Nikon a procédé ce matin à plusieurs annonces sur le marché de la photo grand public. À commencer par celle du renouvellement de son compact Android. Un peu moins de deux ans après avoir lancé le S800c, le premier du genre, Nikon lance ainsi le S810c.
Le nouveau Nikon Coolpix S810c est une mise à jour modeste, mais nécessaire, de l'appareil photo compact reposant sur Android. Son prédécesseur avait effectivement été lancé avec Android 2.3 Gingerbread, alors qu'Android 4.0 Ice Cream Sandwich était déjà disponible. Le nouveau modèle repose quant à lui sur Android 4.2.2 Jelly Bean, qui n'est pas la dernière version, mais a le mérite de rétablir l'accès à la plupart des applications populaires du Google Play Store.
Connecté à un réseau Wi-Fi domestique ou au partage de connexion d'un smartphone (faute de connectivité cellulaire 3G ou 4G), l'appareil permet d'installer et d'utiliser toutes sortes d'applications telles qu'Instagram, VSCO Cam ou Photoshop Express, puis Facebook, Twitter ou une application de messagerie. Le service Nikon Image Space fourni inclut 20 Go d'espace de stockage en ligne pour transférer facilement ses photos de l'appareil à un ordinateur.
On retrouve par ailleurs un capteur CMOS rétroexposé au format 1/2,3 pouce de 16 millions de pixels, plafonnant à 3200 ISO, mais l'amplitude du zoom passe de 10 à 12x (équivalent 25-300 mm f/3,3-6,3), et on passe d'un écran OLED affichant 640 x 480 pixels à un écran LCD de 3,7 pouces affichant 854 x 480 pixels (soit 1 229 720 points).
Ce Nikon Coolpix S810c sera commercialisé en France à partir du 24 avril, en noir ou en blanc, au prix public de 300 euros. Face au Samsung Galaxy Camera 2 nettement plus abouti, Nikon joue donc sur la corde sensible du prix, avec un écart important de 150 euros.
Appareil photo numérique : découvrez des offres à bas prix sur notre comparateur de prix !
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
Rejoignez la communauté des passionnés de nouvelles technologies. Venez partager votre
passion et débattre de l’actualité avec nos membres qui s’entraident et partagent leur
expertise quotidiennement.
