Pour cette deuxième génération, Intel décline son Compute Stick en trois modèles distincts et revoit quelque peu le design. Plus grand, le Compute Stick nouveau utilise -selon la version- un processeur Atom x5 à micro-architecture Cherry Trail ou, dans des versions plus élaborées, des processeurs Core m3-6Y30 et Core m5-6Y57 avec vPro. La version de base du Compute Stick de deuxième génération dispose d'un processeur x5-Z8300 quadri-coeurs à 1,44 GHz pour un Turbo à 1,84 GHz avec 32 Go de mémoire interne et 2 Go de mémoire DDR3 sans oublier le Bluetooth 4.0 et le Wi-Fi i802.11ac. Intel évoque des performances graphiques supérieures, utiles notamment pour le décodage des flux vidéos. D'un point de vue pratique le nouveau Compute Stick a le bon goût de proposer deux ports USB : un port USB 3.0 et un port USB 2.0 en plus du port micro-USB pour l'alimentation électrique du périphérique.
Les versions Core m à micro-architecture Skylake du Compute Stick profitent d'une quantité supérieure de stockage : 64 Go de mémoire interne eMMC et 4 Go de mémoire vive DDR3. Autre petite différence : la présence d'un port USB 3.0 Type-C en plus d'un connecteur USB 3.0. L'adaptateur secteur intègre du coup un hub USB 3.0 ce qui est plutôt bien vu !
Dans sa version de base, le Compute Stick est annoncé à 159 dollars. La variante Core m3 avec Windwos 10 se profile à 399 dollars, contre 299 dollars pour le même modèle sans Windows. Logiquement la version Core m5 est plus onéreuse à 499 dollars sans système d'exploitation. Les prix européens ne sont pour le moment pas connus, en revanche la disponibilité devrait être effective dans le courant du premier trimestre.
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Passionné d'informatique depuis mon premier Amstrad 3086 XT et son processeur à 8 MHz, j'officie sur Clubic.com depuis ses presque débuts. Si je n'ai rien oublié d'Eternam, de MS-DOS 3.30 et de l'ineffable Aigle d'Or sur TO7, je reste fasciné par les évolutions constantes en matière de high-tech. Bercé par le hardware pur et dur, gourou ès carte graphique et CPU, je n'en garde pas moins un intérêt non feint pour les produits finis, fussent-ils logiciels. Rédacteur en chef pour la partie magazine de Clubic, je fais régner la terreur au sein de la rédaction ce qui m'a valu quelques surnoms sympathiques comme Judge Dredd ou Palpatine (les bons jours). Mon environnement de travail principal reste Windows même si je lorgne souvent du côté de Mac OS X.
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