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La justice américaine somme le numéro un mondial du logiciel de révéler le code-source de son système d'exploitation à l'attention de 9 Etats plaignants.
La justice fédérale américaine oblige le numéro un mondial du logiciel à révéler le code-source de son système d'exploitation.
Microsoft devra donc présenter le code source de Windows à 9 Etats : Californie, Connecticut, Floride, Iowa, Kansas, Massachusetts, Minnesota, Utah / West Virginia, et le District de Columbia.
Ces Etats "réfractaires" demandent toujours des restrictions aux pratiques anticoncurrentielles de Microsoft qui soient plus sévères que celles proposées par l'Administration Bush et d'autres Etats plaignants.
En novembre 2001, Microsoft parvenait à un accord à l'amiable avec le département américain de la Justice (US - DOJ) et avec les neuf autres Etats, sur un total de 18, qui ont porté plainte contre l'éditeur pour abus de position dominante.
Les procureurs des Etats opposés à cet accord, de la Californie à la Floride, ont estimé qu'il leur est nécessaire d'avoir accès aux lignes de code du système d'exploitation de la firme de Bill GATES, afin de juger de la véracité des arguments avancés par Microsoft.
Le géant du logiciel affirme en effet qu'il est techniquement impossible de proposer une version épurée de Windows.
Lors d'une téléconférence réunissant les représentants des deux parties, dont une transcription a été présentée à la presse, le juge Colleen KOLLAR KOTELLY a signalé aux avocats de Microsoft :
"Il me semble que si vous-mêmes avez accès , alors la partie adverse, très franchement, devrait également y avoir accès."
La justice fédérale américaine oblige le numéro un mondial du logiciel à révéler le code-source de son système d'exploitation.
Microsoft devra donc présenter le code source de Windows à 9 Etats : Californie, Connecticut, Floride, Iowa, Kansas, Massachusetts, Minnesota, Utah / West Virginia, et le District de Columbia.
Ces Etats "réfractaires" demandent toujours des restrictions aux pratiques anticoncurrentielles de Microsoft qui soient plus sévères que celles proposées par l'Administration Bush et d'autres Etats plaignants.
En novembre 2001, Microsoft parvenait à un accord à l'amiable avec le département américain de la Justice (US - DOJ) et avec les neuf autres Etats, sur un total de 18, qui ont porté plainte contre l'éditeur pour abus de position dominante.
Les procureurs des Etats opposés à cet accord, de la Californie à la Floride, ont estimé qu'il leur est nécessaire d'avoir accès aux lignes de code du système d'exploitation de la firme de Bill GATES, afin de juger de la véracité des arguments avancés par Microsoft.
Le géant du logiciel affirme en effet qu'il est techniquement impossible de proposer une version épurée de Windows.
Lors d'une téléconférence réunissant les représentants des deux parties, dont une transcription a été présentée à la presse, le juge Colleen KOLLAR KOTELLY a signalé aux avocats de Microsoft :
"Il me semble que si vous-mêmes avez accès , alors la partie adverse, très franchement, devrait également y avoir accès."