Sans surprise, Samsung lance un Galaxy S6 Active, c'est-à-dire une version renforcée du fer de lance de sa gamme de smartphones. Le fabricant y a fait référence prématurément sur son site Internet, puis l'opérateur américain AT&T, auquel il sera réservé dans un premier temps, l'a officialisé.
Mise à jour : L'opérateur américain AT&T a officialisé le Galaxy S6 Active. L'article a été modifiée en conséquence.
Avec la dernière génération de Galaxy S, Samsung a abandonné l'étanchéité, inaugurée avec la quatrième génération et reconduite avec la cinquième. Ainsi, alors que le Galaxy S5 Active n'apportait qu'une résistance accrue aux chutes, son successeur rétablira quant à lui l'étanchéité à l'eau et à la poussière. Tout comme ses deux prédécesseurs, il devrait être certifié IP68, et donc être totalement résistant à la poussière ainsi qu'à une immersion prolongée à plus d' 1 mètre de profondeur.
Le Galaxy S6 Active est par ailleurs au Galaxy S6 ce que les S4 et S5 Active furent aux S4 et S5. Il reprend donc l'essentiel de la fiche technique du S6, notamment l'écran Super AMOLED de 5,1 pouces affichant une définition QHD (de 2560 x 1440 pixels), la puce Samsung Exynos 7420 et le capteur dorsal à 16 millions de pixels. La capacité de la batterie en revanche est portée de 2 600 à 3 500 mAh, soit une hausse non négligeable de 35 %.
Les photos ne montrent que deux coloris avec un motif camouflage, mais on peut penser qu'il sera proposé avec un coloris uni en Europe, comme le fut le S5 Active après avoir été commercialisé avec ce motif par l'opérateur américain AT&T.
Le Samsung Galaxy S6 Active sera disponible aux États-Unis chez AT&T à partir du 12 juin. Il y sera vendu 700 dollars HT avec un paiement étalé sur 24 mois, contre 550 dollars HT pour le Galaxy S6 dans les mêmes conditions. Aucune information n'a encore été communiquée pour le reste du monde, mais il devrait donc coûter plus de 710 euros, le prix public de ce dernier en France.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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