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Suite à l'adoption du projet LEN, le Premier ministre a reçu mercredi 21 avril 04 plusieurs acteurs de l'économie numérique française, de AOL France à Free.
Suite à l'adoption en seconde lecture le 8 avril 2004 par le Sénat du projet de loi sur l'économie numérique (LEN), Jean-Pierre RAFFARIN a reçu mercredi les principaux acteurs du Net français.
Les dirigeants des fournisseurs d'accès Internet AOL France, Club Internet, Free et Wanadoo, ainsi que les responsables des portails et France comptaient parmi les présents.
Ce déjeuner a été l'occasion pour le Premier ministre de rappeler que la LEN, considérée comme le texte « fondateur du droit de l'Internet » en France, doit permettre de « clarifier les conditions juridiques qui permettront de réaliser de façon sûre les échanges électroniques dans un cadre transparent. »
Le texte est également censé « assurer la transposition en droit français des directives européennes, donner une nouvelle impulsion au commerce électronique et sécuriser les transactions en ligne. »
Il s'agit de renforcer la confiance des acteurs, en particulier des consommateurs, et « d'assurer les bases d'une croissance économique fondée sur l'émergence de nouveaux services. »
Le projet LEN aura fait couler beaucoup d'encre. Aujourd'hui encore, la Ligue Odebi (www.odebi.org) maintient que, bien que « le texte voté par le Sénat ait été amendé dans un sens plus favorable aux libertés individuelles [...] il fait toujours peser la responsabilité de la censure du Net sur les hébergeurs, en l'absence de toute intervention judiciaire. »
La Ligue (www.odebi.org) n'était pas invitée mercredi lors du déjeuner. Pour les présents, celui-ci a officiellement permis « de faire le point sur l'action engagée par le gouvernement pour soutenir le développement de la société de l'information ainsi que l'engagement personnel du Premier ministre dans ce chantier. »
Branché ? Jean-Pierre RAFFARIN a lui-même assuré qu'il allait désormais s'adresser « fréquemment aux internautes français par le biais d'un 'chat', afin de poursuivre ce dialogue sur la société de l'information. »
Suite à l'adoption en seconde lecture le 8 avril 2004 par le Sénat du projet de loi sur l'économie numérique (LEN), Jean-Pierre RAFFARIN a reçu mercredi les principaux acteurs du Net français.
Les dirigeants des fournisseurs d'accès Internet AOL France, Club Internet, Free et Wanadoo, ainsi que les responsables des portails et France comptaient parmi les présents.
Ce déjeuner a été l'occasion pour le Premier ministre de rappeler que la LEN, considérée comme le texte « fondateur du droit de l'Internet » en France, doit permettre de « clarifier les conditions juridiques qui permettront de réaliser de façon sûre les échanges électroniques dans un cadre transparent. »
Le texte est également censé « assurer la transposition en droit français des directives européennes, donner une nouvelle impulsion au commerce électronique et sécuriser les transactions en ligne. »
Il s'agit de renforcer la confiance des acteurs, en particulier des consommateurs, et « d'assurer les bases d'une croissance économique fondée sur l'émergence de nouveaux services. »
Le projet LEN aura fait couler beaucoup d'encre. Aujourd'hui encore, la Ligue Odebi (www.odebi.org) maintient que, bien que « le texte voté par le Sénat ait été amendé dans un sens plus favorable aux libertés individuelles [...] il fait toujours peser la responsabilité de la censure du Net sur les hébergeurs, en l'absence de toute intervention judiciaire. »
La Ligue (www.odebi.org) n'était pas invitée mercredi lors du déjeuner. Pour les présents, celui-ci a officiellement permis « de faire le point sur l'action engagée par le gouvernement pour soutenir le développement de la société de l'information ainsi que l'engagement personnel du Premier ministre dans ce chantier. »
Branché ? Jean-Pierre RAFFARIN a lui-même assuré qu'il allait désormais s'adresser « fréquemment aux internautes français par le biais d'un 'chat', afin de poursuivre ce dialogue sur la société de l'information. »
