Sony vient d'annoncer le lancement en France de certains des nouveaux caméscopes qu'il présentait en début d'année au CES. Pour convaincre des consommateurs qui s'en tiennent de plus en plus à leurs appareils photo pour la vidéo, le fabricant parie sur la vidéoprojection intégrée.
Sony Handycam HDR-PJ260V
En France, l'« Handycam HDR-PJ260V » embarque un picoprojecteur qHD (640 x 360 pixels) offrant une luminosité de 13 lumens (et non de 10 lumens comme initialement prévu), de quoi projeter une image d'une diagonale de 100 pouces (254 cm) à 5 m de distance... à condition d'être dans l'obscurité totale. Un minuscule haut-parleur mono assure la diffusion du son.
Son capteur CMOS Exmor R rétro-exposé d'1/4 de pouce et sa puce de traitement Bionz filment par ailleurs en Full HD 1080/50p au format AVCHD 2.0 et photographie à 8,9 millions de pixels, potentiellement simultanément, sur une carte mémoire SDXC ou MemoryStick. Son zoom 30 fois relativement grand angle démarre à 33,1 mm et est stabilisé. Il dispose enfin d'un écran LCD tactile de 3 pouces à 230 400 points et d'un GPS.
Sony Handycam HDR-PJ740V
Le picoprojecteur de l'« Handycam HDR-PJ740V » passe quant à lui à 20 lumens et à une paire de haut-parleurs stéréo, mais s'en tient à une définition qHD.
Destiné à une clientèle plus initiée et moins sensible au sensationnalisme des chiffres, ce caméscope haut de gamme abrite un capteur CMOS Exmor R rétro-exposé d'1/2,88 pouce à 6,14 millions de pixels, filmant lui aussi en Full HD 1080/50p, mais cette fois sur sa mémoire interne de 32 Go en plus de cartes mémoires. Son zoom s'en tient à une amplitude honorable de 10 fois mais il démarre à 27,2 mm en position grand angle. Son ergonomie plus étudiée offre enfin une molette de réglage et un viseur électronique en plus d'un écran tactile dont la définition a été portée à 921 600 points.
Les « Sony Handycam HDR-PJ260V » et « PJ740V » seront prochainement commercialisés aux prix publics respectifs de 630 et 1400 euros.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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