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L'opérateur cellulaire japonais NTT DoCoMo a décidé de faire du porte-monnaie électronique un axe stratégique pour le développement de ses futurs mobiles.
Mauvaise nouvelle pour les banques et les émetteur de cartes de paiements. L'opérateur cellulaire japonais NTT DoCoMo a décidé de faire du porte-monnaie électronique un axe stratégique pour le développement de ses futurs mobiles.
Expérimenté depuis plusieurs années par tous les opérateurs mobile de la planète, l'idée de DoCoMo est de débiter directement sur le compte de l'abonné sa consommation de biens et services, et non de limiter le mobile à un simple lecteur de carte à puce... au plus grand profit des banques.
"A terme, nous espérons que tous les micro-paiements (sur internet) seront effectués à travers des terminaux mobiles" a ainsi expliqué à Reuters Keiji Tachikawa. P-DG de NTT DoCoMo, surtout connu pour son i-Mode, et qui devrait être le premier opérateur cellualire à lancer l'UMTS avant l'été à Tokyo.
L'opérateur facture déjà de nombreux micro services comme la réservation de fleurs, de taxi, de pizzas sans parler des mini messages SMS. Mais face au développement des services dématérialisés (finance, infos, musique, vidéo, jeux), à la géolocalisation (livraison, drague, itinéraires) et au couplage avec les distributeurs automatiques (boissons, alimentaiton, cigarettes), une part croissante des dépenses pourrait désormais être gérée par l'opérateur, aux dépends des institutions financières traditionnelles.
Très endettés par l'UMTS et leurs opérations de croissances externes, les opérateurs cellulaires européens sont encore obligés de masquer leurs intentions dans ce domaine vis à vis de leurs partenaires financiers. Mais nul doute que d'ici quelques années, DoCoMo, Vodaphone ou Orange seront les premières banques de la planète.
Mauvaise nouvelle pour les banques et les émetteur de cartes de paiements. L'opérateur cellulaire japonais NTT DoCoMo a décidé de faire du porte-monnaie électronique un axe stratégique pour le développement de ses futurs mobiles.
Expérimenté depuis plusieurs années par tous les opérateurs mobile de la planète, l'idée de DoCoMo est de débiter directement sur le compte de l'abonné sa consommation de biens et services, et non de limiter le mobile à un simple lecteur de carte à puce... au plus grand profit des banques.
"A terme, nous espérons que tous les micro-paiements (sur internet) seront effectués à travers des terminaux mobiles" a ainsi expliqué à Reuters Keiji Tachikawa. P-DG de NTT DoCoMo, surtout connu pour son i-Mode, et qui devrait être le premier opérateur cellualire à lancer l'UMTS avant l'été à Tokyo.
L'opérateur facture déjà de nombreux micro services comme la réservation de fleurs, de taxi, de pizzas sans parler des mini messages SMS. Mais face au développement des services dématérialisés (finance, infos, musique, vidéo, jeux), à la géolocalisation (livraison, drague, itinéraires) et au couplage avec les distributeurs automatiques (boissons, alimentaiton, cigarettes), une part croissante des dépenses pourrait désormais être gérée par l'opérateur, aux dépends des institutions financières traditionnelles.
Très endettés par l'UMTS et leurs opérations de croissances externes, les opérateurs cellulaires européens sont encore obligés de masquer leurs intentions dans ce domaine vis à vis de leurs partenaires financiers. Mais nul doute que d'ici quelques années, DoCoMo, Vodaphone ou Orange seront les premières banques de la planète.
