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Vivendi ne serait finalement plus en passe de vendre sa filiale Activision Blizzard. Malgré des annonces de la direction portant sur une éventuelle cession, le groupe n'aurait reçu aucune offre intéressante.
Citant des sources proches du dossier, le Financial Times indique que plusieurs acheteurs potentiels dont Microsoft ont été approchés mais qu'aucune piste n'aurait été approfondie. Il faut dire que Vivendi demanderait au moins 8 milliards de dollars pour qu'un acquéreur prenne le contrôle d'Activision Blizzard.
Toujours est-il que le groupe devrait faire un nouveau point sur la situation à l'automne. Plusieurs pistes seront alors étudiées comme une scission du groupe ou la vente d'actifs afin que Vivendi puisse se recentrer sur ses pôles Télécoms et contenus. Une troisième voie est également imaginable si Blizzard désire lui-même racheter ces parts à la maison mère.
Le 13 juillet dernier, Jean-René Fourtou, le président du conseil de surveillance de Vivendi, annonçait que le groupe envisageait bel et bien la cession de sa participation de 61 % au sein de l'éditeur de jeux vidéo Activision-Blizzard. Pourtant, ce mouvement ne serait plus à l'ordre du jour.
Citant des sources proches du dossier, le Financial Times indique que plusieurs acheteurs potentiels dont Microsoft ont été approchés mais qu'aucune piste n'aurait été approfondie. Il faut dire que Vivendi demanderait au moins 8 milliards de dollars pour qu'un acquéreur prenne le contrôle d'Activision Blizzard.
Toujours est-il que le groupe devrait faire un nouveau point sur la situation à l'automne. Plusieurs pistes seront alors étudiées comme une scission du groupe ou la vente d'actifs afin que Vivendi puisse se recentrer sur ses pôles Télécoms et contenus. Une troisième voie est également imaginable si Blizzard désire lui-même racheter ces parts à la maison mère.