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Selon le Journal du Dimanche, ZeBank, bras financier de la holding Europ@web, pourrait être reprise par Egg, la banque en ligne, filiale de l'assureur Prudential
Epilogue pour ZeBank ? Selon le Journal du Dimanche, la jeune pousse créée par Olivier MONTETY grâce au soutien financier d'Europ@web de Bernard ARNAULT et de Dexia, pourrait être reprise par Egg, la banque en ligne britannique, filiale de l'assureur Prudential.
Conçu comme un "hypermarché", distribuant aussi bien des produits bancaires, des produits financiers ou de l'assurance, ZeBank, avait, comme LibertySurf, l'ambition de prendre très vite des parts de marché et d'être racheté, très cher, par un groupe financier traditionnel, à la recherche d'une solution "clef en main" pour basculer dans la nouvelle économie.
Hélas, la profusion d'offres des banques traditionnelles et le faible engouement du public pour ce type de produit n'a pas permis à ZeBank de réussir son pari. La banque en ligne revendique près de 20.000 clients mais une grosse proportion de ces derniers a simplement ouvert un compte pour bénéficier de primes d'ouvertures intéressantes.
Contrairement à Egg, dont le succès s'explique par la bascule de nombreux clients de sa maison mère, l'assureur britannique Prudential, ZeBank n'a pas pu ou n'a pas su s'adosser à un groupe financier d'envergure.
La reprise de ZeBank par Egg, permettrait à la banque britannique, qui revendique près de 2 millions de clients, de s'implanter rapidement en France.
L'information n'a pas encore été confirmée par ZeBank mais Egg confirme l'existence de pourparlers avancé avec la jeune pousse française.
Epilogue pour ZeBank ? Selon le Journal du Dimanche, la jeune pousse créée par Olivier MONTETY grâce au soutien financier d'Europ@web de Bernard ARNAULT et de Dexia, pourrait être reprise par Egg, la banque en ligne britannique, filiale de l'assureur Prudential.
Conçu comme un "hypermarché", distribuant aussi bien des produits bancaires, des produits financiers ou de l'assurance, ZeBank, avait, comme LibertySurf, l'ambition de prendre très vite des parts de marché et d'être racheté, très cher, par un groupe financier traditionnel, à la recherche d'une solution "clef en main" pour basculer dans la nouvelle économie.
Hélas, la profusion d'offres des banques traditionnelles et le faible engouement du public pour ce type de produit n'a pas permis à ZeBank de réussir son pari. La banque en ligne revendique près de 20.000 clients mais une grosse proportion de ces derniers a simplement ouvert un compte pour bénéficier de primes d'ouvertures intéressantes.
Contrairement à Egg, dont le succès s'explique par la bascule de nombreux clients de sa maison mère, l'assureur britannique Prudential, ZeBank n'a pas pu ou n'a pas su s'adosser à un groupe financier d'envergure.
La reprise de ZeBank par Egg, permettrait à la banque britannique, qui revendique près de 2 millions de clients, de s'implanter rapidement en France.
L'information n'a pas encore été confirmée par ZeBank mais Egg confirme l'existence de pourparlers avancé avec la jeune pousse française.
