En marge du « show hello! » et des annonces de Stéphane Richard, Orange a discrètement renouvelé jeudi sa gamme de forfaits Origami. La gamme évolue par petites touches, à la fois dans le bon et dans le mauvais sens.
L'itinérance valable toute l'année
Avec ses nouveaux forfaits Origami, Orange lève comme prévu la limite temporelle pour l'itinérance incluse à certains de ses forfaits, comme il l'avait fait sur son forfait Sosh l'avant-veille du « show hello! ».
Jusqu'à présent les forfaits Origami des gammes Play et Jet incluaient 1 à 14 Go d'Internet depuis l'Europe et les DOM valables pendant 7 à 60 jours/an. Les volumes n'évoluent pas mais ils seront désormais valables toute l'année, avec une réinitialisation le 10 janvier.
3 heures d'appels depuis l'Europe
Non content de s'aligner sur SFR en termes d'Internet, Orange prend les devants en matière d'itinérance depuis l'Europe en ajoutant 3 heures d'appels, en plus des SMS illimités, valables elles aussi toute l'année.
Plus de Deezer Premium
En contrepartie et à contrepied de SFR — qui a récemment renouvelé ses services annexes, ses « Extras » — Orange retire l'offre Deezer Premium+ jusqu'à présent incluse à ses forfaits Origami Play et Jet.
Ce service de musique à la demande illimitée est autrement facturé 10 euros/mois, et le prix des forfaits n'évolue malheureusement pas en compensation. Les abonnés existants devront donc choisir s'ils conservent leur forfait incluant Deezer ou s'ils migrent sur la nouvelle version offrant de meilleures prestations en itinérance.
On rappelle à ce titre qu'Orange propose des options assez rentables en matière d'itinérance, et que pour l'équivalent de 12 mois d'abonnement à Deezer (120 euros), les mélomanes pourront ponctuellement s'offrir assez d'itinérance pour quelques courts séjours à l'étranger. Avec les pass Go Europe, 800 Mo et des SMS illimités pendant 7 jours sont effectivement facturés 20 euros, soit un total de 4,8 Go pendant 42 jours pour 120 euros.
Les nouveaux forfaits Orange Origami sont disponibles dès à présent.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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