparer librement les prix entre les différentes offres des opérateurs mobiles."
Le marché français de la téléphonie mobile est encore loin de cette généralisation de la tarification à la seconde. Désormais, l'UFC-Que Choisir tente de convaincre les parlementaires d'inscrire cette obligation dans la loi...
En attendant des jours meilleurs, l'association de consommateurs propose en accès libre sur son site Internet (www.quechoisir.org/telephonieMobileForfait.jsp) un outil censé permettre à l'internaute "de savoir si, il a intérêt, ou non, à opter pour une tarification à la seconde aux conditions proposées par son opérateur mobile."
Par ailleurs, cet outil offre également le possibilité au particulier abonné à la téléphonie mobile d'estimer son "temps réel de communication."
