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L'ART s'interroge sur "les effets éventuels liés à l'exposition aux champs émis par les antennes et les terminaux de téléphonie mobile".
L'Autorité de régulation des télécommunications (ART) a publié lundi un panorama des études scientifiques parues en 2001 et en 2002 "sur les effets éventuels liés à l'exposition aux champs émis par les antennes et les terminaux de téléphonie mobile".
A l'origine de cette initiative, les conclusions du rapport remis début 2001 au ministère chargé de la santé, par un groupe d'experts indépendants présidé par le Dr ZMIROU :
"Aucune étude scientifique n'a permis de conclure que l'exposition à des champs de radiofréquences émis par les téléphones portables ou leurs stations de base ait une influence néfaste quelconque sur la santé".
Le panorama de l'ART est, lui-même, centré sur une étude bibliographique commandée à l'Institut national de l'environnement industriel et des risques (INERIS).
Concernant les antennes-relais, "le niveau d'exposition du grand public aux champs émis par les stations de base est faible et en tout état de cause inférieur aux normes en vigueur", souligne l'ART.
Néanmoins, l'Autorité ajoute que concernant les expositions à proximité immédiate, "le respect de ces normes appelle le balisage d'un périmètre de sécurité dont l'accès doit être interdit au public".
Quant aux enquêtes épidémiologiques et études réalisées à ce jour sur les téléphones mobiles numériques, "elles n'ont pas démontré de risque pour la santé".
L'échauffement produit par le terminal ne serait pas lié "aux rayonnements électromagnétiques". D'origine thermique, il est "probablement sans conséquence en terme de santé". Toutefois, il convient d'étudier les effets de cet échauffement, précise l'ART.
Parallèlement à son panorama, l'Autorité a demandé au cabinet d'avocats Rambaud-Martel un rapport juridique ("télécommunications et environnement, le cas des réseaux de téléphonie mobile") afin de dresser un état des lieux des dispositions municipales concernant le déploiement des réseaux mobiles.
L'Autorité de régulation des télécommunications (ART) a publié lundi un panorama des études scientifiques parues en 2001 et en 2002 "sur les effets éventuels liés à l'exposition aux champs émis par les antennes et les terminaux de téléphonie mobile".
A l'origine de cette initiative, les conclusions du rapport remis début 2001 au ministère chargé de la santé, par un groupe d'experts indépendants présidé par le Dr ZMIROU :
"Aucune étude scientifique n'a permis de conclure que l'exposition à des champs de radiofréquences émis par les téléphones portables ou leurs stations de base ait une influence néfaste quelconque sur la santé".
Le panorama de l'ART est, lui-même, centré sur une étude bibliographique commandée à l'Institut national de l'environnement industriel et des risques (INERIS).
Concernant les antennes-relais, "le niveau d'exposition du grand public aux champs émis par les stations de base est faible et en tout état de cause inférieur aux normes en vigueur", souligne l'ART.
Néanmoins, l'Autorité ajoute que concernant les expositions à proximité immédiate, "le respect de ces normes appelle le balisage d'un périmètre de sécurité dont l'accès doit être interdit au public".
Quant aux enquêtes épidémiologiques et études réalisées à ce jour sur les téléphones mobiles numériques, "elles n'ont pas démontré de risque pour la santé".
L'échauffement produit par le terminal ne serait pas lié "aux rayonnements électromagnétiques". D'origine thermique, il est "probablement sans conséquence en terme de santé". Toutefois, il convient d'étudier les effets de cet échauffement, précise l'ART.
Parallèlement à son panorama, l'Autorité a demandé au cabinet d'avocats Rambaud-Martel un rapport juridique ("télécommunications et environnement, le cas des réseaux de téléphonie mobile") afin de dresser un état des lieux des dispositions municipales concernant le déploiement des réseaux mobiles.
