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La Direction générale de l'industrie, des technologies de l'information et des postes (DIGITIP) a publié mardi les chiffres clés de "l'industrie française des technologies de l'information et de la communication" édition 2002.
A partir des statistiques existantes, le SESSI (Service des études et des statistiques industrielles) tente de mettre en lumière "les performances, les caractéristiques et les enjeux" de cette industrie regroupant trois grandes secteurs : l'informatique, l'électronique et les télécommunications.
En 2001, l'industrie française des TIC représentait près de 11% du chiffre d'affaires de l'industrie manufacturière française et occupait 262 000 personnes en fin d'année. Un tiers des salariés du secteur sont des cadres supérieurs ou des ingénieurs, la main d'œuvre est donc considérée comme "très qualifiée."
Outre le capital humain, la R&D est "l'élément moteur de l'industrie des TIC." En 2000, les fabricants (téléphonie, composants électroniques, etc.) ont investi plus de 2,6 milliards d'euros dans la R&D. "Ils talonnent ainsi l'industrie automobile, mais précèdent les industries pharmaceutique et aéronautique", précise le SESSI.
Globalement, l'industrie française des TIC est tournée vers l'international : 51% de son CA est réalisé à l'exportation.
En pleine expansion jusqu'en 2000, les TIC ont connu un fort ralentissement par la suite, explosion de la bulle Internet oblige... Cette baisse de régime "est liée à la crise de la croissance mondiale de ce secteur déclenchée aux Etats-Unis en 2001", souligne le SESSI.
Néanmoins, les autorités affirment que l'industrie des TIC devrait, à terme, "continuer de soutenir et d'accompagner le développement des services liés, services informatiques et télécoms", et contribuer ainsi "à moderniser l'appareil productif français et à maintenir sa compétitivité."
A partir des statistiques existantes, le SESSI (Service des études et des statistiques industrielles) tente de mettre en lumière "les performances, les caractéristiques et les enjeux" de cette industrie regroupant trois grandes secteurs : l'informatique, l'électronique et les télécommunications.
En 2001, l'industrie française des TIC représentait près de 11% du chiffre d'affaires de l'industrie manufacturière française et occupait 262 000 personnes en fin d'année. Un tiers des salariés du secteur sont des cadres supérieurs ou des ingénieurs, la main d'œuvre est donc considérée comme "très qualifiée."
Outre le capital humain, la R&D est "l'élément moteur de l'industrie des TIC." En 2000, les fabricants (téléphonie, composants électroniques, etc.) ont investi plus de 2,6 milliards d'euros dans la R&D. "Ils talonnent ainsi l'industrie automobile, mais précèdent les industries pharmaceutique et aéronautique", précise le SESSI.
Globalement, l'industrie française des TIC est tournée vers l'international : 51% de son CA est réalisé à l'exportation.
En pleine expansion jusqu'en 2000, les TIC ont connu un fort ralentissement par la suite, explosion de la bulle Internet oblige... Cette baisse de régime "est liée à la crise de la croissance mondiale de ce secteur déclenchée aux Etats-Unis en 2001", souligne le SESSI.
Néanmoins, les autorités affirment que l'industrie des TIC devrait, à terme, "continuer de soutenir et d'accompagner le développement des services liés, services informatiques et télécoms", et contribuer ainsi "à moderniser l'appareil productif français et à maintenir sa compétitivité."
