HTC lance, dans un premier temps en Chine, un nouveau smartphone haut de gamme dont l'écran affiche une résolution supérieure à celle de l'emblématique One M9.
HTC s'est déjà illustré en matière de résolution avec le premier One, qui offrait comme ses concurrents une définition Full HD de 1920 x 1080 pixels, mais s'en tenait à une diagonale de 4,7 pouces, inférieure aux 5 pouces des Samsung Galaxy S4 et Sony Xperia Z.
Il remet le couvert cette année avec le One ME, un smartphone haut de gamme destiné au marché chinois : quand la plupart des téléphones dernier cri, tels que le LG G4, arborent un écran QHD (2560 x 1440 pixels) de plus ou moins 5,5 pouces, le dernier né de HTC s'en tient à 5,2 pouces, soit une résolution de 565 pixels-par-pouce. Le Samsung Galaxy S6 fait encore mieux avec son écran de 5,1 pouces, mais le nouveau vaisseau amiral chinois de HTC fait mieux que le One M9 occidental (5 pouces Full HD soit 440 pixels-par-pouce).
Le HTC One ME se contente en contrepartie d'une coque en plastique. Mais il présente par ailleurs la particularité de faire appel à la dernière puce du taiwanais MediaTek, en lieu et place du Snapdragon 810 du One M9 : l'Helio X10, qui comporte deux fois quatre cœurs ARM Cortex-A53 à 2,2 GHz, un GPU PowerVR G6200 à 700 MHz et un modem 4G LTE de catégorie 4 (150 Mb/s) double SIM. Cette puce est associée à 3 Go de mémoire vive LPDDR3, à 32 Go de mémoire interne, extensible par le biais d'une carte microSD. Le Wi-Fi 802.11ac, le Bluetooth 4.1 et le NFC complètent la connectivité.
Sur le plan de la photo enfin, ce HTC One ME dispose d'un capteur dorsal de 20 millions de pixels surmonté d'une lentille équivalente à un 27,8 mm f/2,2, et d'un capteur frontal UltraPixel de 4 millions de pixels avec une lentille équivalente à un 26,8 mm f/2.
L'ensemble repose enfin sur Android 5.0 Lollipop avec l'interface HTC Sense, ainsi que sur une batterie visiblement inamovible de 2840 mAh.
Le prix et la date de lancement du HTC One ME n'ont pas été communiqués, pas même pour la Chine.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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