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L'Agence pour les technologies de l'information et de la communication dans l'administration (ATICA) vient de mettre en ligne la synthèse d'un dossier sur la rencontre "Gestion de la connaissance" organisée le 7 mars dernier.
Pour définir la gestion de la connaissance, l'ATICA met l'accent sur le terme "connaissance" et ce qu'il recouvre au sein d'une organisation.
"Les guides de procédures, les manuels qualité, les référentiels, les plans, les bases de données sont des éléments de connaissance, sans former l'ensemble des connaissances d'une entreprise ou d'une administration", précise Julien FRANÇAIS, chargé de mission de l'ATICA.
Il s'agit donc de "connaissances explicites" auxquelles il faut ajouter des éléments moins structurés, des "connaissances implicites", mais également les expériences et le savoir-faire de chaque collaborateur ("connaissances tacites").
Alors, gérer les connaissances "pour quoi faire ?" s'interroge l'ATICA. Pour : trouver, partager et échanger de l'information, progresser et enrichir, et plus concrètement dans l'entreprise : "formaliser un savoir faire, limiter les pertes de connaissances liées au turn over et aux départs à la retraite."
La gestion de la connaissance regroupe également un ensemble de solutions technologiques : bases de données, GED, workflow, groupware, moteur de recherche, e-learning, GRH, etc.
Finalement, l'ATICA termine son analyse par un ensemble de pré-requis "pour réussir" un projet KM, parmi ceux-ci :
L'encadrement (direction générale) doit être le moteur de tout projet de KM, il légitime le projet. Le facteur humain est toujours privilégié en intégrant les collaborateurs dans une démarche KM, en adaptant l'outil au mode de travail et non l'inverse, en mettant en place un groupe d'experts.
Pour définir la gestion de la connaissance, l'ATICA met l'accent sur le terme "connaissance" et ce qu'il recouvre au sein d'une organisation.
"Les guides de procédures, les manuels qualité, les référentiels, les plans, les bases de données sont des éléments de connaissance, sans former l'ensemble des connaissances d'une entreprise ou d'une administration", précise Julien FRANÇAIS, chargé de mission de l'ATICA.
Il s'agit donc de "connaissances explicites" auxquelles il faut ajouter des éléments moins structurés, des "connaissances implicites", mais également les expériences et le savoir-faire de chaque collaborateur ("connaissances tacites").
Alors, gérer les connaissances "pour quoi faire ?" s'interroge l'ATICA. Pour : trouver, partager et échanger de l'information, progresser et enrichir, et plus concrètement dans l'entreprise : "formaliser un savoir faire, limiter les pertes de connaissances liées au turn over et aux départs à la retraite."
La gestion de la connaissance regroupe également un ensemble de solutions technologiques : bases de données, GED, workflow, groupware, moteur de recherche, e-learning, GRH, etc.
Finalement, l'ATICA termine son analyse par un ensemble de pré-requis "pour réussir" un projet KM, parmi ceux-ci :
L'encadrement (direction générale) doit être le moteur de tout projet de KM, il légitime le projet. Le facteur humain est toujours privilégié en intégrant les collaborateurs dans une démarche KM, en adaptant l'outil au mode de travail et non l'inverse, en mettant en place un groupe d'experts.
