La première grande partie des enchères 5G a pris fin le 1er octobre. En 90 secondes ou presque, Clubic répond en vidéo aux questions posées autour des enchères, des fréquences et des termes techniques parfois incompris associés à la technologie.
La 5G continue de se développer à travers le monde. La Corée du Sud est de loin le pays leader en matière de déploiement, alors que la Suisse demeure la référence sur le vieux continent.
La troisième journée d'enchère sera la dernière. Les 11 blocs en lice ont tous été attribués, jeudi, révélant une vraie séparation entre les opérateurs.
Face aux incertitudes économiques pesant sur son avenir, l'entreprise chinoise a annoncé qu’elle était prête à donner à voir l’intégralité de ses équipements afin qu’ils puissent être passés en revue par des experts en sécurité.
La deuxième journée d'enchère, qui vient de s'achever, a donné lieu à une flambée des prix des blocs à vendre. L'État peut sourire.
Après les quatre premiers tours d'enchère, l'opérateur historique est celui qui se positionne le mieux, étant le seul à s'engager sur cinq blocs supplémentaires sur les cinq possibles.
Le directeur général d'Iliad, Thomas Reynaud, a confirmé il y a quelques jours à la radio que l'opérateur est dans les starting-blocks pour lancer les premiers forfaits 5G dès la fin de l'année.
Les enchères pour l'attribution des fréquences dans la bande 3,4 - 3,8 GHz débutent officiellement ce mardi. Cette nouvelle phase permettra de savoir quels opérateurs seront les plus ambitieux sur le terrain de la 5G.
L'Agence nationale des fréquences a procédé à des simulations qui tendent à montrer que l'arrivée de la 5G ne fera pas exploser les niveaux d'exposition aux ondes.
En comparant les antagonistes de la 5G au « modèle Amish », le président de la République a dit le fond de sa pensée. Mais il a aussi suscité la colère des ONG environnementales.
Le régulateur a mis à jour son document visant à renforcer et fiabiliser les mesures et publications de qualité de service sur Internet fixe et mobile.
Les maires de plusieurs grandes villes de France, parmi lesquelles Marseille, Lyon ou Bordeaux, demandent un moratoire et appellent à un « débat démocratique » autour de la technologie de cinquième génération.
L'opérateur français déploie son service à peine une semaine après Telefonica, son principal rival en Espagne.
Le président de l'ARCEP, Sébastien Soriano, a confirmé lundi à la radio le maintien et la date des enchères de la technologie de cinquième génération en France pour la fin du mois, entérinant ainsi la ligne adoptée précédemment par l'autorité et privilégiée par le gouvernement pendant le confinement.
L'opérateur déplore une « différence de traitement » par rapport à ses concurrents SFR et Bouygues Telecom.
Dans le cadre du New Deal Mobile, les pouvoirs publics demandent aux acteurs des télécoms d'équiper des zones supplémentaires, pour accélérer la couverture globale du territoire.
L'équipementier et le fabricant de puces ont annoncé avoir bouclé des tests visant à renforcer la rapidité de la 5G sur les smartphones compatibles.
L'entreprise, qui avait un temps pesté contre l'éventualité d'un bannissement progressif de l'équipementier chinois, va petit à petit retirer ses antennes installées sur les territoires denses.
Malgré les efforts importants fournis par les opérateurs, la technologie a du mal à s'imposer au pays du chocolat, qui doit affronter une certaine opposition.
Le nouveau maire de la capitale girondine, Pierre Hurmic, ne dit pas « non » à la technologie, mais il souhaite la tenue d'un débat public à son sujet avant une éventuelle commercialisation.
La guerre commerciale que livre New Delhi à Pékin prend une nouvelle tournure technologique, après le bannissement d'une soixantaine d'applications chinoises populaires.
Avec le retard de Telesat et l'encombrante faillite de OneWeb, SpaceX aurait-elle une avenue pour proposer sa connexion internet via l'orbite grâce à la constellation Starlink ? Pas si vite, répond Amazon, qui va investir 10 milliards de dollars pour son « projet Kuiper ».
L'opérateur, qui souhaite davantage un renforcement de la technologie précédente, la 4G, et veut attendre l'évolution du dossier Huawei, a vu sa demande de report de l'appel d'offres 5G être rejetée par la plus haute juridiction administrative du pays.
Le pays voisin des États-Unis sait que l'adoption de la 5G sera longue, sans oublier qu'un ou plusieurs opérateurs devraient être contraints de se passer de Huawei.
Les autorisations délivrées par l'ANSSI sont d'une durée limitée et… potentiellement non-renouvelables, ce qui précipiterait un abandon des équipements 5G chinois avant la fin de la décennie en France.
Face au blocage en Europe de la 5G de Huawei, la Chine envisage de prendre des mesures de rétorsions à l'encontre des sociétés finlandaises Nokia et Ericsson. À travers des contrôles à l'exportation, le pays pourrait les empêcher de faire sortir les produits qu'elles fabriquent sur le sol chinois.
Le ministre de l'Économie, des Finances et de la Relance a confirmé, mardi qu'il n'y aurait pas de barrage total de l'équipementier chinois. Tout en apportant de la nuance à son propos. Le verre à moitié plein donc.
La firme suédoise a su tirer son épingle du jeu au deuxième trimestre, dans un contexte difficile, grâce au développement de ses réseaux 5G, notamment en Chine, un « marché stratégiquement important » pour elle.
Samsung Electronics prévoit que la prochaine génération de réseaux mobiles arrivera dès 2028. Selon le géant sud-coréen, la 6G devrait être lancée sur le marché d’ici 2028, avant de se généraliser en 2030.