Au format ATX, la Sabertooth Z170 S adopte donc un PCB blanc qui devrait faire quelque effet auprès de vos amis d'autant que des LED viennent réhausser le tout. Elle est équipée d'un chipset Intel Z170 et du socket associé en LGA-1151. Avec quatre emplacements mémoire DDR4 (2400 max), la carte peut accueillir jusqu'à 64 Go de mémoire. Elle profite de deux ports PCI-Express 3.0 16x pour le multi-GPU (en SLI ou en Crossfire le fonctionnement est sans surprise de type x8/x8) et elle se dote d'un troisième connecteur PCI-Express 16x opérant en mode 4x avec en plus 3 connectiques PCI-Express 1x. La connectique de la carte mère est assez limitée mais l'on retrouve une prise HDMI et un connecteur DisplayPort.
Côté stockage, Asus propose 6 connecteurs Serial-ATA et 2 ports SATAExpress avec un emplacements M2 (type 2242/2260/2280/22110). Le réseau est géré par une puce Intel en Gigabit et l'USB est représenté largement avec jusqu'à 8 ports USB 2.0, 6 ports USB 3.0 et surtout deux ports USB 3.1 Gen2 dont un avec connecteur Type-C. L'audio est confié à un contrôleur Realtek ALC1150 7.1. Asus rappelle que la conception des cartes mères Sabertooth est centrée sur la résistance aux épreuves du temps avec notamment un choix de composants adapté aux charges importantes et l'utilisation de composants japonais à la durée de vie plus longue et résistant mieux aux températures. Asus propose ici une garantie de 5 ans.
La disponibilité de cette carte mère compatible avec les processeurs Intel Core de sixième génération, les fameux Skylake, est attendue pour février au prix public conseillé de 229 euros TTC.
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Passionné d'informatique depuis mon premier Amstrad 3086 XT et son processeur à 8 MHz, j'officie sur Clubic.com depuis ses presque débuts. Si je n'ai rien oublié d'Eternam, de MS-DOS 3.30 et de l'ineffable Aigle d'Or sur TO7, je reste fasciné par les évolutions constantes en matière de high-tech. Bercé par le hardware pur et dur, gourou ès carte graphique et CPU, je n'en garde pas moins un intérêt non feint pour les produits finis, fussent-ils logiciels. Rédacteur en chef pour la partie magazine de Clubic, je fais régner la terreur au sein de la rédaction ce qui m'a valu quelques surnoms sympathiques comme Judge Dredd ou Palpatine (les bons jours). Mon environnement de travail principal reste Windows même si je lorgne souvent du côté de Mac OS X.
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