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La Commission européenne s'inquiète des tarifs d'itinérance internationale pratiqués par les opérateurs mobiles britanniques Vodafone et O2.
L'exécutif européen s'intéresse de près à l'évolution de la concurrence sur les marchés mobiles, en particulier dans le domaine du roaming international.
Le "roaming ", ou accords d'itinérance, offre la possibilité à un opérateur de faire acheminer des appels par le réseau d'un autre opérateur.
Le 26 juillet 2004, la Commission européenne (http://europa.eu.int/) a signalé avoir transmis un ensemble d'objections aux opérateurs mobiles britanniques Vodafone et O2 concernant leurs tarifs.
Bruxelles estime "beaucoup trop élevés" les prix proposés aux opérateurs mobiles étrangers pour pouvoir utiliser les réseaux de Vodafone ou de O2, et permettre à leurs abonnés équipés d'un mobile tri ou quadri-bandes d'appeler et d'être appelés depuis le Royaume-Uni.
Au final, poursuit la Commission, "ces tarifs desservent les abonnés à la téléphonie mobile voyageant au Royaume-Uni".
Mario MONTI, commissaire européen en charge de la concurrence, a souligné que "81% des citoyens de l'UE ont un téléphone mobile, et que ceux-ci voyagent davantage chaque année et sont amenés à utiliser leur mobile à l'international aussi souvent qu'ils le font dans leur pays d'origine."
Or, a insisté M. MONTI, "le niveau élevé des tarifs pratiqués dans le cadre des accords de roaming international a rendu ce service très cher pour le consommateur final", et ce à l'inverse "des prix appliqués aux appels mobiles domestiques."
Avant d'engager des mesures répressives éventuelles, la Commission européenne "invite" Vodafone et O2 à modifier leurs grilles tarifaires à la baisse dans le domaine du roaming.
A noter : Outre sa domination du marché britannique, le groupe Vodafone est le premier opérateur mobile au niveau mondial en terme de chiffre d'affaires.
L'exécutif européen s'intéresse de près à l'évolution de la concurrence sur les marchés mobiles, en particulier dans le domaine du roaming international.
Le "roaming ", ou accords d'itinérance, offre la possibilité à un opérateur de faire acheminer des appels par le réseau d'un autre opérateur.
Le 26 juillet 2004, la Commission européenne (http://europa.eu.int/) a signalé avoir transmis un ensemble d'objections aux opérateurs mobiles britanniques Vodafone et O2 concernant leurs tarifs.
Bruxelles estime "beaucoup trop élevés" les prix proposés aux opérateurs mobiles étrangers pour pouvoir utiliser les réseaux de Vodafone ou de O2, et permettre à leurs abonnés équipés d'un mobile tri ou quadri-bandes d'appeler et d'être appelés depuis le Royaume-Uni.
Au final, poursuit la Commission, "ces tarifs desservent les abonnés à la téléphonie mobile voyageant au Royaume-Uni".
Mario MONTI, commissaire européen en charge de la concurrence, a souligné que "81% des citoyens de l'UE ont un téléphone mobile, et que ceux-ci voyagent davantage chaque année et sont amenés à utiliser leur mobile à l'international aussi souvent qu'ils le font dans leur pays d'origine."
Or, a insisté M. MONTI, "le niveau élevé des tarifs pratiqués dans le cadre des accords de roaming international a rendu ce service très cher pour le consommateur final", et ce à l'inverse "des prix appliqués aux appels mobiles domestiques."
Avant d'engager des mesures répressives éventuelles, la Commission européenne "invite" Vodafone et O2 à modifier leurs grilles tarifaires à la baisse dans le domaine du roaming.
A noter : Outre sa domination du marché britannique, le groupe Vodafone est le premier opérateur mobile au niveau mondial en terme de chiffre d'affaires.
