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Michel MEYER présente KVS, société spécialisée dans la gestion de l'information, le stockage et l'archivage intelligent de e-mails.
AB - Monsieur MEYER bonjour. Quel a été votre parcours avant d'être nommé Directeur commercial de l'entité française de KVS, spécialiste britannique de la gestion de l'information ?
MM - J'ai toujours été ingénieur commercial dans le logiciel : ces 3 dernières années chez Software, (Websphere/Java/MQseries), précédées par BEA Systems (Tuxedo / Weblogic) en 1996, et Raytel Multimedia en 1992.
AB - KVS est bien implantée sur le marché de l'archivage de e-mails au
Royaume-Uni. Quelle stratégie a adopté la société sur le marché français ?
MM - Elle tient en deux phrases :
1 : Nous sommes focalisés sur la problématique de l'explosion des e-mails dans les entreprises, qui implique des besoins d'archivage intelligent et de gestion de l'information au fil du temps ;
2 : Nous sommes un partenaire très lié à Microsoft, que ce soit pour la messagerie Exchange, ou sur les futurs produits et standards (SPS et .NET) que nous supportons.
AB - Quels sont les spécificités et les tarifs de base du logiciel Enterprise Vault, solution phare de KVS ?
MM - Les tarifs sont proposés par utilisateur Exchange (mail-box) et la fourchette va de 30 à 90 euros par boite simplement en fonction de la quantité. Par ailleurs, nous proposons des options (journaling, PST-migration, Policy Manager) qui peuvent faire croître le prix de 40%.
AB - Quelle est votre cible, avez-vous des exemples concrets ?
MM - Nous visons les grands comptes, mais si l'on regarde notre base clients européenne (soit 80 noms à ce jour, en 2 ans !) on pourra constater un grand nombre d'installations autour de 1000 boites.
Nos 3 plus importantes références : Credit Suisse First Boston (UK et USA) 30 000 boites, Belgacom (Be) 17 000 boites, et ASTRIUM /EADS (UK, G et F) 12 000 boites.
AB - Comment se distingue votre offre sur le marché des solutions d'archivage "intelligent" de messages électroniques par rapport à la concurrence ?
MM - Notre logiciel agit comme un "client MAPI" d'Exchange, et va se comporter comme une "pompe" sur le ou les serveurs Exchange de l'entreprise, afin de les soulager des e-mails vieux de x mois ou x semaines, comme des vases communicants.
Ces mails extraits vont être compressés et indexés puis stockés au format NTFS dans n'importe quel hardware NTFS (NAS DAS SAN HSM, etc.)
Enfin, un raccourci ("shortcut") va être mis dans la boite de réception de l'utilisateur afin que celui-ci ait toujours la vision de son e-mail (date/nom de l'émetteur/objet) et surtout puisse y accéder en quelques millisecondes !!
Notre produit possède un atout important qui est la granularité de l'e-mail.
AB - Quel est le modèle économique adopté par KVS ?
MM - Notre modèle vise à ce que 100% des ventes passent par des partenaires intégrateurs. Quatre sociétés ont déjà signé un partenariat avec KVS...
AB - Comment a évolué KVS depuis son entrée sur le marché français en septembre 2001 ?
MM - 4 personnes en place : moi même à la direction commerciale, Jérôme AFTALION Directeur partenairiats, Dominique CHABAUT Directeur technique, et un consultant avant vente. Nous avons remporté un marché significatif fin décembre, et sommes "au travail" sur une douzaine de dossiers !
AB - Monsieur MEYER, je vous remercie.
AB - Monsieur MEYER bonjour. Quel a été votre parcours avant d'être nommé Directeur commercial de l'entité française de KVS, spécialiste britannique de la gestion de l'information ?
MM - J'ai toujours été ingénieur commercial dans le logiciel : ces 3 dernières années chez Software, (Websphere/Java/MQseries), précédées par BEA Systems (Tuxedo / Weblogic) en 1996, et Raytel Multimedia en 1992.
AB - KVS est bien implantée sur le marché de l'archivage de e-mails au
Royaume-Uni. Quelle stratégie a adopté la société sur le marché français ?
MM - Elle tient en deux phrases :
1 : Nous sommes focalisés sur la problématique de l'explosion des e-mails dans les entreprises, qui implique des besoins d'archivage intelligent et de gestion de l'information au fil du temps ;
2 : Nous sommes un partenaire très lié à Microsoft, que ce soit pour la messagerie Exchange, ou sur les futurs produits et standards (SPS et .NET) que nous supportons.
AB - Quels sont les spécificités et les tarifs de base du logiciel Enterprise Vault, solution phare de KVS ?
MM - Les tarifs sont proposés par utilisateur Exchange (mail-box) et la fourchette va de 30 à 90 euros par boite simplement en fonction de la quantité. Par ailleurs, nous proposons des options (journaling, PST-migration, Policy Manager) qui peuvent faire croître le prix de 40%.
AB - Quelle est votre cible, avez-vous des exemples concrets ?
MM - Nous visons les grands comptes, mais si l'on regarde notre base clients européenne (soit 80 noms à ce jour, en 2 ans !) on pourra constater un grand nombre d'installations autour de 1000 boites.
Nos 3 plus importantes références : Credit Suisse First Boston (UK et USA) 30 000 boites, Belgacom (Be) 17 000 boites, et ASTRIUM /EADS (UK, G et F) 12 000 boites.
AB - Comment se distingue votre offre sur le marché des solutions d'archivage "intelligent" de messages électroniques par rapport à la concurrence ?
MM - Notre logiciel agit comme un "client MAPI" d'Exchange, et va se comporter comme une "pompe" sur le ou les serveurs Exchange de l'entreprise, afin de les soulager des e-mails vieux de x mois ou x semaines, comme des vases communicants.
Ces mails extraits vont être compressés et indexés puis stockés au format NTFS dans n'importe quel hardware NTFS (NAS DAS SAN HSM, etc.)
Enfin, un raccourci ("shortcut") va être mis dans la boite de réception de l'utilisateur afin que celui-ci ait toujours la vision de son e-mail (date/nom de l'émetteur/objet) et surtout puisse y accéder en quelques millisecondes !!
Notre produit possède un atout important qui est la granularité de l'e-mail.
AB - Quel est le modèle économique adopté par KVS ?
MM - Notre modèle vise à ce que 100% des ventes passent par des partenaires intégrateurs. Quatre sociétés ont déjà signé un partenariat avec KVS...
AB - Comment a évolué KVS depuis son entrée sur le marché français en septembre 2001 ?
MM - 4 personnes en place : moi même à la direction commerciale, Jérôme AFTALION Directeur partenairiats, Dominique CHABAUT Directeur technique, et un consultant avant vente. Nous avons remporté un marché significatif fin décembre, et sommes "au travail" sur une douzaine de dossiers !
AB - Monsieur MEYER, je vous remercie.
