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Oracle Corp., premier éditeur mondial de logiciels d'entreprise, a signalé la mise en production chez DHL France de sa solution de gestion des achats.
Spécialiste du transport express international, DHL dessert 229 pays et détient en France une part de marché en volume de 35% (www.dhl.fr).
Dans le monde, la compagnie emploie 71 000 collaborateurs, dont 2000 en France, répartis sur 4000 agences. Entreprise fortement décentralisée, DHL fait partie de ces multinationales aux processus internes d'achats et de logistique complexes.
Pour s'adapter à la demande toujours plus exigeante de ses clients et faire face à la concurrence (UPS, FedEx, etc.), la direction générale de DHL a voulu rationaliser la fonction achat de l'ensemble de ses filiales.
Dans l'hexagone, le transporteur s'est appuyé sur l'expertise du cabinet de conseil en management et en organisation Artimon (www.artimon.fr) et sur la solution Oracle Procurement de la suite Oracle e-Business.
"Nous avions besoin d'une solution qui puisse nous aider à rationaliser nos processus achats", a souligné Franck DUPERRIER, Directeur financier de DHL France.
15 jours ouvrés pouvaient s'écouler entre l'expression d'une demande au sein de l'un des 39 sites régionaux de DHL et l'envoi de la commande par le service achat central à Roissy.
Après avoir étudié différentes offres, la direction de DHL France, déjà utilisatrice d'Oracle Financials, a opté pour Oracle Procurement estimant que cet outil pourrait lui faire réaliser une économie "de 0,5% sur les principaux achats du groupe" : publicité, informatique, intérim, fournitures, achats généraux.
En septembre 2002, un pilote de la solution a été installé au siège de DHL France. Aujourd'hui, la solution est opérationnelle sur tous les sites français de DHL. Par ailleurs, le groupe aurait choisi de déployer Oracle Procurement dans le reste du monde, "pays nordiques en tête".
Enfin, DHL France prévoit que chaque gestionnaire d'achat sera désormais associé à un acheteur pour le suivi qualitatif du fournisseur, et ce afin d'atteindre les objectifs fixés par la stratégie e-Procurement (gestion électronique des achats) du groupe.
"La e-révolution dans l'entreprise peut être porteuse d'une vraie valeur ajoutée", a insisté Franck DUPERRIER.
Spécialiste du transport express international, DHL dessert 229 pays et détient en France une part de marché en volume de 35% (www.dhl.fr).
Dans le monde, la compagnie emploie 71 000 collaborateurs, dont 2000 en France, répartis sur 4000 agences. Entreprise fortement décentralisée, DHL fait partie de ces multinationales aux processus internes d'achats et de logistique complexes.
Pour s'adapter à la demande toujours plus exigeante de ses clients et faire face à la concurrence (UPS, FedEx, etc.), la direction générale de DHL a voulu rationaliser la fonction achat de l'ensemble de ses filiales.
Dans l'hexagone, le transporteur s'est appuyé sur l'expertise du cabinet de conseil en management et en organisation Artimon (www.artimon.fr) et sur la solution Oracle Procurement de la suite Oracle e-Business.
"Nous avions besoin d'une solution qui puisse nous aider à rationaliser nos processus achats", a souligné Franck DUPERRIER, Directeur financier de DHL France.
15 jours ouvrés pouvaient s'écouler entre l'expression d'une demande au sein de l'un des 39 sites régionaux de DHL et l'envoi de la commande par le service achat central à Roissy.
Après avoir étudié différentes offres, la direction de DHL France, déjà utilisatrice d'Oracle Financials, a opté pour Oracle Procurement estimant que cet outil pourrait lui faire réaliser une économie "de 0,5% sur les principaux achats du groupe" : publicité, informatique, intérim, fournitures, achats généraux.
En septembre 2002, un pilote de la solution a été installé au siège de DHL France. Aujourd'hui, la solution est opérationnelle sur tous les sites français de DHL. Par ailleurs, le groupe aurait choisi de déployer Oracle Procurement dans le reste du monde, "pays nordiques en tête".
Enfin, DHL France prévoit que chaque gestionnaire d'achat sera désormais associé à un acheteur pour le suivi qualitatif du fournisseur, et ce afin d'atteindre les objectifs fixés par la stratégie e-Procurement (gestion électronique des achats) du groupe.
"La e-révolution dans l'entreprise peut être porteuse d'une vraie valeur ajoutée", a insisté Franck DUPERRIER.
