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Nokia, constructeurs d'infrastructures de télécommunications, vient d'annoncer le lancement d'un système de partage multi-opérateurs des réseaux 3G.
Le constructeur finlandais Nokia vient d'annoncer le lancement d'un système d'accès 3G multi-opérateurs, appelé «multi-operator radio access network.»
«Les opérateurs vont pouvoir profiter des avantages que représente le partage de réseau et fournir en même temps à leurs abonnés leurs propres gammes de services», remarquait le 1er constructeur mondial de téléphones mobiles.
Le système Nokia doit permettre à différents opérateurs de téléphonie mobile de troisième génération de partager un même réseau, en gardant le contrôle de leurs fréquences respectives, soit un partage des coûts d'infrastructures.
Le partage des infrastructures nécessite lui même une répartition équitable des fréquences entre opérateurs.
Cette solution devrait donc répondre aux attentes des opérateurs qui ont investi des sommes considérables dans l'acquisition de leur licence UMTS, et restent prudents quant au coût de mise en place de ces infrastructures.
Par ailleurs, d'après Nokia, des services aux tarifs compétitifs dans les zones à faible demande pourraient être proposés.
Bien qu'aucun détail tarifaire n'ait été communiqué, Nokia a précisé que le partage d'un réseau par deux opérateurs pourrait leur faire réaliser 40% d'économie sur l'accès à la technologie et aux dépenses d'exploitation.
A ce jour, le prix des licences UMTS, la frilosité des marchés financiers et la mutualisation des coûts d'infrastructures, restent au cœur des débats de la téléphonie 3G. Avec son système «multi-operator», Nokia propose une bonne solution ?
Le constructeur finlandais Nokia vient d'annoncer le lancement d'un système d'accès 3G multi-opérateurs, appelé «multi-operator radio access network.»
«Les opérateurs vont pouvoir profiter des avantages que représente le partage de réseau et fournir en même temps à leurs abonnés leurs propres gammes de services», remarquait le 1er constructeur mondial de téléphones mobiles.
Le système Nokia doit permettre à différents opérateurs de téléphonie mobile de troisième génération de partager un même réseau, en gardant le contrôle de leurs fréquences respectives, soit un partage des coûts d'infrastructures.
Le partage des infrastructures nécessite lui même une répartition équitable des fréquences entre opérateurs.
Cette solution devrait donc répondre aux attentes des opérateurs qui ont investi des sommes considérables dans l'acquisition de leur licence UMTS, et restent prudents quant au coût de mise en place de ces infrastructures.
Par ailleurs, d'après Nokia, des services aux tarifs compétitifs dans les zones à faible demande pourraient être proposés.
Bien qu'aucun détail tarifaire n'ait été communiqué, Nokia a précisé que le partage d'un réseau par deux opérateurs pourrait leur faire réaliser 40% d'économie sur l'accès à la technologie et aux dépenses d'exploitation.
A ce jour, le prix des licences UMTS, la frilosité des marchés financiers et la mutualisation des coûts d'infrastructures, restent au cœur des débats de la téléphonie 3G. Avec son système «multi-operator», Nokia propose une bonne solution ?
