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Câblo-opérateur en difficulté, Casema lance un «vaste plan de réorganisation» de ses activités. Vendredi, la filiale à 86% de France Télécom, a annoncé qu'elle allait licencier près de 150 personnes.
La société néerlandaise a notamment précisé que cette réorganisation allait également entraîner une forte réduction des investissements, et la cession d'activités non essentielles.
L'opérateur France Télécom poursuit actuellement les négociations avec Liberty Media, société d'investissement du magnat américain John MALONE, en vue de la cession de sa participation majoritaire au sein de Casema.
Achetée en 1997 par France Télécom 410 millions d'euros environ, la société néerlandaise de télévision par câble compte aujourd'hui plus de 1,3 million d'abonnés.
Entre rachats et spéculation, l'action France Télécom poursuit doucement un mouvement de reprise, le coup de pouce de l'Etat envisagé après la chute du titre (d'environ 16%) lundi 24 juin dernier pourrait avoir influencé la tendance.
"Pour l'instant, aucune décision n'a été prise et n'est susceptible d'être annoncée. Le gouvernement regarde cette évolution avec beaucoup d'attention parce qu'il est actionnaire mais aussi parce que beaucoup de Français sont actionnaires de cette entreprise", avait alors signalé le porte-parole du gouvernement Jean-François COPE.
La société néerlandaise a notamment précisé que cette réorganisation allait également entraîner une forte réduction des investissements, et la cession d'activités non essentielles.
L'opérateur France Télécom poursuit actuellement les négociations avec Liberty Media, société d'investissement du magnat américain John MALONE, en vue de la cession de sa participation majoritaire au sein de Casema.
Achetée en 1997 par France Télécom 410 millions d'euros environ, la société néerlandaise de télévision par câble compte aujourd'hui plus de 1,3 million d'abonnés.
Entre rachats et spéculation, l'action France Télécom poursuit doucement un mouvement de reprise, le coup de pouce de l'Etat envisagé après la chute du titre (d'environ 16%) lundi 24 juin dernier pourrait avoir influencé la tendance.
"Pour l'instant, aucune décision n'a été prise et n'est susceptible d'être annoncée. Le gouvernement regarde cette évolution avec beaucoup d'attention parce qu'il est actionnaire mais aussi parce que beaucoup de Français sont actionnaires de cette entreprise", avait alors signalé le porte-parole du gouvernement Jean-François COPE.