En plus du Redmi Note 3, la fameux fabricant chinois Xiaomi a renouvelé sa tablette. Il repart à zéro avec la Mi Pad 2, un iPad mini exécutant Windows 10.
Ce n'est certes pas très original, mais avec les proportions de sa face avant, la forme de son dos métallique, l'emplacement de l'appareil photo, la Xiaomi Mi Pad 2 ressemble à un iPad mini d'Apple. On pourrait s'y méprendre jusqu'à ce qu'on appuie sur le bouton d'alimentation : ce n'est pas iOS qui s'affichera, ni Android, mais Windows 10.
Xiaomi troque la puce Nvidia Tegra K1 à architecture ARM pour un processeur x86 Intel Atom x5-Z8500, digne de véritables ordinateurs portables premiers prix. C'est un quadri-cœur cadencé de 1,44 à 2,24 GHz. De quoi exécuter Windows 10, donc, pour des usages courants tels que la navigation sur Internet, le multimédia (photo, vidéo, musique) ou la bureautique, avec modération.
Pour autant, la tablette est plus fine et plus légère que sa prédécesseur. Elle ne mesure plus que 6,95 mm d'épaisseur pour 322 g.
On trouve par ailleurs un écran de 7,9 pouces et de 2048 x 1536 pixels, « comme sur l'iPad mini 4 », précise lui-même le constructeur, 2 Go de mémoire vive LPDDR3 double canal, 16 à 64 Go de mémoire eMMC, un capteur frontal de 5 millions de pixels, un dorsal de 8 millions de pixels, et une batterie de 6 190 mAh. La connectique comprend un port USB Type-C et du Wi-Fi 802.11ac.
Cette alléchante Xiaomi Mi Pad 2 sera mise en vente en Chine aux prix de 1 000 et 1 300 yuans pour 16 ou 64 Go, l'équivalent d'environ 150 et 200 euros. Elle n'est malheureusement pas prévue dans le reste du monde, mais les plus téméraires pourront chercher à l'importer.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
Rejoignez la communauté des passionnés de nouvelles technologies. Venez partager votre
passion et débattre de l’actualité avec nos membres qui s’entraident et partagent leur
expertise quotidiennement.
