Un logo UHD, garantissant la pérennité des téléviseurs et des équipements sur lesquels il sera apposé, approche enfin.
L'association DigitalEurope a livré la semaine dernière ses premières conclusions concernant le futur label UHD, destiné aux équipements délivrant de l'ultra haute définition (abusivement appelée 4K).
Le logo UHD n'est pas encore public, mais il remplacera prochainement les logos 4K qui portent à confusion
Ce groupement d'une centaine d'industriels et d'acteurs de l'audiovisuel a pour commencer déterminé quelles seront les spécifications minimales d'un téléviseur :
Définition native : 3840 x 2160 pixels
Rapport hauteur/largeur : 16:9
Espace colorimétrique : ITU-R BT.709
Profondeur des couleurs : 8 bits
Fréquence d'images : 24p/25p/30p/50p/60p
Audio : PCM 2.0 Stéréo
En d'autres termes, et ce qu'il faut retenir, c'est que les téléviseurs sur lesquels le futur logo UHD sera apposé utiliseront le même espace colorimétrique que les téléviseurs HD, mais aussi et surtout qu'ils devront accepter 50 et 60 images/seconde en entrée. Autrement dit les téléviseurs dépourvus d'entrées HDMI 2.0, tels que les premiers de Samsung et de LG, ne pourront bénéficier du label.
Il faut rappeler que c'est cette association — alors dénommée European Information, Communications and consumer electronics Technology industry Associations (EICTA) — qui avait mis un terme à la confusion entre 720p et 1080p lors de l'avènement de la haute définition, en 2008.
Cinq ans plus tard, l'association se réveille à nouveau après le lancement des premiers produits pour cadrer le marché. Le label et le logo qui l'accompagne ne sont pas encore achevés, mais ils ne devraient plus tarder.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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