0
En l'espace d'un an, Symbian a doublé ses ventes avec 2.4 millions de Smartphones commercialisés ce trimestre contre 1.18 l'année précédente.
Le système d'exploitation mobile européen continue de monter en puissance. En l'espace d'un an, l'éditeur logiciel Symbian a doublé ses ventes avec 2.4 millions de smartphones commercialisés au premier trimestre 2004 contre 1.18 l'année précédente sur la même période.
Il existe désormais plus de 18 terminaux différents basés sur ce système d'exploitation, chiffre auquel il faudra bientôt ajouter les terminaux fabriqués par le coréen LG, le taïwanais Arima et le chinois Lenovo, tous trois nouveaux détenteurs d'une licence Symbian.
"Les performances de Symbian sont conformes à nos prévisions pour le premier trimestre 2004." a sobrement commenté David LEVIN, CEO de la société britannique Symbian Ltd.
Reste à connaître l'avenir de l'actionnariat de Symbian, actuellement divisé par un bras de fer entre Nokia, actionnaire majoritaire de l'éditeur qui aimerait bien le transformer en filiale, et d'autres actionnaires comme Sony Ericsson qui préfèrent éviter ce scénario en misant sur une introduction en bourse afin de garantir son indépendance.
Le système d'exploitation mobile européen continue de monter en puissance. En l'espace d'un an, l'éditeur logiciel Symbian a doublé ses ventes avec 2.4 millions de smartphones commercialisés au premier trimestre 2004 contre 1.18 l'année précédente sur la même période.
Il existe désormais plus de 18 terminaux différents basés sur ce système d'exploitation, chiffre auquel il faudra bientôt ajouter les terminaux fabriqués par le coréen LG, le taïwanais Arima et le chinois Lenovo, tous trois nouveaux détenteurs d'une licence Symbian.
"Les performances de Symbian sont conformes à nos prévisions pour le premier trimestre 2004." a sobrement commenté David LEVIN, CEO de la société britannique Symbian Ltd.
Reste à connaître l'avenir de l'actionnariat de Symbian, actuellement divisé par un bras de fer entre Nokia, actionnaire majoritaire de l'éditeur qui aimerait bien le transformer en filiale, et d'autres actionnaires comme Sony Ericsson qui préfèrent éviter ce scénario en misant sur une introduction en bourse afin de garantir son indépendance.
