Les forfaits Orange Origami moins chers en version SIM seule

11 février 2011 à 15h32
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Orange a annoncé hier qu'il proposait désormais toute sa gamme de forfaits « Origami » en version SIM, c'est-à-dire sans téléphone. L'opérateur historique permet ainsi à ceux qui souhaitent conserver leur mobile ou qui s'en procurent par leurs propres moyens (marché de l'occasion, don d'un proche, etc.) d'économiser de 5 à 10 euros par mois.

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L'économie varie en fonction du forfait :
  • 5 euros sur les forfaits Origami zen et Origami style, désormais facturés à partir de 24 euros/mois
  • 8 euros sur les Origami star, facturés ainsi à partir de 41 euros/mois
  • 10 euros sur les Origami jet, à partir de 89 euros/mois
La nouvelle gamme Origami a pour rappel généralisé l'illimité partagé et démocratisé l'internet. Le détail de ces quatre forfaits lancés à la rentrée reste disponible à cette adresse.

Ne plus payer de crédit pour rien

Les forfaits Origami donnaient jusqu'à présent droit à une subvention sur l'achat d'un mobile, permettant d'acquérir un téléphone pour une fraction de son prix de vente hors abonnement. Son coût était alors naturellement reporté sur le tarif mensuel de l'abonnement et réparti sur la période d'engagement du client, en quelque sorte sous la forme d'un crédit intégré.

Ceux qui conservent leur téléphone plus de deux ans et/ou s'en procurent par leurs propres moyens, « près de 40 % des clients », continuaient donc à financer un crédit pour rien. Les versions SIM seule permettent donc de ne payer que pour son forfait. Ils ne dispensent toutefois pas l'abonné de s'engager 12 ou 24 mois, comme ça peut être le cas chez Bouygues Telecom et chez de multiples opérateurs virtuels.

L'histoire ne dit pas si un abonné dont l'engagement est échu peut migrer sur la version SIM de son forfait. Mais un appel au service résiliation et une courte négociation devraient quoi qu'il en soit rapidement répondre à cette question.

Romain Heuillard

C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...

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C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique. Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit. Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.

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