Acer a aujourd'hui annoncé un nouveau vidéoprojecteur présenté à la fois comme pico projecteur et projecteur home cinema. Certes beaucoup plus encombrant que les récents modèles de la série C, le nouveau « K330 » est en contrepartie plus polyvalent que jamais.
Avec des mensurations de 218 x 168 x 46,5 mm pour 1,24 kg et une fiche technique plutôt modeste, l'« Acer K330 » offre en fait un compromis entre un pico projecteur courant et un vidéoprojecteur d'entrée de gamme.
Combinant le procédé DLP à une LED revendiquant une durée de vie de 20 000 heures, il projette relativement silencieusement (33 dBA) une image WXGA (1280 x 800 pixels) avec une luminosité maximale de 500 lumens et un taux de contraste honorable de 4000:1.
Bien que sa fiche technique traduise l'héritage d'une orientation plutôt bureautique, il dispose d'une entrée HDMI 1.3 prenant en charge un flux Full HD 24p ou même un flux 3D, à condition de lui adjoindre une paire de lunettes optionnelle. Des entrées VGA et composite permettent de le relier à une grande variété d'équipements. Il offre en outre une fonction display over USB.
Un lecteur multimédia intégré
Mais il présente surtout l'intérêt d'embarquer son propre lecteur multimédia, avec lequel il peut fonctionner de manière autonome à partir d'une clé USB ou d'une carte SD. La fonction Presentation To Go lui permet d'afficher sans ordinateur des documents PowerPoint ou PDF par exemple, mais la prise en charge des fichiers multimédias est malheureusement limitée. Les formats H.264 et VC-1 des vidéos haute définition sont pris en charge mais les restrictions techniques (level 3.1 et 720p maximum) imposeront dans de nombreux cas un transcodage.
L'« Acer K330 » sera prochainement commercialisé en Europe au prix public de 500 euros.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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