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Suite à la conférence des Etats de l'UE retranscrite sur le portail du Conseil européen, le Président Chirac a défendu la Constitution adoptée vendredi.
Vendredi 18 juin 2004, les chefs d'Etat et de gouvernement de l'UE des 25 ont adopté, dans un climat tendu, l'accord historique qui donnera à l'Union une Constitution.
Dans le cadre de la conférence des représentants des gouvernements des Etats membres, (http://ue.eu.int/ueDocs/cms_Data/docs/pressData/fr/misc/81110.pdf), le Président français, Jacques CHIRAC, a défendu cette Constitution, lors d'un point presse.
"L'Europe verra ses institutions renforcées avec un président stable du Conseil européen, avec un ministre des affaires étrangères de l'Union qui amplifiera le rôle de chacune de nos nations", a souligné le Chef de l'Etat français.
Avant de préciser : "Le rôle du Parlement sera élargi. Pour bien incarner l'intérêt général européen, la Commission sera rénovée. Un nouveau système de vote permettra de mieux tenir compte de la réalité de l'Europe. C'est-à-dire d'une Union d'Etats mais aussi d'une Union de peuples et de citoyens."
"La Constitution dira enfin qui fait quoi en Europe. La répartition des compétences entre l'Union et les Etats membres sera désormais clarifiée et les Parlements nationaux seront chargés d'y veiller", a affirmé Jacques CHIRAC.
Vendredi, un compromis de dernière minute a permis aux 25 Etats membres de l'UE de s'entendre sur la majorité qualifiée et la représentation au sein de la Commission (l'exécutif européen). Toutefois, les 25 n'ont pas encore nommé de successeur à Romano PRODI, actuel président de la Commission européenne.
Avant de pouvoir être appliquée, la Constitution européenne adoptée par les Chefs d'Etats et de gouvernement le 18 juin 2004 doit désormais être ratifiée par référendum ou par voie parlementaire dans chacun des 25 Etats de l'UE. Selon, Jacques CHIRAC, le texte ne pourrait être ratifié "avant un délai minimum d'un an".
Vendredi 18 juin 2004, les chefs d'Etat et de gouvernement de l'UE des 25 ont adopté, dans un climat tendu, l'accord historique qui donnera à l'Union une Constitution.
Dans le cadre de la conférence des représentants des gouvernements des Etats membres, (http://ue.eu.int/ueDocs/cms_Data/docs/pressData/fr/misc/81110.pdf), le Président français, Jacques CHIRAC, a défendu cette Constitution, lors d'un point presse.
"L'Europe verra ses institutions renforcées avec un président stable du Conseil européen, avec un ministre des affaires étrangères de l'Union qui amplifiera le rôle de chacune de nos nations", a souligné le Chef de l'Etat français.
Avant de préciser : "Le rôle du Parlement sera élargi. Pour bien incarner l'intérêt général européen, la Commission sera rénovée. Un nouveau système de vote permettra de mieux tenir compte de la réalité de l'Europe. C'est-à-dire d'une Union d'Etats mais aussi d'une Union de peuples et de citoyens."
"La Constitution dira enfin qui fait quoi en Europe. La répartition des compétences entre l'Union et les Etats membres sera désormais clarifiée et les Parlements nationaux seront chargés d'y veiller", a affirmé Jacques CHIRAC.
Vendredi, un compromis de dernière minute a permis aux 25 Etats membres de l'UE de s'entendre sur la majorité qualifiée et la représentation au sein de la Commission (l'exécutif européen). Toutefois, les 25 n'ont pas encore nommé de successeur à Romano PRODI, actuel président de la Commission européenne.
Avant de pouvoir être appliquée, la Constitution européenne adoptée par les Chefs d'Etats et de gouvernement le 18 juin 2004 doit désormais être ratifiée par référendum ou par voie parlementaire dans chacun des 25 Etats de l'UE. Selon, Jacques CHIRAC, le texte ne pourrait être ratifié "avant un délai minimum d'un an".
