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"Jean-Marie, tu en fais trop". C'est en ces termes que commençait J6M.com, le livre de Jean-Marie MESSIER, à l'époque où le PDG de Vivendi Universal pouvait encore ironiser sur sa stratégie. Il faut croire que c'est à cette même conclusion que sont arrivés les administrateurs du géant franco-américain de la communication.
En effet, selon le quotidien Libération, les administrateurs français et l'Elysée ont fini par se convaincre, tout comme leurs homologues américains, de la nécessité du départ de Jean-Marie MESSIER de la tête du groupe. Après les scandales Enron, Worldcom ou Xerox, ces administrateurs craignent d'éventuelles mauvaises surprises dans les comptes de VU et ont donc décidé d'anticiper en poussant l'homme responsable de la situation à quitter le groupe.
Libération précise également que L'Elysée, et en particulier Jacques CHIRAC et Jérôme MONOD (accessoirement ancien PDG de Suez, éternel concurrent de Vivendi, et actuel conseiller de Chirac) souhaitent le départ de MESSIER, dont la stratégie aurait quelque peu décridibilisé le capitalisme français et dont les liens avec balladur et l'attitude avec les socialistes de 97 à 2002 aurait déplu à l'hôte de l'Elysée.
Le groupe devrait donc disposer d'un nouveau PDG dans quelques jours (on parle de Jean-René Fourtou, ex vice-président d'Aventis) et certains analystes parient désormais sur l'éclatement du groupe, dont les synergies entre les différents métiers n'avaient pas vraiment convaincu.
En effet, selon le quotidien Libération, les administrateurs français et l'Elysée ont fini par se convaincre, tout comme leurs homologues américains, de la nécessité du départ de Jean-Marie MESSIER de la tête du groupe. Après les scandales Enron, Worldcom ou Xerox, ces administrateurs craignent d'éventuelles mauvaises surprises dans les comptes de VU et ont donc décidé d'anticiper en poussant l'homme responsable de la situation à quitter le groupe.
Libération précise également que L'Elysée, et en particulier Jacques CHIRAC et Jérôme MONOD (accessoirement ancien PDG de Suez, éternel concurrent de Vivendi, et actuel conseiller de Chirac) souhaitent le départ de MESSIER, dont la stratégie aurait quelque peu décridibilisé le capitalisme français et dont les liens avec balladur et l'attitude avec les socialistes de 97 à 2002 aurait déplu à l'hôte de l'Elysée.
Le groupe devrait donc disposer d'un nouveau PDG dans quelques jours (on parle de Jean-René Fourtou, ex vice-président d'Aventis) et certains analystes parient désormais sur l'éclatement du groupe, dont les synergies entre les différents métiers n'avaient pas vraiment convaincu.
