Entre deux lave-linge, Samsung a dévoilé hier au Samsung European Forum un nouvel appareil photo, en prévision du CP+. Le NX500 est un nouvel hybride haut de gamme qui loge à son tour dans un petit boitier grand public des composants issus d'un segment supérieur, à la manière du Canon EOS 760D annoncé aujourd'hui.
Plus précisément, le Samsung NX500 dispose d'une part d'un boîtier inspiré du NX3000, un petit hybride destiné au photographe du dimanche, et d'autre part des principales caractéristiques du NX1, un simili reflex convaincant destiné aux passionnés voire aux professionnels.
Le NX500 hérite notamment du capteur CMOS APS-C rétro-exposé de 28 millions de pixels du NX1, dépourvu de filtre passe-bas mais pourvu d'un autofocus hybride à détection de phase. Associé à la puce de traitement DRIMe V multi-cœurs, il maintient la capacité de filmer en Ultra HD ou même en DCI 4K (4096 x 2160 pixels), avec encodage HEVC, et la sensibilité maximale de 25 600 voire de 51 200 ISO. Sur le plan de l'image il ne fait qu'une concession : la rafale passe de 15 à 9 images par seconde.
On retrouve la connectivité sans fil complète Wi-Fi 802.11ac, Bluetooth 3.0 et NFC, mais on perd l'USB 3.0, la prise en charge des cartes mémoires SD UHS-II et l'entrée pour microphone.
Sur le plan ergonomique enfin, le NX500 dispose d'un écran tactile AMOLED de 3 pouces et de 720 x 480 pixels, orientable à 45° vers le bas et à 180° vers le haut, jusqu'en position autoportrait. Il n'y a malheureusement qu'une seule molette de réglage, en plus du barillet de sélection de mode, une roue aurait été bienvenue.
Le Samsung NX500 sera disponible aux États-Unis au mois de mars, pour 800 dollars HT avec un zoom motorisé et stabilisé 16-50 mm f/3,5-5,6. Les prix et calendrier européens n'ont pas été communiqués.
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C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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