Google a décidé de déréférencer The Pirate Bay et ses sites miroirs pour les utilisateurs aux Pays-Bas.
La plateforme française de transfert de fichiers, Smash, née en 2016, continue de s'étendre et de séduire de grands noms de la Tech mondiale.
Un Australien du nom de Geoffrey Huntley a créé un site mimant The Pirate Bay et sur lequel il est supposément possible de télécharger tous les JPEG correspondant aux NFT présents sur les blockchains Ethereum et Solana.
En septembre dernier, le Parlement a adopté une nouvelle loi qui vise à moderniser la lutte contre le piratage sur Internet. En 2022, l’Arcom remplacera ainsi Hadopi.
Ce n’est un secret pour personne, les autorités françaises ont le piratage dans le viseur. Si une réforme de l’audiovisuel a été ralentie par la crise sanitaire, les sénateurs et députés sont parvenus à un accord pour valider un projet de loi portant sur « la régulation et la protection de l’accès aux œuvres culturelles et numériques ».
Officiellement sur la touche depuis 2015, le site de téléchargement illégal The Pirate Bay voit ses anciens noms de domaines passer régulièrement de mains en mains. Récemment remis en vente, thepiratebay.com s'illustre cette semaine dans des enchères particulièrement élevées.
Les allers et retours du fameux site de téléchargement illégal semblent devoir reprendre de plus belle.
Depuis Napster dans les années 2000, le téléchargement illégal est au cœur des batailles entre ayants droit, privés de certains de leurs revenus, et internautes, privés d'une licence globale qui permettrait un accès souhaitable et illimité à la culture. Au milieu du champ de bataille, le gouvernement agite bien des drapeaux… Mais qu'en est-il vraiment entre pédagogie et répression ?
Les députés du groupe La France Insoumise (LFI) à l'Assemblée nationale ont déposé un amendement ce vendredi 18 juin 2021 pour demander la suppression de l'HADOPI. Il s'inscrit dans le cadre du texte de loi n°4245 qui pourrait permettre la naissance de l'Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (ARCOM).
Les quatre autorités indépendantes ont collaboré pour mettre au point un kit qui vise à protéger le jeune public et guider les formateurs et parents sur le chemin des bons outils et pratiques.
L'autorité publique indépendante, créée en 2011, est loin de faire recette. Pire, au vu de son dernier bilan, elle est une épine un peu trop encombrante dans le pied de l'État.
L'Hadopi a dévoilé les chiffres d'une étude qui témoigne à quel point le piratage met à mal certaines entreprises, exploitants et diffuseurs.
L'information a été rapportée par le site internet Torrentfreak. Tron, entreprise de cryptomonnaie, aurait racheté BitTorrent Inc, société qui édite notamment les logiciels BitTorrent et µTorrent.
Si vous pensiez pouvoir trouver n'importe quel site Internet via Google, sachez que le moteur de recherche bloque désormais plus de trois millions de noms de domaines.
Pour La Quadrature du Net, la French Data Network, Fédération des Fournisseurs d’accès à internet associatifs et Franciliens.net, c’est une victoire retentissante. Statuant aujourd’hui sur l’état de la HADOPI, le Conseil constitutionnel vient de déclarer anticonstitutionnels une partie de ses pouvoirs.
L'autorité publique a publié son baromètre des pratiques culturelles à domicile durant la période de confinement.
Un projet de loi, prochainement étudié par le Parlement, prévoit l'instauration d'une « amende transactionnelle », pour sanctionner les internautes coupables de piratage d'œuvres protégées, sans passer par un tribunal. Mais le ministre de la Culture a manifesté son opposition à ces sanctions.
Le créateur de Megaupload a tenté d'annuler une demande d'extradition vers les États-Unis prononcée en 2015.
© Sharaf Maksumov / Shutterstock.com
Hadopi lance une alerte quant à la croissance des pratiques illégales pour regarder des programmes TV en direct, en France. Le livestreaming et l'IPTV auraient, entre autres, les faveurs d'un quart des internautes français. Des services illicites qui ne seraient pas sans risque, d'après l'autorité publique.
Les équipes d'Avast sonnent l'alerte : méfiez-vous des épisodes piratés de Game of Thrones !
L'Hadopi, censée lutter contre le piratage, se trouve désarmée face aux techniques employées par les utilisateurs pour obtenir du contenu illégal. L'autorité a dressé un état des lieux de la situation et réclame un élargissement de ses pouvoirs, pour sortir de son impuissance.
La plateforme de partage de fichiers en peer-to-peer BitTorrent a annoncé le lancement de sa cryptomonnaie, appelée BitTorrent Token (BTT). Ce nouveau dispositif a notamment pour but d'encourager les utilisateurs à mettre leurs fichiers à disposition de la communauté.
L'Hadopi a publié le mois dernier un rapport sur la consommation culturelle des 15-24 ans en France. Si cette génération connectée a davantage recours au streaming et au téléchargement illicites, elle ne serait pas du tout opposée à l'idée de payer pour avoir accès à des contenus de manière légale.
Google lance en bêta le partage et l'installation hors-ligne d'applications en utilisant la technologie peer-to-peer.
Piratage musical // Shutterstock
Avec l'avènement de Netflix et autres services de streaming payants sur la toile, le piratage avait connu une véritable décroissance en 2015. Malheureusement pour les créateurs d'œuvres audiovisuelles, la tendance semble s'inverser. En cause, un trop plein de productions exclusives à ces plateformes.
Les députés ont présenté ce jeudi une liste de 40 propositions afin de réformer l'intégralité de l'audiovisuel français.
Conçu en 2001 par Bram Cohen, le protocole BitTorrent s'apprête à évoluer. La fondation TRON, propriétaire du réseau P2P depuis cet été, compte mettre en place un nouveau système pour encourager le partage de fichier. Comment ? En rétribuant les seeders grâce à sa propre cryptomonnaie : le Tronix.