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13,64% des titres détenus par l'Etat dans TMM ont été placés sur le marché tandis que le groupe français a procédé à une émission d'Océanes de 522 M d'euros
L'Etat a réduit sa participation dans le groupe d'électronique grand public Multimédia en plaçant "sans difficulté" 36,16 millions d'actions soit 13,64% du capital social et des droits de vote du géant français par le biais d'un placement privé auprès d'investisseurs institutionnels.
A l'issue de l'opération, l'Etat reste majoritaire dans le capital du géant de l'électronique avec 23,36% du capital (via Thomson SA), avec à ses cotés, Alcatel (3,6%), DirecTV (3,3%), Microsoft (4,9%) et NEC (5,2%).
La vente par l'Etat d'une partie de sa participation permet d'élargir le flottant au delà de 50%.
Parallèlement, le groupe d'électronique a pu mener à bien une émission d'Océanes pour un montant de 522 millions d'euros, avec une option de sur-allocation de 15% supplémentaires.
Ainsi, Thomson Multimédia obtient des fonds destinés, selon le groupe, à financer son développement, y compris par acquisition, particulièrement dans les activités "Solutions pour Médias Numériques", et à étendre son offre et de produits et de services à haut débit.
La semaine dernière, le groupe a annoncé deux accords qui s'inscrivent dans ce programme : celui portant sur l'acquisition de la société de post production Vidfilm et celui sur le projet d'acquisition de l'activité de duplication de DVD de Panasonic.
Simultanément, Thomson finalise l'acquisition pour 172 millions de dollars de Grass Valley, société américaine spécialisée dans les solutions pour médias numériques.
Les deux opérations ont été bien accueillies par les investisseurs car elles lèvent une incertitude qui pesait sur le cours du groupe d'électronique depuis plusieurs semaines. Le titre a ainsi clôturé en hausse de 4,47% à 30,85 euros à la bourse de Paris.
L'Etat a réduit sa participation dans le groupe d'électronique grand public Multimédia en plaçant "sans difficulté" 36,16 millions d'actions soit 13,64% du capital social et des droits de vote du géant français par le biais d'un placement privé auprès d'investisseurs institutionnels.
A l'issue de l'opération, l'Etat reste majoritaire dans le capital du géant de l'électronique avec 23,36% du capital (via Thomson SA), avec à ses cotés, Alcatel (3,6%), DirecTV (3,3%), Microsoft (4,9%) et NEC (5,2%).
La vente par l'Etat d'une partie de sa participation permet d'élargir le flottant au delà de 50%.
Parallèlement, le groupe d'électronique a pu mener à bien une émission d'Océanes pour un montant de 522 millions d'euros, avec une option de sur-allocation de 15% supplémentaires.
Ainsi, Thomson Multimédia obtient des fonds destinés, selon le groupe, à financer son développement, y compris par acquisition, particulièrement dans les activités "Solutions pour Médias Numériques", et à étendre son offre et de produits et de services à haut débit.
La semaine dernière, le groupe a annoncé deux accords qui s'inscrivent dans ce programme : celui portant sur l'acquisition de la société de post production Vidfilm et celui sur le projet d'acquisition de l'activité de duplication de DVD de Panasonic.
Simultanément, Thomson finalise l'acquisition pour 172 millions de dollars de Grass Valley, société américaine spécialisée dans les solutions pour médias numériques.
Les deux opérations ont été bien accueillies par les investisseurs car elles lèvent une incertitude qui pesait sur le cours du groupe d'électronique depuis plusieurs semaines. Le titre a ainsi clôturé en hausse de 4,47% à 30,85 euros à la bourse de Paris.
