HTC a annoncé aujourd'hui la commercialisation en France du Desire 820, qu'il avait dévoilé en septembre dans le cadre de l'IFA. Il présente au passage une variante économique, le Desire 620, un rival à la hauteur du futur Motorola Moto G 4G de 2e génération.
157,7 x 78,7 x 7,7 mm pour 155 g
HTC Desire 820 : une phablette milieu de gamme
HTC confirme et précise la commercialisation du Desire 820 en France. Ce smartphone milieu de gamme y sera disponible en France début février. Il ne sera pas vendu 330 euros, contrairement à ce qui nous avait été annoncé à l'IFA, mais 360. Le rapport prix/prestation reste néanmoins intéressant.
Le HTC Desire 820 est pour rappel un grand téléphone inspiré des codes esthétiques de l'iPhone 5c d'Apple. Il s'en distingue par son grand écran de 5,5 pouces, ainsi que par sa coque monobloc aux accents colorés, mesurant 7,7 mm d'épaisseur. Le fabricant explique qu'il a recours à un nouveau procédé d'injection plastique, baptisé « double shot », qui lui permet de créer une coque bicolore sans jonction, qui assurerait au passage solidité et fiabilité.
L'écran LCD n'affiche qu'une définition HD (1280 x 720 pixels), pour une résolution de 270 pixels-par-pouce en l'occurrence, alors que la Full HD (1920 x 1080 pixels) est désormais courante à partir de 5 pouces. Cet écran présente en revanche l'intérêt d'être recouvert d'une dalle de verre ultrarésistante Corning Gorilla Glass 3.
L'appareil est l'un des premiers à reposer sur une puce Qualcomm Snapdragon 615, comportant quatre cœurs ARM Cortex-A53 à 1,5 GHz et quatre autres à 1,0 GHz. Ces huit cœurs sont 64 bits, mais le téléphone sera fourni avec Android 4.4. Or il faudrait Android 5.0 pour profiter d'un gain de performances, mais HTC n'a toujours pas annoncé ses ambitions en matière de mise à jour. L'appareil abrite 2 Go de mémoire vive, 16 Go de mémoire interne, extensible par microSD, une batterie non-amovible de 2600 mAh, et des connectiques 4G LTE catégorie 4 (jusqu'à 150 Mb/s), Wi-Fi 802.11n double bande, Bluetooth 4.0 et NFC. Il dispose enfin d'un capteur frontal de 8 millions de pixels avec une lentille grand angle (équivalente 28 mm soit 75 degrés), et d'un dorsal de 13 millions de pixels avec une lentille lumineuse f/2,2, tous deux associés à la panoplie de fonctions créatives inaugurées par le HTC Desire Eye.
HTC Desire 620 : enfin un rival au best-seller de Motorola
HTC commercialisera également le Desire 620, qui reprend les mêmes codes esthétiques mais avec une épaisseur plus importante de 9,6 mm, et surtout avec une fiche technique plus modeste.
150,1 x 72,7 x 9,6 mm pour 160 g
Ce modèle affiche une même définition HD que son grand frère, mais sur une diagonale de 5 pouces, soit une résolution d'environ 300 pixels par pouce. Il se contente d'une puce Snapdragon 410, pouvant fonctionner en 64 bits dans les mêmes conditions, mais ne comportant que quatre cœurs ARM Cortex-A53 à 1,2 GHz. Cette puce n'est en outre accompagnée que d'1 Go de mémoire vive et que de 8 Go de mémoire interne, extensible par microSD. En termes de connectivités on retrouve la 4G LTE catégorie 4, mais le Wi-Fi 802.11n n'est pas double bande. La batterie non amovible a une capacité de 2100 mAh. La dernière contrepartie c'est sur le plan de la photo, puisque les capteurs frontaux et dorsaux font 5 et 8 millions de pixels, sans plus de précision.
La fiche technique du HTC Desire 620 est donc quasi identique à celle du Motorola Moto G de 2e génération, le ténor des téléphones milieu de gamme. Et il pourrait rivaliser sur le plan tarifaire avec la future version 4G de ce dernier. HTC le commercialisera effectivement 260 euros, alors que compte-tenu du prix public de 190 euros du Moto G de 2e génération, on peut s'attendre à ce que sa variante LTE soit lancée à 240 euros.
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C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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