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Pour mieux lutter contre le vol de téléphones portables, l'Association française des opérateurs mobiles (www.afom.fr) a choisi de mettre en place un système qui permette de bloquer les combinés volés.
Dès sa création en février 2002, l'Association, qui regroupe les trois opérateurs mobiles français, Orange (groupe France Télécom), SFR (groupe Cegetel) et Bouygues Telecom, a fait de la lutte contre le vol de portables un de ses principaux objectifs.
"Le vol, c'est toujours un coût financier pour l'opérateur. C'est un coût marginal mais un coût", a déclaré, Pierre BARDON, Président de l'organisation et Directeur général de SFR, mercredi lors d'un point presse.
Selon René RUSSO, Délégué général de l'AFOM, ce coût s'élève à "quelques dizaines d'euros" par appareil volé.
Or, les vols de téléphones portables ne cessent d'augmenter, d'après la direction générale de la police nationale (DGPN) il y aurait eu en 2003, "185 000 vols déclarés, dont 55 000 avec violences, contre 150 000 en 2002, donc 50 000 avec violences, et 117 000, dont 30 000 avec violences, en 2001."
Pour tenter d'endiguer l'hémorragie, l'AFOM souhaite "faire perdre sa valeur marchande au portable volé", a expliqué la direction de l'Association.
Les clients victimes d'un vol doivent le signaler au plus vite à leur opérateur et déposer plainte auprès d'un service de police ou de gendarmerie, en précisant le numéro d'identification de leur appareil (IMEI), numéro indiqué sur le coffret et au dos du mobile concerné.
A la réception du procès-verbal, le service clients de l'opérateur concerné enregistre alors ce numéro dans le fichier commun Orange/SFR/Bouygues, "rendant impossible l'utilisation du mobile sur les réseaux des trois opérateurs", a rappelé l'AFOM.
Dès sa création en février 2002, l'Association, qui regroupe les trois opérateurs mobiles français, Orange (groupe France Télécom), SFR (groupe Cegetel) et Bouygues Telecom, a fait de la lutte contre le vol de portables un de ses principaux objectifs.
"Le vol, c'est toujours un coût financier pour l'opérateur. C'est un coût marginal mais un coût", a déclaré, Pierre BARDON, Président de l'organisation et Directeur général de SFR, mercredi lors d'un point presse.
Selon René RUSSO, Délégué général de l'AFOM, ce coût s'élève à "quelques dizaines d'euros" par appareil volé.
Or, les vols de téléphones portables ne cessent d'augmenter, d'après la direction générale de la police nationale (DGPN) il y aurait eu en 2003, "185 000 vols déclarés, dont 55 000 avec violences, contre 150 000 en 2002, donc 50 000 avec violences, et 117 000, dont 30 000 avec violences, en 2001."
Pour tenter d'endiguer l'hémorragie, l'AFOM souhaite "faire perdre sa valeur marchande au portable volé", a expliqué la direction de l'Association.
Les clients victimes d'un vol doivent le signaler au plus vite à leur opérateur et déposer plainte auprès d'un service de police ou de gendarmerie, en précisant le numéro d'identification de leur appareil (IMEI), numéro indiqué sur le coffret et au dos du mobile concerné.
A la réception du procès-verbal, le service clients de l'opérateur concerné enregistre alors ce numéro dans le fichier commun Orange/SFR/Bouygues, "rendant impossible l'utilisation du mobile sur les réseaux des trois opérateurs", a rappelé l'AFOM.
