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Si le 1er trimestre s'est avéré difficile pour Intel, le marché des micro-processeurs semble se stabiliser et le groupe est confiant pour la fin de l'année
Intel a enregistré un bénéfice net en recul de 82 %, à 485 millions de dollars au premier trimestre 2001, pour un chiffre d'affaires en baisse 16 % d'une année sur l'autre et de 23 % d'un trimestre à l'autre à 6,7 milliards de dollars.
Mais la publication de ces mauvais résultats sont accueillis comme une bonne nouvelle à Wall Street. En effet, le résultat par action (BPA) d'Intel a atteint 16 cents contre 43 cents à la même période de l'année précédente, mais au dessus des prévisions des analystes qui s'attendaient à 15 cents en moyenne (selon le consensus First Call).
Mais surtout, malgré le tassement de la croissance américaine, le ralentissement constaté dans les autres régions du monde et le déclin de la demande mondiale en technologies de l'information, le directeur général d'Intel, Craig Barrett, a estimé que « le secteur des microprocesseurs (qui représente 80% des ventes du groupe) s'était stabilisé » . Et le directeur financier d'Intel, Andy Bryant, a ajouté lors d'une interview à Reuters qu'il percevait "certains signes positifs vers la fin du trimestre".
Ainsi, même si le leader mondial des micro-processeurs prévoit encore un recul de ses ventes au deuxième trimestre, de 20% environ, soit un chiffre d'affaires situé entre 6,2 et 6,8 milliards de dollars, il se montre confiant pour le second semestre de l'année.
La publication des résultats d'Intel a dopé le marché : aujourd'hui, STMicroelectonics gagne près de 7%, à la Bourse de Paris.
Mais les investisseurs attendent les résultats d'AMD, principal concurrent d'Intel, dont la publication est attendue ce soir après la clôture à Wall Street pour confirmer la tendance.
Intel a enregistré un bénéfice net en recul de 82 %, à 485 millions de dollars au premier trimestre 2001, pour un chiffre d'affaires en baisse 16 % d'une année sur l'autre et de 23 % d'un trimestre à l'autre à 6,7 milliards de dollars.
Mais la publication de ces mauvais résultats sont accueillis comme une bonne nouvelle à Wall Street. En effet, le résultat par action (BPA) d'Intel a atteint 16 cents contre 43 cents à la même période de l'année précédente, mais au dessus des prévisions des analystes qui s'attendaient à 15 cents en moyenne (selon le consensus First Call).
Mais surtout, malgré le tassement de la croissance américaine, le ralentissement constaté dans les autres régions du monde et le déclin de la demande mondiale en technologies de l'information, le directeur général d'Intel, Craig Barrett, a estimé que « le secteur des microprocesseurs (qui représente 80% des ventes du groupe) s'était stabilisé » . Et le directeur financier d'Intel, Andy Bryant, a ajouté lors d'une interview à Reuters qu'il percevait "certains signes positifs vers la fin du trimestre".
Ainsi, même si le leader mondial des micro-processeurs prévoit encore un recul de ses ventes au deuxième trimestre, de 20% environ, soit un chiffre d'affaires situé entre 6,2 et 6,8 milliards de dollars, il se montre confiant pour le second semestre de l'année.
La publication des résultats d'Intel a dopé le marché : aujourd'hui, STMicroelectonics gagne près de 7%, à la Bourse de Paris.
Mais les investisseurs attendent les résultats d'AMD, principal concurrent d'Intel, dont la publication est attendue ce soir après la clôture à Wall Street pour confirmer la tendance.