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Après avoir créé une coentreprise avec Sony, l'équipementier télécom suédois Ericsson voudrait prendre au Finlandais Nokia la place de numéro 1 mondial.
Ericsson, constructeur suédois de combinés mobiles, espère vivement que la coentreprise qu'il va créer avec Sony lui fera gagner des parts de marché et devancer son principal concurrent, le finlandais Nokia.
«Il ne s'agit pas simplement de devenir l'un des trois premiers. Dans cette situation, il serait fou de ne pas essayer de devenir numéro 1», remarque Kurt HELLSTROM, Directeur général d'Ericsson
dans les colonnes du quotidien Finanstidningen.
Objectif ambitieux puisque, avec 6,9% de parts de marché mondial au premier trimestre 2001, Ericsson occupe la 4ème place sur ce secteur, à égalité avec l'allemand Siemens. La 2nde position revient au fabricant américain (13%), largement devancé par Nokia (35%).
Kurt HELLSTROM n'a pas fixé de calendrier pour atteindre cet objectif. Il estime cependant que la compétition amènera les sociétés du secteur à engager des alliances stratégiques pour diversifier leur activité, comme le fait Ericsson avec Sony.
«Il ne s'agit plus désormais de simples conversations téléphoniques. Et aucun de nos concurrents ne possède toute la technologie et tout le savoir en interne.», a-t-il ajouté.
Malgré le ralentissement du secteur en Europe et aux Etats-Unis, son épanouissement en Asie et en Amérique, le Président d'Ericsson est persuadé que «la croissance continuera.»
Au premier trimestre 2001, Ericsson a essuyé des pertes de 4,9 milliards de couronnes. Le constructeur prévoit un déficit similaire au deuxième trimestre.
En avril dernier, le constructeur suédois annonçait une réduction de ses effectifs mondiaux de plus de 20% (soit 22 000 personnes). Ericsson compte sur la délocalisation de sa production de téléphones mobiles et son alliance avec Sony pour renouer avec les bénéfices... Assez pour devancer Nokia ?
Ericsson, constructeur suédois de combinés mobiles, espère vivement que la coentreprise qu'il va créer avec Sony lui fera gagner des parts de marché et devancer son principal concurrent, le finlandais Nokia.
«Il ne s'agit pas simplement de devenir l'un des trois premiers. Dans cette situation, il serait fou de ne pas essayer de devenir numéro 1», remarque Kurt HELLSTROM, Directeur général d'Ericsson
dans les colonnes du quotidien Finanstidningen.
Objectif ambitieux puisque, avec 6,9% de parts de marché mondial au premier trimestre 2001, Ericsson occupe la 4ème place sur ce secteur, à égalité avec l'allemand Siemens. La 2nde position revient au fabricant américain (13%), largement devancé par Nokia (35%).
Kurt HELLSTROM n'a pas fixé de calendrier pour atteindre cet objectif. Il estime cependant que la compétition amènera les sociétés du secteur à engager des alliances stratégiques pour diversifier leur activité, comme le fait Ericsson avec Sony.
«Il ne s'agit plus désormais de simples conversations téléphoniques. Et aucun de nos concurrents ne possède toute la technologie et tout le savoir en interne.», a-t-il ajouté.
Malgré le ralentissement du secteur en Europe et aux Etats-Unis, son épanouissement en Asie et en Amérique, le Président d'Ericsson est persuadé que «la croissance continuera.»
Au premier trimestre 2001, Ericsson a essuyé des pertes de 4,9 milliards de couronnes. Le constructeur prévoit un déficit similaire au deuxième trimestre.
En avril dernier, le constructeur suédois annonçait une réduction de ses effectifs mondiaux de plus de 20% (soit 22 000 personnes). Ericsson compte sur la délocalisation de sa production de téléphones mobiles et son alliance avec Sony pour renouer avec les bénéfices... Assez pour devancer Nokia ?