La course aux mégahertz ne concerne pas le processeur de M. Tout-le-Monde, mais dopé à l'hélium liquide, le Core i9-14900K semble en mesure d'atteindre des sommets.
Quelques jours après le test du Core i9-14900K, nous continuons notre découverte de la gamme de processeurs Raptor Lake Refresh avec le Core i7-14700K. Il s'agit du seul qui, sur le papier, apporte un changement ne se limitant pas à la fréquence de fonctionnement : 4 cœurs en plus, est-ce suffisant pour se démarquer ?
Alors que nous attendions plutôt la génération Meteor Lake, Intel a revu ses plans. Meteor Lake n’arrivera qu’en décembre et, surtout, que sur portable. Comme pour occuper le terrain, Intel a prévu les processeurs Raptor Lake Refresh. Des puces qui ne semblent toutefois pas apporter grand-chose de neuf... en dehors d’une fréquence boost augmentée de 200 MHz.
Lancé début août sur le marché français, l'Alienware Aurora R16 était jusqu'à présent équipé de processeurs Intel de 12e ou 13e générations, en fonction de la configuration choisie. Aujourd'hui, l'appareil s'ouvre à de nouveaux horizons, avec l'arrivée à son bord des processeurs Intel Raptor Lake-S Refresh.
Les cartes mères les plus haut de gamme ont toujours été riches de nombreuses fonctionnalités. MSI en introduit une pour augmenter la limite de température des processeurs.
Les processeurs Intel Meteor Lake promettent un grand chambardement architectural chez le fabricant américain. Un chambardement qui a intérêt à se retrouver payant si la marque ne veut pas décevoir.
Les processeurs Intel pourraient-ils bientôt connaître la même stratégie d'empilement du cache que les puces AMD ? À en croire Pat Gelsinger, c'est un grand « oui »… et plutôt deux fois qu'une !
Propriété du japonais SoftBank, ARM a mené à bien son introduction en bourse, parvenant à atteindre une valorisation de 60 milliards de dollars, en grande partie grâce à la popularité de ses actions. Leur prix a finalement atteint les 63 dollars jeudi soir… au lieu des 51 dollars affichés lors de la vente initiale.
L'écran bleu de la mort affiché chez certains utilisateurs ne vient finalement pas d'une mise à jour de Windows ayant mal tourné… mais bien d'un microcode buggé émanant d'Intel. Cette piste n'avait pas tellement été envisagée au départ.
