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Le comité préparatoire du Sommet mondial sur la société de l'information (SMSI ou WSIS - World Summit on the Information Society) a annoncé dimanche la validation d'une « déclaration de principes et d'un plan d'action ».
A travers cette déclaration signée par chaque délégation, les représentants des Etats qui participeront à l'évènement dans deux jours en Suisse, à Genève, ont finalement trouvé un terrain d'entente sur des thématiques clés : contrôle de l'Internet, liberté d'expression , rôle des médias, financement du développement mondial de la société de l'information.
Un des objectifs de ces accords est d'éviter que le Sommet ne tourne à l'affrontement entre pays riches et pays pauvres. Il faut à tout prix éviter le fiasco diplomatique.
« Nous ne sommes pas d'accord sur quelques points concernant le financement, mais les deux déclarations ont été approuvées à 95%», a affirmé Marc FURRER, Directeur de l'Office fédéral de la communication (OFCOM) et représentant de la délégation suisse.
La question d'un fonds international spécial d'aide aux pays pauvres en matière de TIC, est restée en suspends.
Si ces questions ne trouvent de réponses lors du Sommet de Genève, du 10 au 12 décembre 2003, elles pourraient être à nouveau traitées lors de la seconde phase du Sommet, du 16 au 18 novembre 2005 à Tunis.
Organisé sous l'égide de l'Organisation des Nations Unies, le SMSI devrait mettre en lumière des solutions qui puissent réduire la « fracture numérique » entre pays développés et pays en voie de développement (www.itu.int/wsis/index-fr.html).
A partir de mercredi, Genève va recevoir les représentants de 135 pays, politiques, industriels, membres de la société civile, ainsi qu'une soixantaine de chefs d'Etat et de gouvernement.
A travers cette déclaration signée par chaque délégation, les représentants des Etats qui participeront à l'évènement dans deux jours en Suisse, à Genève, ont finalement trouvé un terrain d'entente sur des thématiques clés : contrôle de l'Internet, liberté d'expression , rôle des médias, financement du développement mondial de la société de l'information.
Un des objectifs de ces accords est d'éviter que le Sommet ne tourne à l'affrontement entre pays riches et pays pauvres. Il faut à tout prix éviter le fiasco diplomatique.
« Nous ne sommes pas d'accord sur quelques points concernant le financement, mais les deux déclarations ont été approuvées à 95%», a affirmé Marc FURRER, Directeur de l'Office fédéral de la communication (OFCOM) et représentant de la délégation suisse.
La question d'un fonds international spécial d'aide aux pays pauvres en matière de TIC, est restée en suspends.
Si ces questions ne trouvent de réponses lors du Sommet de Genève, du 10 au 12 décembre 2003, elles pourraient être à nouveau traitées lors de la seconde phase du Sommet, du 16 au 18 novembre 2005 à Tunis.
Organisé sous l'égide de l'Organisation des Nations Unies, le SMSI devrait mettre en lumière des solutions qui puissent réduire la « fracture numérique » entre pays développés et pays en voie de développement (www.itu.int/wsis/index-fr.html).
A partir de mercredi, Genève va recevoir les représentants de 135 pays, politiques, industriels, membres de la société civile, ainsi qu'une soixantaine de chefs d'Etat et de gouvernement.
